Citations sur Kalliopée, tome 3 : Le dilemme d'une reine (13)
Je m'effondre, incapable de me protéger, de lutter.
Puis, les coups s'enchaînent et l'obscurité me happe.
Glaciale, effroyable, solitaire.
Kalliopée... J'ignore si je l'appelle réellement ou si son nom ne raisonne que dans ma tête.
J'aurais dû rester auprès d'elle, quitte à mourir à ses côtés.
Peut-être aurais-je un peu moins froid.
Il lui faudra du temps pour me pardonner, mais je suis prête à attendre. Une éternité si c’est nécessaire.
Il y a tant de choses que j'aurais faites différemment. Mais aujourd'hui, je crois que je suis meilleur qu'autrefois...
Je réfléchis parfois avant d'agir.
J'apprends à pardonner et à ne pas toujours condamner.
J'aime, plus que je ne hais.
— Je voudrais que tu me montres à quel point tu m'aimes.
Ce n'est pas un ordre, mais plutôt une supplique. Je ne suis pas certaine de comprendre sa requête, mais même si ce qu'il me demande est réalisable, parce que je ne crois pas que mes actes pourront être à la hauteur de ce que je ressens pour lui.
Quand il me touche, je note chaque sensation : de l'irritation que ses doigts provoquent contre ma peau douce lorsqu'il la presse, aux frissons qu'ils me procurent lorsqu'il m'effleure.
Je ne veux rien oublier. Jamais.
Nous ne contrôlons pas la vie, mais nous pouvons dominer la peur. Nous pouvons l’atténuer, tout faire pour qu’elle ne prenne pas nos espoirs et nos désirs. Parce que si nous ne contrôlons pas la vie, la peur, elle, peut la diriger. Et une existence sous le régime de la crainte n’en est pas une.
Nous ne contrôlons pas la vie, mais nous pouvons dominer la peur. Nous pouvons l'atténuer, tout faire pour qu'elle ne prenne pas nos espoirs et nos désirs. Parce que si nous ne contrôlons pas la vie, la peur, elle, peut la diriger. Et une existence sous le régime de la crainte n'en est pas une.
Comment pourrais-je survivre à son absence quand le simple fait de l’imaginer me tue ?
Karel détient une partie de mon cœur tandis que mon combat possède l’autre.
Nous ne contrôlons pas la vie, mais nous pouvons dominer la peur. Nous pouvons l’atténuer, tout faire pour qu’elle ne prenne pas nos espoirs et nos désirs. Parce que si nous ne contrôlons pas la vie, la peur, elle, peut la diriger. Et une existence sous le régime de la crainte n’en est pas une.