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3,9

sur 334 notes
♫Toi le frère que je n'ai jamais eu
Sais-tu si tu avais vécu
Ce que nous aurions fait ensemble...♫
Maxime le Forestier-1971-
----♪---♫----🔇🚭🚷⛔📵🚳🚯----♫---♪----
Histoire d'un total effondrement
1984, Uchronie ou Collapsologie
Rappel nos élections y a pas si longtemps !!?
Ensemble et contre tout
Oui mai
Big Brother is watching you ...🧐
IS Bad George or Well !!?
Superbe adaptation
un cadeau de Noël
Fido NESTI à l'illustration
et Josée KAMOUN pour la traduction
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Dans un monde en guerre dirigé par une oligarchie dominante, Winston Smith est employé à réécrire L Histoire au ministère de la Vérité. Mais malgré son apparente soumission l'homme semble encore capable de réflexion et d'amour. Une liberté de penser qui l'entraîne dans une spirale où il risque bien de perdre la vie. Car au coeur de cette tyrannie où la surveillance est permanente (Big Brother vous regarde) il est urgent d'éliminer ce type d'individu.

Paru en 1949, peu de temps avant la mort de George Orwell, 1984 décrit une Grande-Bretagne sous un régime totalitaire inspiré du stalinisme et en partie du nazisme. Une façon pour Orwell de dénoncer ces autocraties avec leurs corollaires, le culte de la personnalité, la planification de l'économie, la propagande, l'endoctrinement, la modification des lois, les confessions publiques ou l'élimination des opposants. Orwell qui, comme dans La ferme des animaux, dénonce un pouvoir confisqué au peuple que l'on a poussé à se révolter pour mieux l'asservir.

Un roman graphique superbe très fidèle à l'oeuvre mythique de George Orwell. Surprenante de modernité, difficile à transcrire en format dessiné, une oeuvre pourtant magnifiée ici par le dessin tout en retenue et en sobriété du brésilien Fido Nesti, dont les nuances de rouge et de gris, oppressantes, sont en parfaite adéquation avec le texte universel et intemporel d'Orwell....

Challenge MULTI-DÉFIS 2021
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A l'occasion de son passage dans le domaine public, "1984", l'oeuvre monumentale d'Orwell s'est vue adaptée quatre fois depuis le début de l'année.
Et d'avoir feuilleté en librairie trois des quatre versions, celle-ci m'avait paru la plus attrayante.
Voilà un album dans lequel sa magnifique couverture donne envie de plonger !
Malheureusement, au bout de ma lecture, mon enthousiasme était douché.
Tout d'abord, je n'ai pas adhéré au style du dessin.
Les personnages m'y ont paru sans expression, parfois même déformés par des erreurs de perspective ...
La première planche déjà est un choc !
Le dessin, mis à part quelques coups de crayons réussis, manque aussi de fluidité et de mouvement.
La colorisation n'apporte rien non plus , ou pas grand chose au récit.
Elle n'est même parfois pas très judicieusement choisie pour une bonne lisibilité des caractères.
Et que dire des fonds, les fonds vides et monochromes ?
Mais bon, peut-être tout ceci est-il un style dont je n'ai pas su capter l'ambiance ?
Peut-être suis-je passé à côté, peut-être ?
Quand au récit à proprement parlé, je ne l'ai que peu apprécié, gêné que j'ai été dans ma lecture par la forme graphique de l'adaptation de Fido Nesti.
Au bout du compte, j'ai été au bout de cette lecture mais difficilement et sans plaisir.
En quatrième de couverture, il m'était promis un événement exceptionnel, un ultime chef d'oeuvre, un dessin puissant et envoûtant.
J'ai bien peur que tout ceci ne soit un peu exagéré.
Méfiance, mister Grasset, big brother is watching you ! ...
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Après avoir découvert récemment l'adaptation de Frédéric Pontarolo, je découvre aujourd'hui celle de Fido Nesti. Si le premier s'était permis quelques libertés (je ne m'en rends compte que maintenant en terminant ce dernier, ayant lu le roman depuis un moment déjà), Fido Nesti, lui, est resté extrêmement fidèle à l'oeuvre originale.

Au niveau des graphismes, ils sont aussi très différents. Ceux de Fido Nesti sont plus courbes, plus arrondis, peut-être moins détaillés également. Les visages sont moins strictes, parfois moins précis. Mais dans l'ensemble, les dessins sont aussi éloquents et dénonciateurs. Ils sont très sombres et oppressants, avec des nuances qui vont du gris au noir, et le peu de couleurs que l'auteur nous offre restent fades, ternes. Ils sont en totale adéquation avec l'intrigue et l'ambiance pesante et angoissante que l'on perçoit tout du long.

Quant au texte, comme dit plus haut, j'ai eu l'impression d'avoir relu le roman, avec des illustrations en prime. C'est hyper complet, rien n'est oublié. Il y a très très peu de dialogues, ce n'est essentiellement que de la narration, créant malheureusement quelques longueurs ici et là. Il y a beaucoup à lire, le texte est parfois très condensé, ne le rendant pas toujours très lisible. C'est très rare que je mette autant de temps à lire un roman graphique (presque quatre heures !). D'ailleurs, les deux chapitres entiers du livre de Goldstein ont failli m'achever...

Mais il retranscrit en conséquence parfaitement toute la force du roman de George Orwell : l'aspect psychologique du personnage de Winston, le contexte politique, la peur et la tension omniprésentes. du coup, il n'y a vraiment pas besoin d'avoir déjà lu le roman auparavant, cette adaptation étant très aboutie.

L'appendice, à la fin, expliquant le néoparler est très enrichissant.

J'ai une préférence pour l'adaptation de Frédéric Pontarolo, dont j'ai préféré les dessins, que j'ai trouvée également plus fluide et dans laquelle l'auteur y ajoute "sa patte personnelle". Mais je ne peux que vous conseiller celle de Fido Nesti, si vous ne connaissez pas encore l'oeuvre originale, mais également pour en admirer tout le travail conséquent de l'auteur et dans lequel on perçoit son attachement pour ce roman culte.
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Winston Smith travaille au Ministère de la Vérité, où il est chargé de réécrire l'Histoire, selon les desiderata du Parti car le Sociang règne sur Londres, Big Brother vous regarde inscrit partout, avec un télécran qui espionne en permanence.

Le Parti a donc gagné et règne sur un monde divisé en trois états : Océanie, Eurasie et Estasie qui se font la guerre en permanence. On a modifié la langue, la rebaptisant Novlang ou Néoparler, et la réduisant à un nombre de mots limités, toutes les nuances, les affects ont disparu, manière très efficace pour niveler la population par le bas, d'un côté les « prolos » de l'autre les membres du Parti, l'élite donc chargée de trier les infos, et éliminer tout ce qui ne plaît pas en haut lieu et qui devient la vérité, la seule.

Ceux qui tentent de se rebeller disparaissent mystérieusement et sont rayés définitivement, ils n'ont jamais existé…. le sexe et l'amour sont interdits… Winston, zélé au départ, se cache pour écrire son journal mais quoi écrire ? Il rencontre une jeune femme dont il tombe amoureux, bravant un deuxième interdit, mais jusqu'où pourra-t-il aller ?

Je suis fière de moi, j'ai terminé cette BD (223 pages quand même) et franchement, j'ai eu beaucoup de mal : la société que décrit l'auteur est tellement proche de ce qui se passe à l'heure actuelle avec Big Brother qui surveille (nos ordinateurs, nos téléphones …) la liberté de penser qui se rétrécit, ainsi que la capacité de réfléchir par soi-même (cf. les complotistes). Certes c'est plus important dans certains pays, notamment à l'Est, mais les USA de Trump ne se débrouillent pas mal non plus…

Le formatage des cerveaux, les séances de torture rappellent les méthodes chinoises en particulier, mais les camps de rééducation russes n'ont rien à leur envier.

Les dessins de Fido Nesti sont tout à fait en harmonie avec le texte et déclenchent des cauchemars… tant le graphisme que les couleurs…

Cette lecture relève plus du pensum que du plaisir mais c'est intéressant, il sera difficile de l'oublier et il faut reconnaître que malgré sa dureté, c'est une réussite, d'où la note, car adapter le texte de George Orwell et l'illustrer de manière adéquate était loin d'être simple. le roman m'attend toujours mais je ne suis pas sûre de retenter l'expérience…
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Bien entendu arriver à mettre en dessins l'oeuvre d'Orwell est une prouesse absolument remarquable même si j'aurais à redire sur la difficulté de la lecture.
Lire 1984, écrit tout juste après la seconde guerre mondiale, c'est revivre les affres du nazisme et de l'absolutisme communiste et non d'essayer, à mon avis, un rapprochement avec ce qui peut se passer, à droite comme à gauche, actuellement. Aucune époque n'est semblable dans l'horreur y compris celle que nous vivons actuellement, même si on peut y trouver des points communs (mais n'est-ce pas le propre d'un chacun de chercher des points communs avec pratiquement tout?)
Disséquer un livre ou une partie de notre histoire n'est et ne sera pas mon propos.
Pour ma part ayant lu 1984 et vu le film avec Richard Burton dans le rôle de Winston Smith, je n'ai pas retrouvé l'image que je m'étais faite de cet homme et des autres personnages (pas plus dans le film d'ailleurs) dans ce roman graphique. Je préfère la version de mes rêves.
Entre la vie terne, maussade, orchestrée de façon indigeste de Winston et la fin prévisible, il y a cette fabuleuse histoire d'amour avec Julia. Cet histoire se situe au centre du récit. Elle apparaît tel un immense rayon de soleil et, à mon avis, s'il n'y avait pas cet amour et la façon de le vivre, en se cachant, l'intérêt de l'intrigue serait bien moindre. Et, justement, dans sa palette chromatique à trois couleurs, Fido Nesti, le dessinateur, n'a pas su intégrer ce bleu lumineux qu'il aurait fallu. Au lieu de cela un rose, parfois clair qui, certes, change du gris du reste de l'histoire, bien trop fébrile pour attirer avec force le lecteur sur cette "love story".
Il y a beaucoup à lire car les vignettes intègrent, pratiquement, tout le texte d'Orwell. La lecture est rendue difficile à cause du noir sur gris foncé employé par l'auteur. C'est bien dommage.
Mais, finalement, la teneur du récit est tellement gris, opaque et noir qu'il était difficile de choisir d'autres couleurs de fond, exceptée l'éclaircie amoureuse .
Sinon, en milieu d'ouvrage, le texte du livre de Goldstein, le renégat, est reproduit en intégralité. En appendice l'explication de la "Novlangue" ou "Néoparler".
Ah! J'allais oublier : "Big Brother is watching you" ou "Grand Frère te regarde". Et là, peut-être qu'il y a matière à réflexion.


Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Publié chez Grasset, le roman graphique, adapté et illustré par Fido Nesti, est une véritable prouesse tant ce chef d'oeuvre dystopique intemporel signé George Orwell est magnifié ici. Nous connaissons tous « Big Brother », « la novlangue » ou « néoparler », la langue officielle d'Océania inventée par Orwell dans son roman « 1984« . Tous ces mots sont rentrés dans le langage commun. Publié en juin 1949, quelques semaines avant la mort du grand auteur visionnaire, c'est ce dernier mot qui ressort de l'adaptation de Fido Nesti, la modernité, le caractère terriblement actuel de cette histoire. Car Big Brother est devenu la métaphore d'une société totalitaire inspirée du stalinisme et du nazisme et qui, aujourd'hui est reprise dans la critique de la faillite de nos régimes politiques démocratiques, et de nos sociétés consuméristes et ultra-libérales. C'est cela la force de 1984, chacun(e) peut y puiser matière à pourfendre les nouveaux serviteurs zélés de Big Brother dont le slogan est « Big Brother is watching you ». La novlangue qui fait appelé « Ministère de la Vérité » le ministère de la guerre, et tant d'autres mensonges, dont cette guerre interminable contre Eurasia, justifiant toutes les privations de liberté, mais aussi de nourriture, de logements insalubres et d'amour. Ainsi Winston Smith devient la figure métaphorique de la révolte silencieuse de cet homme qui décide de résister, tout en se sachant condamner, à très court terme, par la machine oppressive du régime totalitaire. Les purges se succèdent, des hommes et des femmes disparaissent du jour au lendemain, comme sous le stalinisme qui à mon sens est le modèle totalitaire ultime dénoncé par Orwell. « 1984 » est, et le mot n'est pas galvaudé, un chef d'oeuvre ultime contre la bien-pensance, les compromissions et les lâchetés de nos dirigeants et de leurs serviteurs zélés. Ainsi « 1984 » a plusieurs degrés de lecture et la force de ce roman graphique c'est d'amener un nouveau public plus jeune à lire « 1984 ». Pour ceux qui l'ont déjà lu, l'expérience est-elle aussi très forte tant les illustrations de Fido Nesti et l'adaptation du texte sont riches. le choix des couleurs, ce gris souligne l'aspect déprimant, triste, morne du quotidien à Océania. La première partie du roman graphique installe l'atmosphère de suspicion propre à Big Brother qui surveille tout et tout le monde tout le temps. le climat est angoissant et Winston Smith commence à se rendre compte que quelque chose ne va pas. Il le ressent au fond de lui, au delà de cette privation de liberté, il lui manque ce quelque chose si essentiel : l'amour. La seconde partie va nous conter l'histoire d'amour impossible, condamnée d'avance, secrète et pourtant si belle entre Winston Smith et Julia, si courageuse, véritable figure féminine forte qui ouvre les yeux à Winston Smith. Les illustrations de cette seconde partie sont mes préférées. L'amour est placée au coeur de cette histoire comme pour mieux souligner son aspect si précieux. Mais il ne pouvait en être ainsi et tôt ou tard ils le savaient, ils se feraient prendre par la machine à broyer de Big Brother et leurs noms seraient jetés dans l'oubli comme tant d'autres. A Rome déjà, durant l'antiquité, la damnatio memoriae était la pire des peines et elle visait les empereurs tyrans qui au delà de leur mort physique sont condamnés à l'oubli. Ainsi, cette troisième partie vous la connaissez tous, nous la connaissons tous. Je ne peux que vous inviter à lire et relire cette adaptation en roman graphique absolument exceptionnelle de 1984 de George Orwell adapté et illustré par Fido Nesti. C'est un évènement dans le monde de l'édition, publié chez Grasset, une réussite totale que je vous invite à découvrir si ce n'est déjà fait.
Lien : https://thedude524.com/2021/..
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Depuis un petit moment, je me suis mise à lire des romans graphiques.
Je les ai découvert grâce à "L'arabe du futur" de Riad Sattouf que j'ai beaucoup aimé. Jusqu'à présent, j'en ai lu très peu et ne suis donc pas une experte.

Je suis tombée à ma médiathèque sur « 1984 » de George Orwell. Je n'ai pas hésité une seconde pour l'emprunter. Comme je l'ai déjà précisé, n'étant pas une experte en la matière, je ne m'aventurerai pas dans une critique classique mais je tiens vraiment à donner mon avis.

J'ai trouvé ce roman superbe et j'avoue avoir été totalement bluffée par la réussite de ce livre. Être arrivé à mettre aussi bien en dessin graphique l'oeuvre magistrale de George Orwell est absolument prodigieux. Ce chef d'oeuvre dystopique n'est pas particulièrement facile à appréhender, alors le retranscrire de cette manière est très intéressant. J'ai trouvé que les images avec ces couleurs grises, rouges et noires reflètent particulièrement bien l'atmosphère oppressante de 1984, en tous les cas ce dont je m'en souviens l'ayant lu il y a très longtemps.

Résultat pour moi : une grande envie de relire, ce chef d'oeuvre intemporel !

Amis babeliotes, je vous invite à le lire aussi bien ceux qui ont déjà lu le roman que ceux ne l'ayant pas lu car il est vrai que le roman graphique peut être une autre façon de découvrir ou d'appréhender une oeuvre.

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Beaucoup de lecteurs ont buté sur la lecture de 1984 de George Orwell, il faut avouer que son style est assez austère, pas très vivant, et le rythme du récit pas particulièrement enlevé. C'est un style qui se prête au sujet, mais pas à l'aventure, c'est à dire un roman ou l'introspection politique passe avant l'action. Ce qui fait la force du roman, c'est aussi sa faiblesse, c'est avant tout de l'anticipation politique, un roman d'idées, les actions ne font qu'illustrer le propos.
Le risque d'adapter cette oeuvre en bande dessinée c'est où de trahir cette recherche intellectuelle, ou de paraphraser le roman. Personnellement, j'attend d'une adaptation un parti pris, une réponse graphique, je préfère une légère trahison à un simple accompagnement en image de l'écrit, sinon, autant lire l'original.
L'entrée dans le domaine public de cette oeuvre a été l'occasion d'une série d'adaptations en bande dessinée. Les publications se percutent, la comparaison est inévitable et je ne vais pas me gêner pour la faire.
Ici, le graphisme est assez austère, mais pas dans le sens de la dureté, il y a beaucoup de petites vignettes, beaucoup de texte, trop de textes, on n'a pas le temps de s'arrêter aux images, le trait est pas spécialement élégant, les personnages sont tous laids, on a vraiment du mal à croire à la romance. La gamme de couleur est limité, un gris, un rouge passé, elle apporte une ambiance vintage, mais sans donner au regard une circulation fluide, surtout avec toutes ces didascalies.
Cette version ne m'a pas vraiment emballée, beaucoup trop neutre, et presque ennuyeuse. J'ai eu l'impression que le graphisme était inutile, superflu, ce qui est quand même gênant pour une adaptation en bande dessinée. Elle me donne l'impression qu'il vaut mieux lire le roman original.
J'avais trouvé la version de Jean-Christophe Derrien et Rémi Torregrossa trop simplifiée et manquant aussi de personnalité, mais elle avait le mérite de rendre plus abordable le roman. Je n'ai pas encore lu les versions de Sybille Titeux de la Croix ou de Frédéric Pontarolo que j'espère découvrir un jour. Mais je ne saurais trop vous conseiller celle de Xavier Coste, très audacieuse, avec un réelle appropriation, qui ne trahit absolument pas George Orwell tout en apportant une nouvelle dynamique au récit. C'est d'ailleurs cette version qui a reçu le prix Fnac/France Inter cette année, et je cautionne ce choix.
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J'ai eu un peu de mal avec le graphisme en première approche, et puis finalement j'en arrive à la conclusion qu'il faut avoir cette oeuvre dans sa bibliothèque. Fidèle au roman, de ce que je m'en souviens. En le lisant, je n'ai pas pu m'empêcher de faire un parallèle avec ce mouvement qui prend de l'ampleur dans notre société, depuis quelques années et au fur et à mesure de la montée en puissance des réseaux pseudos sociaux, et qui me fait réellement peur pour l'avenir : le complotisme et le mensonge érigé en vérité coûte que coûte (et plus c'est gros, plus ça passe).
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