L'École des femmes

Lue dans un cadre scolaire, la pièce est très abordable et drôle.
Le personnage d'Arnolphe (St patron des cocus…) nous est désagréable, peu sympathique dans sa monomanie du cocuage mais cependant brillant dans sa rhétorique et sa satire.
Un petit livre sympa pour commencer à s'intéresser au théâtre je trouve.
Bonne lecture !

Arnolphe a recueilli quelques années avant une jeune orpheline, Agnès, et il l'a fait élever dans l'ignorance pour l'épargner de la perfidie des femmes. Il veut l'épouser, mais Agnès et tombée amoureuse d'Horace, le fils d'un ami.
Farce drôle grâce au fait qu'Horace ne sait pas que M. de la Souche est Arnolphe et que celui-ci essaie de se jouer de lui.

Une piece mythique du maitre incontournable et tres osee pour l'epoque (il faut toujours remettre dans le contexte de l'epoque les pieces classiques ) un regal à lire ou à voir sur scene !

Une comédie agréable à lire, aux scènes cocasses et aux rebondissements qui permettent de ne pas s'ennuyer et d'avoir une lecture sympathique.

Un roman que je croyais n'avoir jamais lu jusqu'à ce que je me rappelle de l'histoire. Mais j'ai pris du plaisir à redécouvrir cette histoire d'un de nos auteurs classiques français…

L'histoire est celle d'Arnolphe, qui souhaite épouser sa pupille Agnès, élevée dans l'ignorance, recluse dans un couvent. Mais, Arnolphe va rencontrer Horace, qui est tombé amoureux d'Agnès au premier regard, ce qu'il confie sous le sceau du secret à Arnolphe dont il ignore à la fois le rôle de tuteur et le changement de nom. Horace explique qu'il a pu courtiser la jeune fille et raille ce « M. de la Souche » qui la retient prisonnière.

Rapidement, j'ai compris que je l'avais déjà lu, mais j'ai eu le plaisir de retomber dans cette histoire d'une autre époque. J'ai beaucoup voire comment les mariages, les histoires se déroulaient à cet époque. Cela nous permet de voyager et de voir les pas de la société depuis jusqu'à nos jours.

Je ne m'en rappelais pas la fin et je pensais que cela allait finir pire. Mais en fait, c'était plutôt une jolie fin même si elle ne peut pas servir à tout le monde. J'ai franchement apprécié ce roman une fois finis.

Arnolphe est quelqu'un qui a peur d'être trompé par sa future femme. Ainsi, il a mis à l'abri Agnes pour pouvoir la faire innocente et pour pouvoir se marier avec elle. de nos jours, cela pourrait nous choquer, mais à l'époque, les mariages arrangeaient été courant. Mais ce qui me choque par ce personnage, c'est son manque de courage. Il a peur de ne pas combler sa future femme, il pense qu'elle va le tromper. Je trouve que cela est un manque de courage, d'appréciation de soins. Cela m'a un peu gêné.

Horace est un personnage que j'ai beaucoup apprécié par ses paroles, souvent sage, mais aussi son courage et sa patience. Puis, il doit avoir du charme, qui semble opérer sur Agnès. J'ai bien aimé ce personnage, qui sait tenir tête à son ami, même s'il ne le montre pas vraiment tout au long de la pièce de théâtre.

Agnès est une jeune fille assez innocente, qui a toujours vécu en dehors de la société, qui suit un peu ce qu'on lui dit. Même s'il lui arrive de se confier à Arnolphe, voir Horace. Elle a l'air un peu cruche, mais je l'ai quand même bien aimé, car elle représente bien les jeunes filles de bonne famille de l'époque.

Le style de théâtral est très différent de ce que je lis habituellement. Mais je trouve que c'est quand même facile à lire et très accessible. Je recommande cette pièce de théâtre quand on veut commencer dans ce style-là.

En général, une pièce de théâtre agréable permettant de comprendre comment les relations s'arrangées et se dérouler à cette époque.
Lien : http://www.fifty-shades-dark..

Tout le monde connait Molière mais très peu ses oeuvres en fin de compte... J'en fais partis, et je comptes bien y remédier ! Je me lances dans la lecture de ses oeuvres avec le plus grand plaisir après cette merveilleuse pièce de l'école des femmes !
Passage préféré : c'est quand le valet d'Arnolphe explique à la bonne la jalousie en comparant une femme à son potage où elle ne voudrait pas que quelqu'un y mette les doigts... Pas plus de commentaires !

Une savoureuse pièce étudiée au lycée. Les répliques et les quiproquos sont un régal à lire.
Encore un triangle amoureux, dans lequel Arnolphe, un homme d'âge mûr et souhaitant se marier n'entend pas se faire piéger par la gent féminine, qu'il considère comme perfide et calculatrice. La jeune et ingénue Agnès, tout juste sortie du couvent, s'avère être alors la candidate idéale...

Pièce de théâtre très bien écrite où le sujet de la femme au 17e siècle est très bien traité.

Un classique lu dans un cadre scolaire, que j'ai bien plus apprécié que ce que j'espérais. Des personnages tirés de la Comedia Dell'Arte, comme Arnolphe, ou plus originaux pour l'époque, comme Agnès.
Celle-ci m'a énormément plu.
Loin d'être aussi naïve qu'elle n'apparaît dans les premiers vers, elle se transforme peu à peu en une femme de caractère et d'esprit.
Molière défend l'éducation des femmes, et dénonce les mariages forcés, ce qui lui a valu mainte critique. J'ai aimé cette certaine prise de conscience, qui malheureusement tient encore de l'actualité. Peut-être l'une des premières oeuvres que l'on pourrait qualifier de "féministe"
C'est la première pièce de théâtre que je lis de ce grand dramaturge et j'ai l'envie imminente dans lire une nouvelle !

l'école des femmes est un livre très plaisant à lire, les personnages sont simples, et les nombreux quiproquos arrachent quelques sourires. Molière y dénonce ici le manque d'éducation des femmes et les mariages arrangés. C'est un plaidoyer de l'amour sincère, le seul point négatif pour moi est la fin que je trouve très brutle