Quels savoir-faire et quelles possibilités les rescapés ont-ils mobilisés pour transcrire la violence radicale dont-ils ont fait l’expérience ? Comment s’y prennent les écrivains et artistes : quelle est leur boîte à outils, quelles lectures les ont nourris, quelles sont les ressources culturelles aux quelles ils font appel ? Quel est le programme ou la visée de leur œuvre ?
une interrogation sur la capacité d’une culture à inclure dans la sphère du sens une violence dont les principes étaient tout entiers mobilisés pour la détruire définitivement