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4,15

sur 1387 notes

Ayant adoré la série Blackwater, j'ai poursuivi ma découverte de l'auteur avec Les aiguilles d'or.

J'ai été ravie de retrouver une ambiance dingue. Les sombres rues du New-York de la fin du 19e siècle y sont extrêmement bien décrites : criminalité, dépravation et misère crasse. La rivalité entre deux familles de condition opposée va nous embarquer dans des évènements de plus en plus sombres et mortels.

Ici pas de héros, les côtés les plus repoussants de l'être humain sont étalés et gare aux faibles et aux innocents qui ne pourront qu'être broyés par les intrigues politiques et la bien-pensance de l'époque.

Même si j'ai préféré Blackwater avec sa pointe de fantastique, je me suis laissé séduire par cette terrible histoire de vengeance…

Les éditions Monsieur Toussaint Louverture prévoient de sortir d'autres titres de l'auteur, je serai au rendez-vous !

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Moi qui avais beaucoup aimé la saga " Blackwater", je me réjouissais de lire ce roman du même auteur décédé. le sujet et la période couverte m'attiraient. Mais je n'ai pas réussi à dépasser la page 200, tellement je m'ennuyais. C'est lent, il y a beaucoup de descriptions et les personnages sont décrits de manière très manichéenne. Les pauvres sont laids, sales et des voleurs ; les riches sont hypocrites et beaux mais mauvais. Je ne connaîtrai jamais la fin. Je n'aime pas abandonner un roman mais d'autres plus intéressants m'attendent.
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Roman noir par excellence, "Les aiguilles d'or" nous emporte dans le New-York de la fin du XIXème siècle dans une histoire de vengeance entre deux familles que tout oppose.
Si vous connaissez le film "Gang of New-York" de Martin Scorsese avec DiCaprio, c'est une ambiance presque identique car cela se passe une poignée d'années plus tard, on y retrouve même le fameux quartier des "Five Points" et les "Dead Rabbits" et cette animosité des "riches natifs" envers le peuple irlandais, cette bourgeoisie insolante, autaine propre à ceux qui ont tout et surtout l'influence et le pouvoir, sans oublier les fausses bonnes manières.
Donc l'ambiance est posée, de quartiers bourgeois aux rues insalubres et malfamées des quartiers pauvres, ici "Le Triangle Noir" ou violence, salles de jeux clandestines, prostitués, caves à opium, maladies et misère cohabitent.
J'ai adoré cette impression étouffante dans le Triangle Noir, c'est vraiment très immersif, tout comme le puritanisme du clan conservateur implanté dans le système judiciaire mais aussi religieux.
Les personnages, malgré qu'ils soient presque tous pathétiques dans leurs comportements, sont fascinants, j'ai beaucoup aimé Benjamin, un jeune homme un peu simplet ainsi que sa soeur Helen, une jeune femme révoltée contre le comportement de ses proche et empathique à la misère du monde dans la famille Stallworth. Nous ne sommes pas en reste avec la famille Shanks qui vaut vraiment le détour autant dans leur débrouillardise que dans leur haine des Stallworth.
Pleins de détails dans l'intrigue m'ont fascinés.
Le final est très bien emmené et est vraiment cruel, glauque à souhait.
L'écriture de Michael McDowell est très visuelle, limpide, tout en étant bien développée avec des descriptions visuelles ou sentimentales dignes d'un film historique.
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New-York, 1882.
Dans les bas-fonds de la ville, le vice prospère.Dans les beaux quartiers, la vertu impose de mettre un terme à cette déchéance physique et morale.
Dans la cour des miracles qu'est le Triangle noir, les femmes de la famille Banks ont chacune leur spécialité : avorteuse, receleuse, lutteuse, faussaire. A quelques rues de là, la famille Stallworth compte un juge, un pasteur et un avocat qui entendent bien éradiquer le mal qui ronge ce sinistre quartier. Mais les frontières sont plus poreuses qu'il n'y paraît et ces deux univers entretiennent des liens peu avouables et se nourrissent mutuellement. Bien vite, chaque clan est animé d'un féroce désir d'exterminer l'autre ; la presse et les journalistes se révèlent particulièrement efficaces pour souffler sur les braises et attiser les rancoeurs.
L'auteur manie admirablement l'ironie et on se surprend à sourire franchement en voyant l'inventivité des miséreux pour ridiculiser les puissants aveuglés par leur vanité et leur étroitesse d'esprit.
C'est un grand plaisir aussi, dans cette fresque sociale au vitriol, de découvrir la galerie de personnages féminins qui ne se laissent pas enfermer dans un rôle et savent user de ressources multiples pour défier les hommes.
Derrière la couverture riche et soignée se cache une lecture prenante aux chapitres construits comme des épisodes de série, renvoyant dos à dos deux univers incompatibles mais qui ne peuvent s'ignorer.
L'immersion dans cet univers sordide est particulièrement réussie et il est difficile de lâcher ce roman dont les pages se tournent toutes seules.
Je remercie vivement Babelio et les éditions Monsieur Toussaint Louverture pour m'avoir offert cette réjouissante lecture.
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Avant tout, merci à Nico qui m'a parlé de ce livre en MP, pendant mon absence sur Babelio. Je l'ai acheté la semaine dernière et je viens de le lire quasi d'une traite.
Ce roman se passe à New York en 1882, et nous montre deux familles que tout oppose. La famille Stallworth tout d'abord. Patriarcale, riche, républicaine et ambitieuse, on y trouve un juge, un prêtre presbytérien, un avocat,qui tous les trois manigancent pour prendre la place des démocrates aux prochaines élections municipales.
En face, la famille Shanks, où se retrouvent une receleuse, une prostituée, une avorteuse et une faussaire, que des femmes.
Loin d'être pauvres mais vivant dans un des quartiers misérables du Lower Manhattan, et vivant d'activités criminelles.
Avec beaucoup de talent, l'auteur nous sert un roman historique très noir et puissant, et fustige au passage la violence du système judiciaire de l'époque, du capitalisme naissant, et des campagnes de presse orchestrées pour renverser l'opinion publique. Et c'est passionnant.
L'histoire est bien construite, l'ambiance est bien rendue, on y est.
J'ose la comparaison, c'est comme un très bon Scorcese (cf Gangs of New York ou le temps de l'innocence) mais en livre.
Quant au livre, parlons de la couverture magnifique, qui m'a évoqué les vieilles éditions de Jules Verne datant de la fin du XIXe, juste magnifique.
Très bon moment de lecture.

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"Les Aiguilles d'or" de Michael McDowell offre une plongée saisissante dans le New York de la fin du XIXe siècle, où règnent l'opulence et le faste d'un côté, et le vice monnayé et l'alcool frelaté de l'autre.
Le roman débute assez lentement, mais progressivement, l'auteur tisse une toile de personnages et d'intrigues qui m'a plongé dans un scénario implacable. À travers cette histoire, McDowell dresse une critique acerbe de la société de l'époque, mettant en lumière l'abus de pouvoir des élites et les inégalités sociales criantes.
L'écriture de l'auteur, empreinte d'un humour cynique, reflète parfaitement l'atmosphère sombre et oppressante du Triangle Noir de New York. Les descriptions minutieuses m'ont transporté dans une ville où règnent la misère, la maladie, la violence et la corruption.
Pourtant, malgré la noirceur de l'histoire et la profusion de détails sur la vie à cette époque, j'ai trouvé la mise en place un peu longue. de plus, l'absence de personnages véritablement “bons” peut être un point négatif pour certains.
Cependant, "Les Aiguilles d'or" reste un roman fascinant qui offre une plongée immersive dans un New York sombre et brutal, où la vengeance et la violence règnent en maîtres. La tension monte crescendo jusqu'à un dénouement plus que satisfaisant à mon sens et qui plaira sans doute aux amateurs de thrillers historiques.
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Il fait moins de bruit que la série Blackwater et pourtant ce second roman de Michael McDowell édité par Monsieur Toussaint Louverture est à mon goût encore meilleur.

L'auteur nous raconte la confrontation entre deux familles de classes opposées à New York en 1882.
D'un côté il y a Lena Shanks, matriarche d'un clan de criminelles, reine du Triangle Noir, le quartier pauvre de la ville où maisons de jeux clandestines, fumeries d'opium, prostitution et misère sont la norme.
De l'autre, à quelques rues de là, le juge James Stallworth et sa famille. Dans son élégante demeure, au milieu de la bonne société puritaine new-yorkaise, le juge fait la loi et aspire à toujours plus de reconnaissance pour les siens.
L'argent et le pouvoir des Stallworth, n'empêchera pas la vengeance des Shanks.

McDowell, à la façon d'un Dickens, explore les rues sombres et sordides de la ville. Il nous immerge dans le Triangle Noir, où tout n'est que crasse et où l'on vit dans le dénuement le plus total. Des enfants affamés croisent des marins ivres, des escrocs, des receleurs, des tapineuses. C'est le royaume de la débrouille.
En parallèle, l'auteur nous transporte dans les quartiers huppés où les bonnes manières sont de rigueur. Mais c'est pour mieux gratter le vernis de la respectabilité des classes supérieures.

Ne cherchez pas la nuance dans cette fiction. Tout est très manichéen et on le comprend très vite. Mais que c'est accrocheur ! L'ambiance, les personnages, l'intrigue, tout est parfaitement ficelé. Les pages défilent jusqu'au final qui (contrairement à Blackwater) est juste parfait. Rien de compliqué et pourtant faire aussi efficace ce n'est pas donné à tout le monde. Je vous assure qu'il y a de quoi redonner le goût de la lecture à n'importe qui.
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J'ai été très enthousiasmée par cette lecture, d'abord pour l'ambiance. 

Michael McDOWELL avec son écriture visuelle réussissait à transmettre son New york de la fin du 19ème en une peinture gothique et étrange, on y trouve des couleurs austères des tons rouges, de la dorures, des jeux d'opacité, des ombres, des lumières tamisées ou éblouissantes, mêlée à des odeurs d'opium ou de parfums âpres, des sons où les lieux, les maisons, les chambres, sont des personnages à part entière.

J'avais apprécié Blackwater pour l'ambiance et les personnages et selon moi LES AIGUILLES D'OR a un atout supplémentaire, je l'ai trouvé passionnant, plus habile, plus sombre, plus profond, plus détaillé.

Les personnages de ce roman sont iconiques.

Vont s'affronter deux clans :

La famille riche prospère catholique respectueuse de l'ordre, de la morale morale, les STALLWORTH, avec son pasteur et ses enfants : Benjamin, le vilain petit canard hideux et la douce et venerable Helen (mon personnage favori), le juge republicain James si intransigeant, si haineux, qui a soif de pouvoir et qui veut écraser "la vermine" du Triangle noir, qui elabore un stratagème scabreux avec l'aide du journal Tribune et de son journaliste Simeon Laughter, et de Duncan Phair son beau-fils qui cache bien des secrets.

La femme de ce dernier Marian, la bourgeoise stereotypée et la repugnante aversion qu'elle a pour les pauvres, et les jumeaux Edith et Erwin promis à un si bel avenir.

Certains membres du clan STALLWORTH vont donc s'en prendre au Triangle Noir et sans le savoir plus frontalement à un clan de femmes criminelles tout autant iconiques : les SHANKS qui représentent le vice, la corruption.

Les manigances menées par Lena, la grand-mère allemande qui a eu par le passé affaire au juge STALLWORTH et qui a perdu trois des siens. Ses filles Louisa connu pour ses recels et Daisy, l'avorteuse mère de deux enfants Rob et Ella vont faire preuve de beaucoup d'intelligence dans leur plan macabre pour parvenir à réaliser le dessein de la grand-mère meurtrie.

Les personnages sont à quelques exceptions prêts très mauvais dans les deux clans mais ils disposent chacun d'humanité selon leur condition, le contexte, leur milieu…

McDowell a l'art pour tisser les interactions des personnages, pour une histoire cohérente, pleine de rebondissements. Les personnages sont tous bien décrits, denses, consistants, certains sont poussés dans leurs retranchements les plus sombres, les plus extrêmes (Duncan est bien malmené, Benjamin est le dindon de la farce, Helen la douce, la mère des jumeaux, le juge, le pasteur) et c'est juste très jouissif.

Ce roman est musclé, le rythme est agréable de petits chapitres de 10 pages tout au plus et il est divisé en deux parties, le suspense plane, on retient son souffle.

La traduction est irréprochable, l'écriture est très agréable.

La première partie évoque beaucoup les habitudes des deux clans, d'abord les manigances des riches Stallworth. le second chapitre, met plutôt en lumière les conséquences de leurs actions menées envers le Triangle noir et les conséquences que cela aura sur le clan SHANKS qui prend la lumière pendant que l'autre famille n'a pas le temps de se mordre les doigts de s'en être pris de manière si odieuse, grotesque, humiliante à la pauvreté.

En plus, l'auteur a beaucoup d'humour et certaines descriptions de personnages ou de situation sont à hurler de rire et ça fait du bien, car l'histoire est sombre.

Certains passages m'ont rappelé l'univers de Dickens, mais aussi de Burton et de Lovecraft, de Stephen King.

Que s'est-il passé pour ces deux clans à partir du premier janvier 1882 ? Je ne vous en dis pas plus. Jetez-vous sur ce one shot à partir du 06 octobre en librairie, vous ne pourrez pas le louper avec sa magnifique couverture rouge argentée et dessinée par Pedro Oyarbirde.

L'excellente nouvelle est que la maison d'édition prévoit de sortir 4 autres romans de feu McDowell dans les deux prochaines années à venir, à intervalle de 6 mois.

On est vernis comme dirait l'autre !

Je remercie la M.E et babelio pour l'envoi de ce roman, dans le cadre d'une masse critique privilégiée.

Je suis impatiente de découvrir les 4 prochains romans.

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Comme le nouveau roman de Michael McDowell aux éditions Monsieur Toussaint Louverture est sorti et qu'il va rejoindre ma PAL d'un instant à l'autre, j'ai choisi de revenir sur cette lecture- Les Aiguilles d'or- que j'ai fini il y a déjà un moment. J'avais adoré la Saga Blackwater et je me lançai sans hésitation aucune dans la lecture de celui-ci.

Dans le New-York des années 1882, on suit les aventures de deux illustres familles. L'une a fait son commerce dans les quartiers malfamés alors que l'autre est une famille bourgeoise. Pourtant, les deux vont se retrouver intimement liées...

Une lecture qui nous happe, où chaque page nous laisse entrevoir un monde plus machiavélique que la page précédente. On sursaute, on a des haut le coeurs, mais il nous est impossible de refermer le livre avant sa fin !
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New York, nouvel an 1882. Les gentlemen rendent visite aux dames (respectant ainsi la coutume du Jour de l'An instauré par les Hollandais au XVIIè siècle) du matin jusqu'à la tombée de la nuit et la ville (enfin les quartiers riches) n'est qu'une monstrueuse ruche et la première journée de l'année n'est que mondanité et courbette. Les gentlemen se vantent d'avoir avalé un verre dans chaque maison qu'ils visitent et les dames s'enorgueillissent du nombre de cartes de visites laissées par les convives. Pendant ce temps, dans les quartiers pauvres, les coupe-gorges, les vieux appartements miteux, les bars et tables de jeux sordides, les hôtels de passes, bref les bas-fonds de New York où s'entasse toute la misère et le vice, les enfants meurent de faim, des vieux meurent dans leur lits et les escrocs sont de sortie.

Michael McDowell nous entraîne sur les traces de deux familles new yorkaise. Les Stallworth qui appartiennent à la première catégorie et les Shanks, qui eux, figurent dans la seconde. Les Shanks font partie d'une lignée corrompue de criminelles. A leur tête, Lena Shanks dite Lena la Noire, originaire d'Allemagne, arrivée à New York à l'âge de seize ans. Elle dirige l'organisation familiale avec ses deux filles, Daisy, une avorteuse réputée et Louisa, une faussaire de génie, ses petit-enfants Rob et Ella ainsi que sa belle-soeur Maggie (qui porte en permanence des verres teintés et des gants, je vous laisserai découvrir pourquoi). Elles traitent uniquement avec des femmes et leurs domaines d'activités sont nombreux : vol à l'étalage, pickpocket, escroquerie, paris, prostitution, meurtre, avortement clandestin. Elles tiennent un établissement de prêteur sur gage dans le "Triangle Noir", zone entre MacDougal Street et la rivière, délimitée au sud par Canal Street et au nord par Bleeker Street.

En ce qui concerne la lignée des Stallworth, le patriarche James Stallworth, juge républicain, connu pour vous envoyer à Sing Sing ou Blackwell's Island en un claquement de doigt, dirige d'une main de fer son tribunal et sa famille. Son fils, Edward, est un pasteur influant qui peut compter sur un nombre importants de fidèles parmi la communauté. Sa fille, Marian, est marié à Duncan Phair, un avocat aux dents longues promis à un bel avenir. Enfin, le juge a quatre petit-enfants, bien que décevants pour lui, ils devraient néanmoins assurer la lignée de la famille.

Le juge Stallworth a pour projet de dénoncer la politique laxiste de la ville dirigée par des démocrates et l'inefficacité de la police. Il profite de la mort d'un avocat le jour de l'an pour concocter un plan, qui dis-je un grand projet ! Celui d'éradiquer l'un des coins les plus gangrenés de la ville, le fameux "Triangle Noir". Avec l'aide de son fils Edward et ses sermons incendiaires ainsi que son gendre et un journaliste du Tribune, ils comptent bien se mettre l'opinion public dans la poche et révéler à la face du monde ce qu'il se passe dans ce quartier. Mais s'attaquer au "Triangle Noir" c'est s'attaquer au Shanks et à leur affaire. Lena ne compte pas se laisser faire, d'autant plus qu'elle a un vieux contentieux à régler avec le juge. Une vraie partie d'échec commence entre les Stallworth et les Shanks et ils se pourrait bien qu'aucun des deux ne sortent gagnants d'un tel affrontement. Vous connaissez l'expression "oeil pour oeil, dent pour dent", car c'est de ça qu'il s'agit dans ce roman.

Les aiguilles d'or est un roman ingénieux, très bien construit, petit à petit l'intrigue se révèle, les personnages sont délectables (Maggie Kizer est ma préférée). On ne s'ennuie pas une seconde, tout ça sur fond de lutte des classes, de corruption et de vengeance. Autant la fin de la série Blackwater m'avait un peu déçu autant ici je me suis régalé d'une telle perversité et d'un tel esprit créatif dans la vengeance !!! J'attends avec impatience Katie du même auteur.
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