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4,15

sur 1387 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Moi qui avais beaucoup aimé la saga " Blackwater", je me réjouissais de lire ce roman du même auteur décédé. le sujet et la période couverte m'attiraient. Mais je n'ai pas réussi à dépasser la page 200, tellement je m'ennuyais. C'est lent, il y a beaucoup de descriptions et les personnages sont décrits de manière très manichéenne. Les pauvres sont laids, sales et des voleurs ; les riches sont hypocrites et beaux mais mauvais. Je ne connaîtrai jamais la fin. Je n'aime pas abandonner un roman mais d'autres plus intéressants m'attendent.
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Globalement très déçu par ce livre. Je me suis aussi laissé séduire par la couverture qui semble prendre une grande part dans son appréciation globale. Néanmoins je trouve les personnages stéréotypés et prévisibles qui nous amènent à une issue totalement prévisible mis à part les moyens. Seule une vision manichéenne totalement floue et incertaine m'a semblée intéressante, ce qui m'a permis d'être curieux et de mener à bout ma lecture.
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Ça n'engagera que moi, mais quelle déception!
Je ne m'attarderai pas sur la couverture qui est sublime comme toujours lorsqu'il s'agit de MCDowell chez l'éditeur MTL.

Conscient que l'histoire était différente de Blackwater (que j'avais infiniment aimé!!), j'attendais beaucoup de ce roman mais je suis très déçu.
Les personnages ne sont pas attachants, des pages et des pages et des pages pour décrire les bas-fonds de New York, ses sordides habitants d'un côté, ces gens de la haute société de l'autre, menés par un patriarche sévère. L'histoire décolle très timidement au milieu du livre et le dénouement se fait progressivement ensuite mais sans aucune surprise.
Et ce style, non mais c'est quoi? Que de narration, très peu de dialogues, les personnages ne prennent pas vie et chaque action est juste décrite d'un lointain point de vue.
J'espère que les prochaines publications de Mcdowell seront plus agréables.
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Découvert par hasard dans ma librairie, je n'ai pas hésité une seule seconde à l'emporter après avoir beaucoup aimé la saga Blackwater, j'en attendais donc beaucoup, sans doute trop... J'ai tenu à le lire jusqu'au bout dans l'espoir de terminer sur une bonne note (et aussi parce que je n'aime pas abandonner un livre) mais sa lecture aura été laborieuse. Il faut passer les 250 premières pages de description interminable pour que l'histoire commence à décoller, mais même arrivée à cette étape, l'histoire reste lente, plate, sans nuance, on s'y perd dans tous ces détails qui n'apportent pas grand chose et les personnages sont trop attendus, tout comme la fin qui ne laisse aucune surprise sur le fond.
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Après avoir rapidement abandonné Blackwater, une saga insipide et incohérente devant laquelle, va comprendre pourquoi, le monde entier s'extasie, j'ai tout de même décidé de pousser le vice : je suis allé voir ce qu'il en était de cet autre succès de librairie signé de l'écrivain américain mort au siècle dernier. le roman, exhumé comme les précédents par Monsieur Toussaint Louverture, une maison qui s'est imposée comme la spécialiste des livres-objets, est enrobé avec soin. Ce dernier point explique en partie le succès posthume de l'auteur. Ses livres, ouvragés et lumineux - beaux - tapent à l'oeil du chaland, si tant est que celui-ci soit esthète.

Passée la couverture finement embossée, le prologue plonge le lecteur en plein réveillon de l'an 1882. Quelques pages très prometteuses suffisent à planter le décor et à donner le ton. C'est dit : l'intrigue sera romanesque, la forme habile. Quelle perspective ! Malheureusement, cette première impression s'estompe dès l'entrée dans le coeur du roman. La trame se révèle rapidement laborieuse, pour ne pas dire poussive. C'est lent... mais lent... Pour sûr, l'auteur n'a jamais pris le risque de confondre vitesse et précipitation. L'histoire, qui se situe à New-York où s'opposent les extrêmes de l'échelle sociale, d'une part les trafiquants des bas-fonds, d'autre part les avocats qui entendent débarrasser la ville de sa vermine, met une éternité à se développer. Mickael McDowell prend donc tout son temps pour organiser et diriger ses nombreux personnages, souvent réduits à leur fonction et si peu nuancés qu'aucun n'a retenu mon attention. Ceux-ci rivalisent de stéréotypes et, bien que l'auteur ait tenté ici ou là de semer le doute quant à leurs motivations, son résultat confine au manichéisme. Les méchants sont méchants, les gentils sont gentils et tous se noient dans une foule à la fois confuse et homogène. Quant aux classes sociales que les uns et les autres représentent, elles souffrent du même constat, frappé au coin des poncifs attendus.

Pour autant, et malgré ses gros défauts, le roman se laisse lire, sans doute du fait d'un décor particulièrement visuel, son unique élément vaguement mémorable. En effet, s'il a oublié de dynamiser son intrigue et si sa distribution manque cruellement d'épaisseur, l'auteur s'est démené sur l'arrière plan et en a peaufiné les détails. D'ailleurs, l'illustrateur de la couverture, Pedro Oyarbide, semble l'avoir bien saisi : une ruelle humide jonchée de poubelles, des façades et des commerces, un ciel étoilé hachuré par la fumée des cheminées... mais... la scène est vide. Personne n'arpente le pavé du Triangle Noir, le quartier malfamé dont il est question ici. La couleur n'était-elle pas annoncée dès le départ ?

Touchez mon blog, Monseigneur...
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J'avais dévoré la saga Blackwater , en voyant les aiguilles d'or je me suis dis que ça serait la même chose. J'ai été déçu.
On garde l'univers de l'auteur mais j'ai trouvé cela trop long et trop peu d'action ou de suspense.
Les personnages ne sont pas vraiment attachants ( peut-être Helen ?) , il y a trop de descriptions , trop de bruits autour du fil conducteur .
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