AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,15

sur 1387 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Je l'avoue : je n'ai pas succombé à la folie « Blackwater ». Certes, j'ai lorgné bien des fois sur le premier tome de cette saga encensée en tous lieux et à commencer par Instagram et consorts. J'ai été tentée plus souvent qu'à mon tour par la beauté des livres si joliment ouvragés des éditions de Monsieur Toussaint Louverture, par le résumé de « La Crue » bien séduisant et par les envolées lyriques de centaines de lecteurs envoutés… mais à chaque fois, au dernier moment, j'ai renoncé. J'ai eu peur d'être déçue, peur de m'embarquer pour six tomes dont certains risqueraient fort de se révéler déceptifs (je souffre de la malédiction du final décevant moi, et croyez-moi, c'est terrible et douloureux !), peur des quelques critiques négatives glanés ça et là de la part de lecteurs dont j'estime l'avis, peur d'un engouement de réseaux sociaux qui sonneraient un peu creux au fond, un peu « mode »…
Et donc, malgré tout cela, j'ai succombé aux « Aiguilles d' Or »… un peu pour les mêmes raisons qui ont pu me faire saliver face à « La Crue » et consorts : la beauté de l'ouvrage (ce petit côté victorien glauque… ces dorures… ), le résumé (bien plus tentant en réalité que ceux de « Blackwater » et l'avis d'une amie qui m'a dit « Je n'ai pas aimé Blackwater, mais Les Aiguilles d'Or, tu peux y aller les yeux fermés » (ce qui serait dommage, avouons-le !).
J'ai succombé (« veni »), j'ai lu (« vedi »), j'ai adoré (« victus sum »).
Bon sang, quel plaisir ! Quel pied que ce roman de Michael Mc Dowell que j'ai dévoré goulûment dans lequel j'ai retrouvé tout ce qui fait le sel d'un roman populaire, au sens noble du terme, d'un roman feuilleton à la Dumas ou à la Dickens : une histoire brossée avec gourmandise, fluidité, énergie qui entraîne le lecteur échevelé dans son sillage, des personnages bien campés, riches, un contexte puissant et une langue évocatrice, colorée. « Les Aiguilles d'Or » ont vraiment quelque chose d'un texte de Dickens, les bons sentiments et la grandeur d'âme voire la noblesse en moins, le trash et l'impolitiquement correct en plus. Dickens habillé en punk (« no future ») voire en grunge… Dickens adapté par Scorcese ! Ebouriffant ? Oui. Convaincant ? Irrésistiblement. Efficace ? Foutrement. Et puis, il y a plus que cela… Derrière le fracas à la Kurt Cobain, la portée engagée du roman et de son auteur, les contours d'un roman plus social qu'il n'y paraît de prime abord, qui tire à boulets rouges sur un capitalisme sauvage et inextinguible engendrant les inégalités les plus violentes qui puissent être, qui en dénonce les excès avec feu. « Les Aiguilles d'Or » c'est aussi le roman de la lutte des classes personnifiée, une lutte sanglante.
Le roman s'ouvre sur un prologue particulièrement réussi. Nous sommes le 1er janvier 1882 et, dans cette bonne ville de New-York, chacun accueille la nouvelle année à sa manière. Dans les ors ou la misère. En baffrant ou en crevant de faim et de froid. En s'enivrant élégamment ou en picolant sans pudeur. En crevant d'ennui ou de manque d'amour. Il va de soi que la célébration n'est pas la même dans les beaux quartiers que dans les bas-fonds (qu'en 2024, elle n'est pas la même à Neuilly qu'à Aulnay-sous-Bois… mais pardon : je m'égare !) et on comprend bien vite que les silhouettes qu'esquisse ce prologue nous seront bientôt familières, qu'elles seront bientôt personnages, et quels personnages !
Ensuite le chapitre 1 qui ouvre vraiment la danse de ce qui ressemblera un peu à un « Gangs of New-York » littéraire. Comme chez Scorcese, deux camps s'opposent ici aussi…
A ma droite, je demande l'éminente, la respectable, l'aristocratique, la très correcte famille Stallworth et tout d'abord le grand-père, un juge républicain et la terreur de tous les tribunaux de la cité. J'appelle ensuite le fils : un pasteur aux prêches passionnés et d'une moralité sans failles. Puis vient la fille, l'épouse on ne peut plus correcte, on ne peut plus mondaine d'un avocat de renom dont on devine les ambitions sous le vernis. Oh regardez qui entre à présent ! La troisième génération de la très digne dynastie Stallworth ! Il y a les enfants du pasteur d'abord : lui est un peu naïf, le crétin de la famille qui aime à perdre au jeu la fortune dont il héritera un jour. Elle est beaucoup plus calme, d'aucuns diraient même de cette jeune fille fort commune qu'elle est austère. Pieuse ? Peut-être ? Et les deux enfants qui viennent, rieurs et bien nourris, sont les rejetons de la mondaine et de l'avocat.
A ma gauche, voici les Shanks. Une lignée essentiellement féminine, une lignée « fleur de pavés », une lignée qui fleure bon la pègre, l'usure, le meurtre, la violence et la débrouille, le courage aussi, des bas quartiers. La matriarche règne en maîtresse sur le « Triangle Noir » de sinistre mémoire et est à la tête d'une fortune telle que l'or semble un trésor bien peu couteux pour elle et les siens… Ses filles d'abord (la blondinette fait des anges de ses blanches mains qu'il paraît, l'autre ne parle pas mais on dit qu'elle est forte comme trois hommes et que les affaires n'ont aucun secret pour elle) puis sa belle-soeur, toxicomane toute en finesse et en raffinements. Ses petits-enfants enfin, les meilleurs tire-laines de tout le pays…
Entre ces deux clans, une dette à payer, du sang et la vengeance. Implacable vengeance qui va s'épanouir au coeur de sombres machinations (de vraies magouilles !) politiques visant à rendre New-York aux républicains… Vaste programme qui prend la forme d'un roman trépidant, d'une extrême noirceur où les pires salopards ne sont pas ceux qu'on croit, où la presse ne vaut pas mieux que celle d'un certain monsieur B., où l'intrigue file à toute vitesse et où on se surprend à s'attacher à des personnages tout sauf… attachants dont on se délecte des mésaventures et des turpitudes, comme un matou se délecte de la souris qu'il vient de capturer… Ce sont d'ailleurs eux, le point fort du roman : les personnages, complexes, fouillés, caractérisés, uniques. Ce sont eux qui font avancer l'intrigue, eux qui donnent le ton ! McDowell les a gâtés et nous gâte par le même occasion en nous offrant des héros qui n'en sont pas et des anti-héros qui ne sont pas que ça, des personnages jouissifs qui orchestrent leurs plans et leurs vengeance en virtuose qui nous apprennent que les chevaliers blancs ne sont pas toujours les plus purs, que la vie peut-être sacrément chienne aussi et qui caracolent à toute vitesse après avoir pris le temps de s'installer dans le décor, l'intrigue et de nous y installer aussi.
Des Aiguilles aussi réjouissantes que divertissantes, peut-être vaguement manichéennes parfois mais profondément sociales. Un vrai délice.

Commenter  J’apprécie          172
Un excellent thriller où nous allons suivre deux familles que tout oppose, dans le New-York du XIXe siècle. le juge Stallworth est absolument détestable, de même que toute sa famille d'ailleurs, les plus jeunes mis à part. Il est prêt à tout pour faire de New-York une ville plus "sûre" et obtenir la gloire qu'il mérite. du côté du Triangle Noir, la famille Shanks est tout aussi déstabilisante, bien qu'un petit peu plus attachante.

Mais ce que j'ai adoré, ce sont ces petits frissons de peur réguliers qui m'ont assaillie tout au long du roman. Les yeux perçants de Lena Shanks continuent de me glacer le sang des jours après la fin de ma lecture.

C'est glauque, c'est une sale histoire de vengeance absolument divertissante qu'on ne peut lâcher, jusqu'au point final. Noir et cynique à souhait. J'ai adoré !
Commenter  J’apprécie          130
Si l'adage dit qu'il ne faut pas juger un livre à sa couverture, les éditions MTL ont de cela de particulier que l'on peut. le livre est aussi beau que bon et comme pour la saga Blackwater, quel plaisir, une fois le livre terminé, d'observer tous les petits détails de couvertures et de s'en remémorer la substance.

La facilité de certains clichés permettent d'approfondir l'opinion et la compréhension du lecteur, ce qui est agréable. Les éléments attendus à certains endroits sont présents tandis que d'autres nous surprennent, le juste milieu est trouvé et maîtrisé.

Il faut par contre s'accrocher sur la découverte des - nombreux - personnages lors des 100 premières pages. En effet on aurait vite tendance à en perdre le fil.

Et si vous hésitez dites vous que dans le pire des cas vous aurez un magnifique livre dans votre bibliothèque

Commenter  J’apprécie          00
New York 1882, le juge Stallworth appuyé par son fils Edward et son gendre Duncan, décide d'éradiquer le mal à fin d'asseoir sa notoriété et il s'en prend ainsi à la famille Shanks. On entre alors dans un univers sombre aux allures de roman victorien. Roman structuré en deux parties : La première décrit la pauvreté absolue de certains habitants, leurs techniques ou combines pour survivre plus que vivre, et les différents protagonistes de la famille Shanks... ainsi que les stratagèmes du juge pour se débarrasser de ce "monde de débauche". Pour la seconde partie, ... disons simplement que la famille Shanks ne s'en tiendra pas là.
La précision des descriptions que fait l'auteur nous immerge avec beaucoup de réalisme dans cette lutte des classes aux faux-semblants de lutte du bien contre le mal.
Le livre m'a passionné. Il est, comme très souvent aux éditions Monsieur Toussaint Louverture et comme tous les livres de la série Blackwater, un très bel objet, contribuant également au plaisir de lecture
Commenter  J’apprécie          80
Avant tout, merci à Nico qui m'a parlé de ce livre en MP, pendant mon absence sur Babelio. Je l'ai acheté la semaine dernière et je viens de le lire quasi d'une traite.
Ce roman se passe à New York en 1882, et nous montre deux familles que tout oppose. La famille Stallworth tout d'abord. Patriarcale, riche, républicaine et ambitieuse, on y trouve un juge, un prêtre presbytérien, un avocat,qui tous les trois manigancent pour prendre la place des démocrates aux prochaines élections municipales.
En face, la famille Shanks, où se retrouvent une receleuse, une prostituée, une avorteuse et une faussaire, que des femmes.
Loin d'être pauvres mais vivant dans un des quartiers misérables du Lower Manhattan, et vivant d'activités criminelles.
Avec beaucoup de talent, l'auteur nous sert un roman historique très noir et puissant, et fustige au passage la violence du système judiciaire de l'époque, du capitalisme naissant, et des campagnes de presse orchestrées pour renverser l'opinion publique. Et c'est passionnant.
L'histoire est bien construite, l'ambiance est bien rendue, on y est.
J'ose la comparaison, c'est comme un très bon Scorcese (cf Gangs of New York ou le temps de l'innocence) mais en livre.
Quant au livre, parlons de la couverture magnifique, qui m'a évoqué les vieilles éditions de Jules Verne datant de la fin du XIXe, juste magnifique.
Très bon moment de lecture.

Challenge des 50 objets 2024-2025
Commenter  J’apprécie          197
J'ai beaucoup aimé la plume de cet auteur.

Le récit est fluide, on suit l'histoire de deux familles que tout oppose.

Il y a du suspens, des moment plus « plats » pour repartir vers différents « mystères »

Certains personnages sont très attachants à leur manière et sont assez diversifiés au niveau des caractères.

Je ne sais pas quoi dire d'autre à part que j'ai vraiment beaucoup aimé cet ouvrage et que je compte lire d'autres titres de cet auteur.
Commenter  J’apprécie          40
Deux familles dans le New-York de l'année 1882, aux antipodes l'une de l'autre.
Les Stallworth, aisés, du bon côté de la loi, vaniteux, imbus d'eux-mêmes et la bonne conscience de faire ce qu'il faut, d'être à la bonne place.
Les Shanks, clan de la matriarche Lena la Noire, voleuses, receleuses, avorteuses, et pas la moindre mauvaise conscience car le crime, pour elles, au départ a été une simple question de survie.

New-York 31 décembre 1881 juste avant minuit, on voit défiler toute la misère du monde, dehors où des enfants meurent dans un froid glacial, dans des pubs sordides où des gens s'alcoolisent sans joie, une petite pièce où officie une avorteuse... tandis qu'à quelques rues de là des nantis font bombance.

On découvre les coutumes de ceux qui font dans les mondanités et j'ai tout de suite aimé le dépaysement qu'apporte l'ambiance de ce 1er janvier New-Yorkais du XIXe siècle. C'est tellement superficiel et étonnant ! L'auteur nous parle d'une pratique étrange qui consiste, pour les hommes riches qui veulent se montrer, à aller présenter des voeux dans un maximum de maisons le 1er de l'an où, à chaque fois, on leur offre un verre d'alcool. Pourtant ce sont de bons chrétiens ! Mais ils s'enivrent tous les 1er janvier avec la bénédiction de leurs épouses. Ainsi sont les Stallworth, famille de la bonne société new-yorkaise. Hypocrites, suffisants et dénués d'empathie, y compris pour leurs proches. Des chrétiens sans une once de charité chrétienne.

Benjamin, accro au jeu et brebis galeuse de la famille Stallworth, s'aventure dans le New-York de la nuit, interlope, dangereux et malsain. Hélène sa soeur s'y aventure aussi mais pour faire le bien auprès des démunis. Tout est si bien décrit. La misère, la crasse, la maladie, la mort, la puanteur, les rues, les intérieurs miteux, les fumeries d'opium, la rage des pauvres, la bêtise et l'arrogance des riches qui veulent éradiquer le crime en enfermant les pauvres. le juge Stallworth veut faire des exemples, à coup de sentences expéditives, peu lui importe qu'elles soient fondées ou totalement injustes. Mais parfois, entre les principes que prônent ces gens, et leurs comportements, il y a un gouffre, et le grain de sable... Ce roman c'est toute une ambiance dans laquelle on se trouve en totale immersion.

Les destins de ces deux familles vont se télescoper assez violemment, de plusieurs façons. L'imbécillité et l'orgueil des Stallworth n'ont d'égal que la haine et le désir de vengeance qu'ils sont parvenus à susciter chez les Shanks.
Parce que le juge Stallworth, par pure ambition, s'est acharné sur la famille Shanks avec l'aide de ses proches, Lena la Noire va leur promettre sa malédiction. Ce sera oeil pour oeil, dent pour dent.

J'ai absolument adoré et dévoré ce roman qui nous entraîne dans les tréfonds du Triangle Noir, ce quartier épouvantable de New-York, autant que dans ceux de l'âme humaine. Car ici, personne n'est épargné, ni les riches, ni les pauvres. D'ailleurs jai trouvé les deux familles presque aussi antipathiques l'une que l'autre, à part les enfants et une ou deux exceptions. Enfin si, je dois avouer que j'ai trouvé les Stallworth à vomir. Sous leurs airs de respectabilité ils sont parfaitement méprisables.
Une belle galerie de personnages, tous plus passionnants les uns que les autres, où l'auteur a réussi à éviter l'écueil du manichéisme pour nous offrir une histoire haletante, intelligente, immersive, très visuelle et totalement addictive.
J'avais beaucoup aimé Blackwater, j'ai aimé encore plus cette histoire.
Un petit mot sur la couverture ? Ben, elle est juste sublime ! Mais ça... c'est la marque de fabrique de Monsieur Toussaint Louverture !!!

Lien : https://mechantdobby.over-bl..
Commenter  J’apprécie          140
Quel contraste entre cette couverture flamboyante et ce récit empreint de noirceur !

Commençons par la forme : le livre en lui-même est un objet magnifique, à la couverture splendide, mélange de rouge, noir et or. Son élégance mérite de lui trouver une place de choix dans chaque bibliothèque !

Le fond ensuite. L'histoire se déroule à New-York en 1882. Elle relate l'affrontement terrible entre deux familles : d'une part, celle du puissant juge Stallworth, qui désire nettoyer le quartier dit du triangle noir où le vice règne (prostitution, salle de jeux, bars,...) ; D'autre part, la famille Shanks, avec sa tête la matriarche Lena, qui tire justement ses confortables revenus d'activités illicites. Cette confrontation va faire des victimes, et la vengeance qui en découlera sera implacable...

Le récit est d'une grande fluidité, nous sommes dans du romanesque pur, et franchement, les pages défilent à toute vitesse. Un vrai plaisir de lecture, malgré le côté très sombre de l'histoire.
Commenter  J’apprécie          200
McDowell envoie du très lourd! 🔥🔥🔥

Quel plaisir de retrouver McDowell pour cet opus, les aiguilles d'or!
Après la saga Blackwater au succès mérité, ici c'est le New-York fin du 19e, ambiance sombre et rivalité de deux familles que tout oppose!
Ça claque d'entrée avec une scène cinématographique folle qui nous plonge immédiatement dans le décors. D'un côté le clan Stallworth mené par un juge patriarche impitoyable. de l'autre, les Shanks, ça sent la misère alors que ça roule sur l'or avec les vols, la drogue, la prostitution. Lena, la patronne du clan règne dans le triangle d'or, ce quartier malfamé et visé par le juge pour éradiquer la mauvaise graine.
Impossible de lâcher cette bête de 500 pages. On salive à chaque chapitre, les personnages sont grossiers et peints avec grandeur. Digne d'un vrai Scorsese, dans l'ambiance et la violence sous les effluves d'opium . McDowell traite le vice et les dérives avec délice, dans un schéma de vengeance qui sera sanglant pour la famille du juge. Mais j'en ai déjà trop dit!
À vous de le lire!
Lien : https://www.instagram.com/sh..
Commenter  J’apprécie          10
Après la série "Blackwater" - un coup de coeur fabuleux - des livres magnifiques, j'ai acquis "Les aiguilles d'or" avec empressement. Nous sommes en Amérique fin du 19ème siècle, deux familles : les Stallworth et les Shanks. L'une aisée et l'autre miséreuse.

Rien à voir ici avec la saga, à part l'écriture addictive de l'auteur, qui nous entraîne inexorablement dans une Amérique trépidante, violente et une atmosphère perverse. Avec des descriptions très visuelles, on entre dans la vie tumultueuse de ces deux familles. Rien de plus sur l'histoire il faut la découvrir par soi-même. Un roman noir, détaillé précieusement, qui m'a tenu en 4 jours. J'ai été happée dans ce monde dépravé ou le mal et la vengeance sont subtilement décrits dans la ville de New York "en l'an de grâce 1882".

Conquise par les récits de l'auteur, dès que le roman "Katie" est sorti je me suis empressée de l'achetée et l'ai lu en 2 jours… Retour pour plus tard! Des coups de coeur à chaque fois pour moi.

Oserez-vous entrer dans ce monde tumultueux où les intentions de chacun sont égoïstement tournées vers le pouvoir, l'argent ou la soif de liberté? Qui s'en sortira? le petit plus : La généalogie des deux familles nous est donnée en début de récit pour nous y retrouver, mais j'avoue que très vite on reconnait chaque personnages.

Lien : https://passionlectureannick..
Commenter  J’apprécie          140




Lecteurs (4046) Voir plus



Quiz Voir plus

Blackwater

La principale thématique de la saga est ...

le climat
le capitalisme
la ville de Blackwater
la famille

10 questions
46 lecteurs ont répondu
Thème : Blackwater - Intégrale de Michael McDowellCréer un quiz sur ce livre

{* *}