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4,04

sur 1089 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'ai longuement hésité avant de lire "les Oiseaux..."; je dirais même des années car j'avais en tête le feuilleton télévisé un peu gnangnan de mon enfance. Et puis, en lisant les avis éclairés des lecteurs de Babelio, je me suis dit "Essayons!". Et je ne suis pas déçue. Certes l'histoire d'amour impossible entre Meggie et Ralph de Bricassart est bien présente mais elle n'est pas le seul fil de l'intrigue. Ce roman raconte aussi les heurs et malheurs de la famille Cleary, fraîchement débarquée de Nouvelle- Zélande en Australie. Leurs difficultés face à ce monde étranger (pour les nuls en géo, comme moi, l'Australie et la Nouvelle- Zélande c'est très différent au point de vue climat, habitudes etc). Au final, se profile en filigrane l'histoire d'un personnage à part entière: le domaine de Drogheda. Bref, ce roman est plus qu'une belle histoire d'amour pour les amoureux du romantisme: c'est aussi une chronique du XXeme Siècle en Océanie.
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Je découvre Mme Mc Cullough avec "les oiseaux se cachent pour mourir" et son incontournable saga connue de tout le monde ou presque...pour ma part, j'en ai toujours entendu parler car le feuilleton a bercé mes tendres années mais je n'avais pas mis les yeux dessus car tellement encensé que j'ai pris mon temps pour le découvrir en lecture.
Ma foi, mon roman est partagé en 2 tomes et je dois dire qu' arrivée à la fin du 1er on se trouve à la moitié du roman c'est pour cette raison que je le trouve banal à ce stade.
Une histoire d'amour impossible, car la religion est plus forte que tout mais à part cela, rien de transcendant...j'ai connu d'autres sagas au pays des moutons d'Australie ou de Nouvelle Zélande bien plus riches en rebondissements...
Je reviendrai pour le tome 2 pour étayer ma critique, pourvu qu'on aie un peu plus de dynamisme par la suite...
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J'apprends le décès de Colleen McCullough aujourd'hui et je repense avec une certaine nostalgie à ce roman lu il y a bien longtemps. A l'époque (et certainement encore maintenant), il avait tout pour enflammer l'imaginaire d'une jeune fille en plein apprentissage de la vie. Les aventures de Meggie et de son grand amour interdit atteignent un grand sommet de romanesque. Beaucoup de larmes, des personnages qui affirment leurs caractères, des drames, des passions... et les paysages australiens, sauvages, difficiles à vivre. Superbe !
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Qui ne se souvient de la série de télévision ''Les oiseaux se cachent pour mourir'' dans les années 1980 ?
Une formidable épopée dans l'outback australien de la 1ère moitié du 20e siècle. Une belle histoire d'amour impossible à cause de l'ambition et de l'entêtement d'un homme.
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The Thorn Birds - 1977
En voyant ce livre dans la boite à livres, certaines images de la série, vue dans ma jeune adolescence, me sont revenues à l'esprit (alors que parfois j'ai du mal à me rappeler un épisode vu la veille sur Netflix).
J'ai été agréablement surprise du roman car l'écriture est agréable et l'histoire est bien plus riche que l'amour contrarié entre le père Ralph et Meggie Cleary.
On suit la famille Cleary sur 3 générations avec pour toile de fond, un domaine australien Drogheda, terre rude mais combien attachante.
Du coup, j'ai revu à la suite la série des années 80 mais bon ça a pris un sacré coup de vieux, comme moi quoi!
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J'étais fasciné à l'époque en 1983, quand le téléfilm "Les oiseaux se cachent pour mourir" est sorti sur les petits écrans. Alors j'ai voulu lire le roman. Pour ceux qui ne connaissent pas l'Australie où la saga familiale se passe, l'auteur qui est australienne nous fait vivre dans son pays natal où tout est si bien décrit par elle. Nous retrouvons le domaine de Drogheeda où vit Meggie avec sa famille , sa rencontre et son attrait pour Ralph, le jeune prêtre. Un grand roman d'amour.
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Triste saga familiale relatant la vie de la famille Cleary de 1915 à 1969.
Oui, le premier mot qui me vient, c'est "triste".
Colleen Mc Cullough a beau nous faire découvrir l'Histoire de l'Australie avec ses us et coutumes du XXe siècle, je retiens principalement la tristesse de la vie des Cleary puisqu'elle est plus parsemée de morts et de malheurs que de joie.
On connaîtra trois générations dans ce livre.
À chaque génération, une seule femme.
À chaque femme, sa croix.
Parce qu'au fond, ce sont ces trois femmes qui font vivre cette histoire. C'est au travers d'elles qu'on vibre, qu'on se questionne, qu'on comprend. Ces trois femmes qui vont tenter de mettre fin à leur malédiction qui semble se transmettre de mère en fille. Pourquoi n'arrivent-t'elles pas à vivre leurs amours de façon épanouie ?...

Je ne raffole pas des amours romantiques contrariés.
Je ne suis pas sûre de m'être attachée aux personnages principaux parce que j'ai versé une larme seulement sur la vie de Stuart Cleary.
Je ne suis pas sûre d'avoir retenu les principaux évènements historiques parce que j'ai avant tout été frappée de découvrir les origines de la myxomatose.
Mais j'ai aimé ce livre triste. Indéniablement.
Et si je le déconseille aux déprimés, j'ai bien envie de découvrir Colleen Mc Collought au travers d'un autre de ses livres en espérant y découvrir un peu plus de joie de vivre.
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J'ai lu ce livre, il y a bien longtemps déjà et pourtant je me souviens encore de certaines scènes.
J'ai toujours ce livre et je compte bien me replonger dedans un jour ou l'autre.
La vie de Meggy étant jeune m'a le plus marqué. Une enfant qui recherche sans cesse de la tendresse.
Ce récit a été pour moi, l'histoire d'une femme recherchant inlassablement l'amour avec un grand A.
Je me souviens avoir vu le film ensuite, et d'avoir été déçu de ne pas retrouver le même ressenti que dans le livre.
Surtout les scènes où elle voit Ralph pour la première fois et l'histoire d'amour avec Luke.... C'est là que j'ai compris toute la puissance d'un livre par rapport au film.
J'étais une adolescente quand j'ai lu ce livre, je recherchais dans mes rêves les plus lointains le grand amour, et je l'ai vécu, un été posé à même le sol, adossé à un arbre avec Meggy...

Lien : https://angelscath.blogspot...
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Près de 900 pages pour ce pavé ! Les Oiseaux se cachent pour mourir est paru en 1977 et raconte l'histoire de la famille Cleary sur plusieurs générations. Meggie, que l'on découvre le jour de ses quatre ans dans les premières pages (en 1915), sera le fil rouge de cette saga familiale. Ses parents, son amant et ses enfants seront les autres marqueurs du livre.

La vie n'est pas évidente chez les Cleary. le père travaille beaucoup, comme tondeur de moutons, et peut passer plusieurs semaines hors de la maison. La mère, Fee, cache une blessure. Son côté aristocratique ne l'empêche pas d'être une femme d'intérieur de premier plan. Viennent ensuite les enfants, plusieurs garçons et une seule petite fille. Les temps sont durs, mais la famille est plutôt heureuse en Nouvelle-Zélande.

De l'autre côté, Mary Carson. La vieille dame est veuve depuis des années et sans effet. Richissime, avec un immense domaine (faisant un peu penser à Tara dans Autant en emporte le vent), elle n'a d'yeux que pour le très séduisant père Ralph de Bricassart. Amour et haine se mêlent joyeusement dans le coeur de Mary. Sans héritier direct donc, elle décide de faire venir à ses côtés, à Drogheda, en Australie, son frère, Paddie Cleary, sa belle-soeur et leur tripotée d'enfants, afin de leur passer progressivement la main. C'est Ralph qui ira les chercher à la gare, et qui tombera sous le charme de la petite Meggie, neuf ans à l'époque, soit dix-huit ans de moins que lui…

Ce livre mêle habilement religion (très présente), amour, société (avec le développement de l'Australie de 1915 à la fin des années soixante)… Chaque personnage a ses forces et ses faiblesses, et même l'odieuse Mary Carson finit par toucher notre coeur. On a énormément de sympathie et d'affection pour cette famille qui tente de s'aimer autant qu'elle le peut, mais qui n'y arrive pas tout le temps.

La plume est belle, les sentiments exacerbés sont bien décrits, on sent sur soi la poussière australienne, on entend les mouches qui bourdonnent et ces magnifiques oiseaux qui entonnent leur chant du cygne en mourant.

Un grand roman.
Lien : http://therewillbebooks.word..
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Une grande saga familiale qui commence en Nouvelle-Zélande, se poursuit en Australie et se termine en Europe. C'est avant tout l'histoire d'un amour impossible entre l'homme d'église Ralph de Bricassart et Meggie Cleary sur plusieurs décennies, mais pas que. Car on suit également les différents membres de cette famille, les Cleary, sur 3 générations. C'est un roman très intéressant, avec des décors grandioses, des évènements heureux et tragiques qui s'enchainent, et des personnages tourmentés à souhait. L'attirance réciproque entre le prêtre de Bricassart et Meggie est immédiate, bien qu'il ait 28 ans et elle 10 à leur première rencontre, ce qui donne lieu à des scènes parfois ambiguës, voir franchement gênantes, bien que rien d'immorale ne soit accomplie.
J'ai beaucoup aimé cette histoire, mais le dernier quart se concentre essentiellement sur la nouvelle génération, mettant complètement de coté les personnages que l'on a suivit sur les plus ou moins 600 premières pages (sur les 875 sur compte mon édition), ce qui m'a pas mal refroidi. Ca n'en reste pas moins un grand classique qu'il faut avoir lu.
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