Une fois son diplôme en poche Dover ne sait quoi faire et où aller, n'ayant plus sa mère et n'étant plus le bienvenu chez les Wilkinson, il n'a plus aucun soutien financier. Dover se tourne vers le comte Ashwood (dernier employeur de sa mère) qui lui fait parvenir une lettre de recommandation adressée au directeur de la British American Tobacco Co. Dover passe un entretien puis est embauché pour un poste en Orient, en attendant sa majorité il sera affecté à une manufacture de Liverpool.
A ses 21 ans, Dover est convoqué afin de lui fournir un billet qui l'emmènera jusqu'en Chine, à Shanghai. La ville bouillonne, entre fêtes avec son nouvel ami Archibald Pepper, et les tensions anti-impérialistes, les journées et les nuits de Dover sont bien remplies.
Dans ce troisième opus, l'accent est mis sur la colonisation et ses travers, les retrouvailles avec d'anciens amis ont ouverts les yeux de Dover qui décident de rentrer en Europe. On s'aperçoit que Dover est déçu de ce qu'il découvre en Orient, le contrôle de l'économie au détriment des populations locales, ses grands espaces grignotés par la modernité... L'utilisation de sépia pendant cette période chinoise m'a fait pensé au feu, la chaleur de l'atmosphère et celle des événements à venir.
Un opus encore bien réussi et qui m'a appris beaucoup en matière d'Histoire.
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