L'auteur qui a rendu célèbre Matt Damon dans le film "La Mémoire dans la peau"
Robert Ludlum & Brian Freeman - Philippe Vigneron (traduit par)
Collection : Suspense - Date de parution : 23/11/2023
« Freeman, auteur chevronné de thrillers, devait redonner vie à Jason Bourne. Mission accomplie ! » Booklist
Deux ans ont passé depuis que l'ex-tueur de la CIA a perdu la femme qu'il aimait lors d'une fusillade à Las Vegas.
Il a désormais quitté Treadstone, l'agence qui l'employait. Nouveaux commanditaires, nouvelle mission : découvrir les intentions de Medusa, une organisation secrète.
Mais lorsqu'un membre du Congrès est assassiné à New York, Jason Bourne est accusé du crime. Pour garder une longueur d'avance sur ses ennemis et découvrir qui l'a piégé, il fait équipe avec une journaliste, Abbey Laurent.
Une course contre la montre s'engage. Pour sauver sa peau, il n'a plus qu'une solution : infiltrer Medusa… Un Jason Bourne plus combatif et déterminé que jamais !
BIOGRAPHIE :
Disparu en 2001, Robert Ludlum, le célèbre auteur de thrillers, n'a rédigé que les trois premiers épisodes de la série. Désormais, Brian Freeman, auteur de 20 suspenses, traduits en 22 langues, apporte sa plume vigoureuse à cette franchise mettant en scène Jason Bourne, immortalisé au cinéma par Matt Damon.
https://www.lisez.com/livre-grand-format/jason-bourne-la-mutation-dans-la-peau/9782809847321
Robert LudlumGayle LyndsCovert-One / Réseau bouclier tome 3 sur 12
Paul Thoreau (Traducteur)/5 64 notes
Paul Thoreau (Traducteur)/5 64 notes
Résumé :
A Paris, au cœur de la nuit, l'Institut Pasteur est ravagé par un attentat d'une violence inouïe. Les secours sortent des décombres quelques survivants et de nombreux cadavres, mais ne parviennent pas à localiser le corps d’Émile Chambord, un éminent chercheur présent sur les lieux au moment de l'explosion.
Celui-ci mettait la touche finale à un projet futuriste : la création d'un superordinateur piloté par ADN, c'est-à-dire combinant la technologie ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7)
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Un roman mi-thriller, mi-espionnage. du classique dans le genre, il se passe beaucoup de choses, et à la fin, l'Amérique est sauvée, ouf. Bon, autant se l'avouer, on n'a jamais été vraiment très inquiet.
De temps en temps, je me prends un classique de ce genre, c'est du solide, mais bon...
Comme le disait l'autre jour le documentaire sur le "french bashing", ça de vérifie, le ou les traîtres, ce sont les français.
Lecture terminée au pied du Machu Picchu.
De temps en temps, je me prends un classique de ce genre, c'est du solide, mais bon...
Comme le disait l'autre jour le documentaire sur le "french bashing", ça de vérifie, le ou les traîtres, ce sont les français.
Lecture terminée au pied du Machu Picchu.
Objectif Paris est un gros pavé (571 pages, édition Livre de poche) comme on les aime : mi-thriller/mi-espionnage. L'histoire se déroule dans plusieurs lieux, à l'étranger mais principalement en France.
L'institut Pasteur est ravagé par un attentat : le professeur Chambord a disparu ainsi que l'ordinateur ADN qu'il fabriquait. Marty, un génie de l'informatique autiste avec le syndrome d'Asperger, est hospitalisé pour des lésions crâniennes. Qui sont les responsables ? les Islamistes ? les Basques ?une organisation inconnue ?
Trois personnages à classer dans le genre "la tête et les jambes" vont faire équipe pour retrouver Chambord et son ordinateur - une menace pour le monde s'il tombe dans de mauvaises mains - et identifier les responsables :
John Smith, agent du réseau très secret Bouclier,
Peter Howell du M16,
Randi Russel CIA.
Après avoir un peu traîné dans la lecture des premières pages, je me suis vite retrouvée dans un page-turner avec juste comme il faut de stress, d'angoisse et de violence.
Livre sympa à lire. Fin classique.
L'institut Pasteur est ravagé par un attentat : le professeur Chambord a disparu ainsi que l'ordinateur ADN qu'il fabriquait. Marty, un génie de l'informatique autiste avec le syndrome d'Asperger, est hospitalisé pour des lésions crâniennes. Qui sont les responsables ? les Islamistes ? les Basques ?une organisation inconnue ?
Trois personnages à classer dans le genre "la tête et les jambes" vont faire équipe pour retrouver Chambord et son ordinateur - une menace pour le monde s'il tombe dans de mauvaises mains - et identifier les responsables :
John Smith, agent du réseau très secret Bouclier,
Peter Howell du M16,
Randi Russel CIA.
Après avoir un peu traîné dans la lecture des premières pages, je me suis vite retrouvée dans un page-turner avec juste comme il faut de stress, d'angoisse et de violence.
Livre sympa à lire. Fin classique.
Bon, j'ai trouvé le livre mauvais. Je n'ai pas pu passer les 120 premières pages. L'intrigue ne part pas trop mal mais à vouloir faire trop alambiqué ça devient du n'importe quoi. Plus le livre avance plus la crédibilité des scènes s'émousse... Dommage car les scènes d'action sont plutôt bien rendues.
Bon la psychologie des personnages est très sommaire et Ludlum ne nous épargne aucun cliché: les français boivent du vin en terrasse, etc etc. Affligeant...
je passe mon tour !
Bon la psychologie des personnages est très sommaire et Ludlum ne nous épargne aucun cliché: les français boivent du vin en terrasse, etc etc. Affligeant...
je passe mon tour !
Premièrement il s'agit bien d'un roman écrit par Ludlum, en compagnie de Lynds et non pas un roman écrit par un autre auteur basé sur l'oeuvre de Ludlum.
Deuxièmement j'aime bien le personnage de Jon Smith. le réseau bouclier est probablement ma série préférée de Ludlum a égalité de la série Bourne (ceux écrit par Ludlum seulement).
Troisièment, ce roman est bien, mais sans plus. J'ai été déçu par l'intrigue. C'est beaucoup sensationnaliste et farfelue comme histoire. Bref un 3.5/5. C'est quand même une bonne lecture mais rien d'impressionnant.
Deuxièmement j'aime bien le personnage de Jon Smith. le réseau bouclier est probablement ma série préférée de Ludlum a égalité de la série Bourne (ceux écrit par Ludlum seulement).
Troisièment, ce roman est bien, mais sans plus. J'ai été déçu par l'intrigue. C'est beaucoup sensationnaliste et farfelue comme histoire. Bref un 3.5/5. C'est quand même une bonne lecture mais rien d'impressionnant.
Ça mentionne Ludlum, ça ressemble à du Ludlum mais ce n'est pas du Ludlum. C'est beau l'éthique éditoriale ! Donc un scénario pour blockbuster série B sans guère d'intérêt, infantile et extravagant avec le seul avantage d'être bien rythmé… dans l'invraisemblance la plus idiote. Tous ces super agents, super génies, super méchants vous rendent … super plexes. L'étiquette ne fait pas la bouteille.
Citations et extraits (6)
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Jon s'écarta, et les doigts de Marty volèrent sur le clavier, et son regard se durcit, se concentra, alors qu'il tentait de convaincre son système personnel de se rallumer. L'air morose, Jon, Peter et Randi l'observaient. Le temps donnait l'impression de s'écouler bien trop vite. Il leur fallait débusquer Chambord et le prototype.
p.483
p.483
Nous savons tous que les attaques terroristes sont généralement le fait d'individus dont l'objectif principal est d'attirer l'attention sur leur cause et de révéler au monde ce qu'ils considèrent comme étant le mal. Mais jusqu'à présent, dans le cas qui nous occupe, nous sommes confrontés à deux aberrations : cette bombe n'était pas dirigée contre les cibles symboliques habituelles... une ambassade, un bâtiment du gouvernement, une installation militaire, un site connu... et ce n'était pas non plus l'action suicide d'un individu isolé s'en prenant à la foule d'un autobus ou d'une boîte de nuit bondée.
On ne mène pas de recherche fondamentale sans en consigner les données de façon exhaustive. Des notes de labo, un état des travaux en cours. Les comptes rendus se doivent d'être scrupuleux, sans quoi le travail ne peut être ni vérifié ni reproduit. La moindre impasse, la moindre erreur, le moindre retour en arrière doivent être couchés par écrit.
La moitié des nations sous-développées nourrissaient peu d'affection envers les États-Unis. Pas plus que les divers terroristes qui prenaient l'Amérique et les Américains de plus en plus souvent pour cible.
Il ne serait pas le premier à s'absorber dans son travail. Un scientifique qui ne se sent pas à ce point investi ne mérite pas d'appartenir à la communauté scientifique.
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