le violon c'est celui de la mère de la mère de la narratrice, morte quand elle avait 5 ans, une femme lumineuse et très douée pour le peu que nous l'apercevons.
Sa fille Anna raconte sa vie avec un père rigide et sans fantaisie, qui ne veut pas entendre que sa fille rêve d'une autre vie, celle de suivre les traces de sa mère en allant au conservatoire. Dans un long monologue, sans passion, l'auteur nous raconte la vie de Franne, l'ambiance maritime qui rythme le quotidien. Un roman d'atmosphère sur le deuil, sans vraiment de fin, où le drame semble couver mais cela s'arrêtera là.
Un roman adolescent qui risque de ne pas les passionner. par son côté austère.
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