Les trucs positifs de cette BD : les dessins sympas, très modernes et dynamiques complètement pas réalistes, gros traits et orange partout.
Tout le côté historique et culturel du tatouage : simple et intéressant pour un ignare de cet art comme moi.
Les bidules qui ne me plaisent pas (mais qui au contraire peuvent intéresser d'autres) :
Ecriture inclusive lorsque c'est fezable, mots branchouilles et centres d'intérêt de certains milieux : beuh, voyages initiatiques et vols internationaux sur coup de tête.
Amsterdam ou Barcelone pour les opportunités à offrir à notre bébé ? Ah, une promo easyTravelair pour Moscou, c'est vrai que ma devise est : " Là où nous allons, nous n'avons pas besoin de routes".
Je vais pas faire un cou de calcaire mais...
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Comment parler du tatouage, pratique ancestrale fascinante, tout en abordant une approche nouvelle en bande dessinée ? L'auteur nous emmène au Japon, à Tahiti, à Montréal, ou encore en Europe. Il reviendra sur les raisons qui poussent les gens vers le tatouage, les difficultés rencontrées par les professionnels et les tatoués. le traitement graphique est original. Les illustrations sont réalisées sur un papier rouge mat, et non un papier blanc, au crayon blanc, noir et vert fluo. Quelques photographies, et autres extraits de carnets de croquis, viennent parsemer ce carnet de voyage du tatouage. Une lecture instructive, bien que brève et non exhaustive, qui permet d'avoir un autre regard sur l'art du tatouage.
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Essentiellement, autobiographique, cet ouvrage original fera passer un bon moment aux novices, comme aux confirmés de la tatoumania.
Lire la critique sur le site : BDGest
Le Japon possède l'une des histoire de l'art du tatouage les plus riches au monde. L'art du "horimono" a longtemps servi aux premiers peuples à marquer leur appartenance à une famille ou une caste. Il devint par la suite un outil de punition par les autorités, le "bodukei", qui marquaient à vie les prisonnier.ère.s, les criminel.le.s et les prostiruées.
Dans le 153e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente L'été des charognes, L'été des charognes, roman de Simon Johannin qu'adapte Sylvain Bordesoules et qui est édité chez Gallimard. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l'album Les jeux vidéo et nos enfants que l'on doit à Cookie Kalkair et aux éditions Steinkis
- La sortie de l'album La petite lumière, roman d'Antonio Moresco qu'adapte Grégory Panaccione, un album édité chez Delcourt dans la collection Mirages
- La sortie de L'héritage Wagner que l'on doit au scénario de Stephen Desberg, au dessin d'Émilio Van der Zuiden et c'est édité chez Grand angle
- La sortie de l'album La fabrique des français que l'on doit au scénario conjoint de Françoise Davisse et Carl Aderhold, au dessin de Sébastien Vassant et c'est édité chez Futuropolis
- La sortie de l'album La vengeance de Zaroff, titre que l'on doit au scénario de Sylvain Runberg, au dessin de François Miville-Deschênes et c'est édité chez Le lombard dans la collection Signé
- La réédition de l'album Le bleu est une couleur chaude de Jul Maroh, un album édité chez Glénat
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