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3,77

sur 744 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
On retrouve dans ce livre le style 'Irving" ainsi que les obsessions de l'auteur , l'Autriche et la lutte ( on n'a pas droit aux ours cette fois-ci .. ) . C'est le récit d'une vie avec toute une galerie de personnages dont aucun n'est "ordinaire " ... travestis , transexuel-les , bisexuels... c'est une ode à la tolérance , la description de l'épidémie de SIDA avec des détails assez éprouvants mais on ne referme pas le livre à regret car on ne s'attache à aucun de ces personnages .
Ce n'est pas le meilleur d'Irving ; j'ai mille fois préféré "Garp" , "NewHampshire" , " Owen " ou "L'oeuvre de Dieu .... "
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Un Irving ègal à lui-même qui donnera beaucoup de plaisir à ceux qui ont lu assez peu de ses romans. Pour moi, qui ait dû en lire 90% (je ne les ai pas encore tous cités sur Babelio), je l'ai trouvé un peu long car réécrivant (avec bonheur) de nombreux thèmes bien connus de ses fans.
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...incontestablement encore une fois en deçà de ses premiers romans ("L'oeuvre de Dieu, la part du Diable", "Une prière pour Owen", "Le monde selon Garp", ...). Certes certains thèmes fétiches à John Irving s'y retrouvent (la lutte, la sexualité, ...) mais il manque cette indescriptible magie des premiers romans. Un bon roman malgré tout mais qui me laisse encore nostalgique du Irving des années 80/90. Ai opté pour 3 étoiles avec une sévérité issue de la comparaison avec l'oeuvre initiale d'Irving. "4 étoiles" aurait été possible !!!
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Le narrateur William Abbott est un écrivain célèbre dont l'oeuvre est inspirée par sa vie sexuelle "active" et complexe : il est bisexuel. le livre évoque les principaux amours de sa vie : son beau-père Richard, sa bibliothécaire Miss Frost, sa meilleure amie Elaine avec qui il partage son premier et éternel fantasme : le lutteur Kittleredge, son premier amant, son mentor : le poète.

J'ai surtout aimé être plongée dans l'ambiance des troupes théâtrales qu'il a fréquentées les fisrt river sister (sa famille et celle du club théâtre universitaire. Comme un phare, Shakespeare éclaire sa vie tumultueuse car l'ambiguité sexuelle n'est jamais un problème : Juliette peut être un homme si elle est sincère
La première partie m'a emportée par la bonne humeur et l'humour qui s'en dégage : le grand père Harry qui ne joue que des rôles de femmes et qui pique les habits de sa femme... La découverte de ses " erreurs d'aiguillage sexuel" de William passe par des troubles du langage : une manière habile et amusante de contourner l'approche psychologisante de la thématique du livre.
De même quelques aventures sexuelles sont racontées avec drôlerie : c'est la fameuse position intercurciale de Miss Frost et l'orgasme assourdissant d'Esmeralda ...
Madame Bovary constitue également un élément narratif amusant puisque la lecture de ce roman fixe un fois pour toute l'orientation sexuelle de William et de son père : polygamie pour l'un et monogamie pour l'autre.
En effet, William contrairement à son père qu'il ne connaîtra que tardivement refuse de s'enfermer dans une seule histoire avec un Charles Bovary assomant. de Vienne à San Francisco il va chercher à vivre intensément.
Mais l'ombre de la mort survient en fauchant sa mère et sa tante; Cette disparition n'a rien de tragique pour lui en apparence mais ce petit garçon en larmes le soir de l'hommage n'est-il pas un fantôme du passé ? Une manière de nous détourner de tout pathos?
Pourtant à partir de là commence la longue série d'épilogues liée à la pandémie du SIDA. Tous ses amants meurent les uns après les autres ainsi que ses camarades d'école dont uil ignorait l'homosexualité.
Le récit d'une précision médicale fait froid dans le dos. C'est là qu'on découvre combien ces victimes ont été tues y compris par le Président de l'époque : Reagan.
Ensuite les morts qui viennent sont celles de la grande vieillesse après les centres de soins palliatifs viennent les maisons de retraite....William n'avait-il pas décidé d'écrire parcequ'il était nostalgique?

J'ai été finalement touchée par son admiration pour la féminité comme lors de la transformation de Gee en Giorgina qui devient sublime en fille
alors qu'il était laid comme garçon! Mais c'est surtout la théorie missfrostienne que je retiendrai : qu'importe qui c'est en apparence il faut chercher à mieux connaitre la personne........comme une conclusion à ce discours sur la tolérance sexuelle.
Dans l'ensemble une lecture agréable et entrainante comme toujours avec Irving mais je conseillerais plutôt le film de Guillaume Gallienne Guillaume et les garçons à table! pour la drôlerie...
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J'avais lu ce roman à sa sortie et attribué 4 étoiles. Je viens de le relire et j'ai enlevé une étoile: beaucoup trop de digressions, de "méandres" narratifs, ... John Irving a du mal a se renouveler, mais on lui doit quand même plusieurs chefs-d'oeuvre absolus.
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J'ai aimé ce livre. C'est le premier roman de cet auteur que je découvrais. J'y ai trouvé beaucoup beaucoup d'humour (notamment les scènes avec le grand-père travesti, un vrai régal), énormement de liberté également. J'ai par contre trouvé que cela tournait un peu en rond même si les scènes gardaient tout leur sel. Je vais poursuivre avec d'autres livres d'Irving !
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un bon cru
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Ce roman drole et tragique traite des chemins de la tolérance et de la différence sans jamais tomber dans le voyeurisme.
J'ai eu un peu de mal à m' attacher à l'histoire au début pourtant je trouvais les personnages attachants et originaux ; je trouvais le scénario confus.
Mais dès que Bill est adulte j'ai adoré.
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Ce roman drole et tragique traite des chemins de la tolérance et de la différence sans jamais tomber dans le voyeurisme.
J'ai eu un peu de mal à m' attacher à l'histoire au début pourtant je trouvais les personnages attachants et originaux ; je trouvais le scénario confus.
Mais dès que Bill est adulte j'ai adoré.
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J'avoue, se lit bien, même si je reste nostalgique de ses premiers romans dans lesquels il y avait cette divine fraicheur, cette magie qui aujourd'hui n'y est plus...
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