Tout cela m'a conforté dans mes idées : le chemin pour libérer les esprits des engrenages coutumiers sera long. L'individu vaut sans doute mieux que la carapace culturelle dans laquelle on l'emprisonne et dont il ne fait souvent aucun effort pour se libérer. Du moins, j'en caresse l'espoir.
Il y a longtemps que tout romantisme a disparu de la quête archéologique, mais une découverte fait souvent rêver le public et le chercheur, qui, de fait ne pense qu'à la science, se trouve malgré lui métamorphosé en une sorte de magicien.