Michel Vaillant, c'était de l'aventure automobile et aussi la découverte de tous ces anciens circuits de l'époque, avec des voitures mythiques. Vroum, vroum.
Pour ma part, je préfère les anciens albums et celui-ci a toujours fait partie de mes préférés parce qu'il mélange les genre : sport auto, enquête policière et des disparitions version "Les sept boules de cristal".
Ach, nous zommes en Allemagne, à quelques jours de la célèbre course du Nurburgring.
Michel Vaillant et plusieurs pilotes sont invités par un châtelain, fan de sport automobile, qui crèche dans un château digne - non pas des Mille et une nuits - mais d'un château-fort. Das is a kollossal Schloss.
Mais comme dans le livre de
Hergé, voilà que des champions automobiles disparaissent les uns après les autres. Malédiction ? La cuisine n'était pas bonne ? La choucroute pas fraiche ?
C'est sans compter la présence de l'ami Michel qui porte bien son nom de "Vaillant" et de Steeve.
Non, mais, vous croyez qu'ils vont se laisser faire ? Que nenni ! Tels Holmes et Watson, ils vont mener l'enquête pour retrouver les disparus sinon, vont devoir faire la course à deux, à ce rythme là.
Je vous le disais, digne des meilleurs polars en vase clos avec une touche de passage secret, le tout trempé dans le cambouis.
Ici, le scénariste n'a pas coulé une bielle, les rouages tournent au poil et ça carbure à mort.
Achtung, du tout bon Michel Vaillant !