Que dire de se livre qui a déchainé les foules... on ne va pas parler de l'histoire, il n'y en as pas, enfin un minimum pour ne pas non plus avoir l'impression de lire un manuel de savoir vivre. le style littéraire quand à lui est des plus minimaliste, le sujet verbe complément prend ici tout son sens.
Alors parlons plutôt de l'idéologie que ce livre essaie de transmettre aux lecteur attentif, et curieux que nous somme tous.
Une idéologie que je dirais simpliste, minimaliste et prémaché... peut être suis je dur mais déjà
Paulo Coelho dans le même style en version sud américaine m'avais passablement déplus.
Donc un pauvre prof en vacance à Bali se dit tiens et si j'allais voir un soigneur local pour faire un Shake up, et nous voilà devant un philosophe indouiste qui va aidé notre prof à trouver sa vois.
Jusque la me direz vous tout va bien , oui mais c'est a l'aide de phrase connu et reconnu qu'il avance les choses et la est le souci : on passe du : il faut suivre ses envie ça mène au bonheur (sans rire? j'étais sur que si on faisais toujorus le contraire de se qu'on voulais on était comblé), l'argent ne fait pas le bonheur mais il y contribue (tiens donc, c'est original), et autre éternel banalité nous prévenant qu'il y a des gens bien et d'autre qui sont des vilains polissons, que certaine personne nous tire vers le haut d'autre vers le bas et la conclusion ressemble à Fait se que tu veux du moment que c'est fait avec
amour se sera cool car tout le monde voudra t'aider.
Les idées en elle même sont bonne mais visitées et revisitées, Gounelle ne sais pas sortir des sentier battu, et s'enferme dans l'évidence qu'il peut être parfois bon de rappeler mais 160 pages de rappel c'est un peu long. Et je vous garantie que les 5 non je les est en 15 minutes... Enfin bon je doit faire partie des gens qui auront mal si ont leur presse le petit orteil, donc je repart dans ma triste vie qui pourtant me plaie beaucoup.