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4,42

sur 3743 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Plonger dans un pavé est un vrai plaisir pour moi ! Oui je suis fana de ces pavés qui font peur… Plus le truc est gros (je vous vois venir ! Rien de sexuel…) plus je m'éclate ! Bref, ce n'est donc pas le nombre de page qui me freine… Mais qui dit gros pavé, dit que je suis plus exigeante dans la lecture. Il faut que l'auteur arrive à m'accrocher et surtout ne pas me perdre en route. J'ai déjà eu le plaisir de découvrir la plume de l'auteur, avec « Juste une ombre » et sur quelques nouvelles, j'attendais donc beaucoup de cette lecture…

Pour autant, c'est en demi-teinte que je termine ce livre.Une lecture qui a mis du temps à se digérer… Une lecture dont le sujet touche, mais une lecture aux parties inégales.

Karine Giebel, nous embarque dans une intrigue touchante, avec sujet principal l'esclavage moderne. Et même si cela semble tout droit sorti de l'imagination de l'auteur, on sait malheureusement que l'horreur existe.

La première partie campe l'intrigue et Tama, personnage principal est décrite avec empathie. Sa vie est un calvaire et ce qu'elle vit est le summum de la noirceur dont l'être humain est capable. le sujet est grave et touche à la corde sensible du lecteur.

Je me suis même demandée, si ce n'était pas le parti pris de l'auteur… A la sortie du livre, j'ai eu la sensation que plusieurs livres traitaient du sujet… Je venais de lire « dans la cave » de Minette Walters… Peut-être un trop plein d'émotions… Je ne sais pas, mais toujours est-il que dans l'ensemble, je suis passée à côté !

J'ai survolé des passages entiers, car même si les descriptions sont importantes et parfois riches de surprises, j'ai trouvé ici que certaines étaient superflues et l'ennui m'a guetté à plusieurs reprises !

Dans la première partie, l'auteur arrive à jouer avec nos nerfs et quelques passages font repartir l'intrigue, mais entre temps, j'ai réussi à perdre le fil, sans surprise, l'auteur dévoilant trop ses cartes…

Je ne me suis pas sentie embarquée… Plus je tournais les pages et plus je me sentais perdue… Je sais que le sujet est grave, mais pourquoi l'auteur a-t-elle pris le parti de trop en faire ? Pourquoi autant de violence… Une violence gratuite, dans la seconde partie… Avec Gabriel… Même si on sait qu'une victime a du mal à sortir de ce cercle infernal… Mais pourquoi ne pas dénoncer l'esclavage d'une manière plus subtile.

Pourquoi retourner la situation et faire de Tama un personnage aussi naïf ? Je n'ai pas compris, j'ai longtemps cherché la réponse… Et j'ai arrêté de chercher… La romance qui a pointé son nez va supplanter l'intrigue et me vriller les neurones ! Encore une fois, l'auteur m'a perdu… Même si le parallèle entre les deux parties a une raisonnance entre esclavage et amour toxique, cela ne l'a pas fait et l'auteur s'est fourvoyée…

Je n'ai eu aucune surprise avec ce final prévisible…

Une déception et j'en suis la première navrée…

J'attendais beaucoup de ce livre, qui pourtant est très dur, sans concession et d'une rare cruauté, mais le tout est balayé par cette déception et cette sensation d'avoir tourné en rond sur plus de 700 pages…

En bref, une lecture que je vais vite oublier…

Je remercie les éditions Belfond pour leur confiance réitérée.
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J'ai longtemps eu peur de lire un roman de Karine Giebel. Trop dur, trop violent, trop atroce, bref trop d'adjectifs négatifs pour la réticente à l'horreur que je suis. Mais pour remplir les objectifs de plusieurs challenges, il a fallu prendre mon courage à deux mains. Et je n'ai apparemment pas choisi le plus facile de cette autrice, puisque le synopsis de « Toutes blessent, la dernière tue » est plus que particulier, puisqu'il traite de l'esclavage d'enfants, et pas dans un pays lointain, non, en France, aussi incroyable que cela paraisse (et malheureusement vrai, l'autrice s'étant beaucoup documentée auprès d'associations dédiées) : Karine Giebel raconte ici l'histoire de Tama, une jeune Marocaine vendue par son père à une compatriote qui lui a fait croire qu'elle l'enverrait à l'école, alors que c'est plutôt en enfer que la fillette atterrit. Assommée de travail, battue, humiliée, torturée même dans une famille française tout ce qu'il y a plus de classique, la petite fille puise malgré tout dans l'adversité une force inébranlable, qui lui permet de résister face à ses bourreaux. Mais jusqu'à quel point ?

Parallèlement à cette première histoire, on découvre Gabriel, un tueur qui ne semble vivre que pour la vengeance — on découvrira laquelle au fil des pages —, qui découvre une jeune femme blessée dans l'écurie attenante à sa maison. Qui est cette jeune femme ? A-t-elle un lien avec Tama ?

Et en effet dans l'horreur j'y ai plongé avec cette lecture. Mais pas dans celle à laquelle je m'attendais ! J'ai très vite été agacée par les formules, censées être d'une profondeur implacable, dont Karine Giebel use et abuse à chaque fin de chapitre, mais qui tombent lamentablement comme un cheveu sur la soupe pour moi, du type : « Elle allait survivre. Il allait devoir la tuer. » J'ai eu de ce fait beaucoup de mal à entrer dans cette histoire, peuplée de personnages plus ou moins bien réussis. Autant j'ai réussi à croire à celui de Tama, autant je n'ai pas cru une seule seconde dans le personnage de Gabriel, qui sonne très faux et assez cliché.
Et que dire de cette histoire aux rebondissements assez invraisemblables, et de cette surenchère dans l'horreur, dans ce panorama de toutes les violences, le plus souvent assez gratuites ? Tout au plus peut-on en dire que Mme Giebel a une vision du monde et de ses semblables plus que négative, puisque quasiment aucun personnage n'est épargné par la violence (tant mieux car ceux qui le sont un peu sont ceux qui souffrent le plus) ni par le sadisme, et que même les sentiments censés être les plus purs, comme l'amour, sont contaminés par une laideur dominante. Sa vision du couple est assez effroyable, puisqu'a aucun moment le relation entre Izri et Tama n'envoie du rêve : Tama passe d'une domination à une autre, privée de sortie, d'espoir ; l'homme qui est censé l'aimer ne souhaite que la posséder, et non pas l'aider à s'épanouir, l'amour et la haine ne semblant jamais très loin…

Une lecture éprouvante donc, et malgré cela, les 744 pages sont passées assez facilement, et surtout, très vite (j'ai un peu abrégé mes souffrances en fin de roman ceci dit). Bref, un essai plus que mitigé, et pas sûr que je retente l'expérience une nouvelle fois…
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J'aime beaucoup les romans de Karine Geibel qui savent nous tenir en haleine jusqu'à la dernière page. Dès le début de cette lecture j'ai été captivée par l'histoire de la jeune Tama devenue le souffre douleur, l'esclave d'une famille dans toute ce quelle comporte de plus âpre.
Je n'ai jamais autant serré les poings dans un roman de Karine Geibel comme je l'ai fait de " Toutes blessent la dernière tue " Personnellement, j'aurai préféré que l'auteur n'aille pas aussi loin dans les tortures subies par Tama. J'ai eu le sentiment qu'elle en rajoutait encore et encore comme si elle même prenait un certain plaisir à la torture. Si j'ai apprécié le début, à un certain stade de ce roman, j'ai failli stopper ma lecture par trop de sévices corporels. Et pourtant, ces faits existent bel et bien dans le monde réel.
Des abus en tous genres sont devenus monnaie courante sur des très jeunes enfants lors de certains rituels sataniques exercés par des personnages que l'on serait à mille lieues de soupçonner et qui prend de plus en plus d'ampleur dans le monde pour des projets tels que le MK Ultra orchestré par ceux qui gouvernent le monde. Nous vivons dans une période de plus en plus perverse et satanique dans tous les domaines et l'enfance est d'autant plus touchée qu'elle ne peut se défendre seule.

Chaque enfant est une parole prise à la nuit, une caresse du temps.
Malheur à celui qui blesse un enfant...
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Ultima necat.

Je me disais il y a peu que cela faisait longtemps qu'un livre ne m'avait pas emmenée au bout de la nuit, en haleine, impossible de le poser avant de l'avoir terminé. J'envoie donc mes remerciements de papier à Karine Giebel. J'ai ouvert le livre hier soir à neuf heures et demie et je ne l'ai reposé qu'une fois lu, repue, aux alentours d'une heure. Belle maestria, l'écriture, polyphonique, qui alterne la première, deuxième, troisième personne rythme formidablement le récit, aguiche et accroche. le parfait thriller.

Cependant, je suis plutôt mal à l'aise suite à cette lecture donc contrairement à mon habitude, je vais parler un peu de l'intrigue et un peu la dévoiler pour vous en parler un peu.

On suit Tama, petite esclave moderne dans une famille française, qui va ensuite tomber de mal en pis, au fil de l'histoire. Si le sujet est louable et livré, du moins au début, sans pathos ni mièvrerie, la troisième partie flirte hélas avec le dramolarmes.
On suit en parallèle un tueur à gages qui va petit à petit s'éprendre (pas à sens unique) de la pauvre jeune fille cassée, amnésique, qu'il recueille pour la sauver, la tuer, puis enfin non.

Donc voilà. Aucun personnage n'est épargné, ni manichéen. Mais les personnages féminins sont sans cesse sous le joug d'un autre, maltraitées, humiliées, violées. Pour, merveilleux syndrome de Stockholm, tomber en amour fou à 13 ans devant un des geôliers certes moins pire, mais tout autant monstre de violence domestique et sexuelle. Et l'auteur de décrire cet amour fusionnel entre ces deux êtres qui se sauvent l'un, l'autre.
Wait.
Fallait-il vraiment donner des hommes qui violenttapenttuent mais pas trop, pour sauver des jeunes filles ? Y déverser autant de mièvrerie sentimentale ? Elle est où l'image, celle de la femme, celle qu'on entend beaucoup (enfin) parler ces derniers temps ? Pourquoi ne pas avoir, là aussi, durci, noirci, forcé le récit pour que celui-ci reste dans le sordide et non se termine en happy end rose et passionné ? Comme si au final, on cautionnait tout cela. Olala comme ça se termine bien pour nos deux tourtereaux (re-Wait!What?Fuck!!!)

Alors, oui. Karine Giebel écrit divinement. le sujet est louable. Mais je suis beaucoup moins convaincue, voire profondément agacée, de la façon dont il a été romancé.

[Masse critique]
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Je rejoins le cortège des sceptiques. J'ai trouvé ce livre facile, complaisant, creux, superficiel, faisant l'apologie d'une violence que l'autrice semble vouloir dénoncer, mélangeant esclavage, violence domestique, vengeance, sans le moindre recul, ni la moindre prise de position.

Je ne rechigne pas à la violence dans un roman. Brett Easton Ellis ou James Ellroy comptent parmi mes auteurs favoris. Leurs romans sont remplis de violence. Et même de violence gratuite (comme dans le roman de Karine Giebel). Mais cette violence gratuite perpétrée par les personnages du roman, elle a un but dans l'esprit de l'auteur. Ici, j'ai été incapable de trouver ce but.

Les 200 premières pages m'ont paru tout à fait digestes et "correctes", car j'avais l'impression de suivre la dénonciation de l'esclavage moderne. le passage à un ex-flic pétri de vengeance, puis à la violence conjugale (sur l'air du "oh je te cogne car j'ai été cogné dans mon enfance", ce qui est un peu court quand même), et à la violence liée aux activités de bandes mafieuses... ce passage m'a laissé tout à fait à quai. L'autrice veut-elle dresser un portrait des violences? Il en manque, alors. Non, j'ai l'impression que l'autrice n'a pas voulu traiter correctement le sujet qu'elle prétendait vouloir traiter. Alors on met un tueur en série. Alors on met de la romance à 2 balles (et pas du 6.35). On met des malfrats qui s'entretuent. Puis on fait une petite courbe rentrante en fin de roman pour remettre un peu d'esclavage moderne dans le gloubi-boulga que le roman est devenu.

Je lis des "cela se lit vite" un peu partout. Normal, car Karine Giebel fait un découpage en petits chapitres décrivant des scènes déconnectées les unes des autres, elle utilise les monologues des personnages principaux, elle mélange narration en "Je" et narrateur omniscient (ce qui est bien commode) et elle décrit l'action. Tous ces procédés conduisent à du prémâché pour le lecteur qui peut avance gaiement à toute vitesse dans le roman. Si le rythme était moins rapide, le lecteur se poserait trop de questions, et il verrait les ficelles, les écueils et les incohérences du récit. Un peu comme quand on fait du surplace avec une bicyclette, on tombe...

En ce qui me concerne, je pense que les 200 premières pages laissaient augurer d'un vrai roman sur l'esclavage moderne. Botter en touche ensuite n'apporte rien. Pire, cela déforce la tentative de démonstration. Sur 675 pages, moins d'1/3 traitent réellement de l'esclavage moderne, et encore ! uniquement via l'angle des sévices corporels. Il y a tant à dire sur ces pratiques d'un autre âge. le double coup de grâce (et je ne suis pas loin de penser que l'on atteint des abîmes d'obscénité) vient en page 669 et en page 685. La première rappelle la loi de 2013 qui fait entrer l'esclavage et la servitude dans le code pénal français. La seconde remercie l'Oganisation internationale contre l'Esclavage Moderne... histoire de se draper dans une légitimité que ce roman ne mérite pas.

Je laisse 2 étoiles pour ces 200 premières pages, prometteuses même si putassières et raccoleuses.
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Le texte est long, près de 800 pages mais se lit vite. Et c'est heureux !
Quel ennui !
Le thème de l'esclavage en France de nos jours pourrait paraitre intéressant mais le traitement du récit m'a agacé au plus haut point. C'est en boucle la même antienne : elle est belle, elle se fait frapper, elle pleure, elle est belle, elle se fait frapper, elle pleure. Même l'homme de sa vie la frappe. C'est pour dire.
C'est gnangnan et en même j'ai eu le sentiment que Karine Giebel s'étalait dans les descriptions des mauvais traitements, des coups, des marques.Après un énième coma, il n'y a qu'un semblant de surprise avec l'identité de l'amnésique.
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Tama est une petite marocaine, amenée en France pour servir d'esclave à des familles. Elle ne connait que la faim, le travail, la douleur d'être battue. Pourtant elle apprend à lire, à aimer mais ne rencontre que des bourreaux.
Gabriel est un homme seul qui vit dans un paysage inhospitalier, entouré de ses démons jusqu'au jour où une jeune femme blessée et amnésique se retrouve chez lui.
Je ne sais pas si j'étais heureuse d'arriver au bout de ce gros roman mais malgré les deux protagonistes très poignants, je voulais dire stop aux tortures de Tama. Une jeune ado serait morte depuis longtemps de tous ces sévices mais elle, entre les coups devient jolie et désirable... J'avais parfois l'impression d'être maso. J'ai toutefois aimé leurs dialogues intérieurs.
Pour moi, ces deux personnages à vif m'ont mis à rude épreuve. J'aurais aimé je pense que le livre soit moins long ou bien hypocritement qu'il soit moins violent.
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Tama est une esclave. Elle n'a quasiment connu que la servitude.
Prisonnière de bourreaux qui ignorent la pitié, elle sait pourtant rêver, aimer, espérer.
Gabriel est un homme qui vit à l'écart du monde, avec pour seule compagnie ses démons et ses profondes meurtrissures. Un homme dangereux.
Deux destins que la vie a torturé et qui vont se rejoindre.

Ce roman évoque l'esclavage moderne, il est poignant, violent, à fleur de peau.

Autant la première partie nous embarque dans cet univers glauque, autant la seconde présente quelques longueur et s'essouffle un peu.
Une écriture sèche, facile, un peu trop sommaire qui multiplie les images stéréotypées sur la vie, la mort, l'amour. D'une manière générale, une écriture pauvre.

Une chose est sûre : "Toutes blessent la dernière tue" est un page-turner sordide mais efficace.
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T'as une centaine de pages, lecteur, pour te remettre des 500 précédentes où l'héroïne se prend les mandales du siècle, tombe dans les vapes et se réveille pour s'en prendre d'autres encore plus violentes qui la feront, à leur tour, tomber dans les pommes. Voilà, bim, j't'ai résumé le thriller du siècle, pavasse que je me suis enfilé en levant mille fois les yeux au ciel et en attendant que la pauv' petite qu'est toute mimi se remette d'une amnésie confondante.

C'est l'un des meilleurs Giebel, paraît-il, bah, il casse pô 4 pattes à un canard (chez moi c'est 4, oui). Je n'y ai vu qu'improbables circonstances, onguents romantiques chez les bad boy des cités et bons sentiments écoeurants. Bah voilà, ma côte de popularité en ligne tombera peut-être en flèche, mais moi j'ai pô aimé cette histoire de petite bonne marocaine et d'esclavage moderne, y'avait sûrement moyen d'en faire un récit un peu plus réaliste qui tienne un peu debout.

M'enfin, je crois pas que je retire quoi que ce soit à Karine Giebel avec ce post, elle n'a pas besoin de mon encensement pour cartonner et j'en ai lu de bien plus dithyrambiques qui sauront équilibrer les votes et les étoiles de la blogosphère.

Allez, fais-toi plaiz, fustige-moi en comm' j'adore ça ;-o et tu peux même pousser le vice sur Instagram :

Lien : http://www.instagram.com/les..
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J'aime beaucoup cet auteur dont j'ai lu tous les livres. Mais là, tout est "trop" et je n'ai pas adhéré. On suit la vie d'une enfant jusqu'à l'âge adulte. Enfant vendue, maltraitée et exploitée jusqu'à outrance. Ce qui m'a gênée c'est l'exagération des actes, d'après la description des coups ou sévices, un enfant "normal " serait mort depuis longtemps. Mais non, elle en prends encore et encore tout le long de sa vie. Elle rencontre l'amour mais... En parallèle de l'histoire il y a cet homme, tout le long du bouquin je me suis demandée ce qu'il faisait là. J'ai compris a la fin mais je ne suis pas tombée de mon canapé en criant au génie !!!! Donc mon sentiment est très très mitigé au point de marquer une grande pause vis à vis de l'auteur.
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