Beaucoup de poésie dans un monde impitoyable, c'est l'impression qu'il me reste des ces deux albums. Un dessin magnifique et des personnages d'une beauté extraordinaire.
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Je découvre Gibrat avec cet ouvrage et les différentes critiques positives des utilisateurs de Babelio, alors merci ☺ …. le moins qu'on puisse dire c'est que je n'ai pas été déçu, la finesse du trait, le scénario, on s'y croirait dans ce Paris de juin 1944. Vivement le tome 2!
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Cette critique se rapporte aux deux tomes intitulés « le Vol du Corbeau ».
Une histoire complètement irréaliste, une héroïne d'une naïveté navrante. Pas la peine d'en dire plus, je n'ai pas accroché du tout à cette bande dessinée en deux tomes, avec ses dessins très travaillés mais qui ne rattrapent pas la faiblesse du scénario.
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Dans la même Veine que le sursis c'est une vraie belle réussite encore une fois, et les dessins sont d'une beauté indescriptible
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Un premier tome pas transcendant...
Tout d'abord le dessin, pas désagréable ça avait un petit côté roman photo.
En revanche, bonjour les clichés. La demoiselle en détresse, à la plastique de rêve qui écrit volontiers son courrier avec le chemisier généreusement ouvert sur sa poitrine, et tout les prétextes sont bons pour que le dessin fasse remonte sa jupe...
Le héros masculin lui a une sale trogne, mais il a bon fond (comme c'était prévisible)...
C'est drôle dans une des bulle un personnage dit que le prénom Jeanne va bien à une personne un peu tarte comme notre héroïne (qui s'appelle Jeanne pour ceux qui n'ont pas suivit), et bah je trouve que c'est un très bon résumé. Ce premier tome est TARTE au possible.
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