Rappel des épisodes précédents :
Étant passionné par le genre policier, privilégiant à l'excès les récits écrits en langue française et étant un grand amateur de littérature fasciculaire, un genre très populaire il y a un siècle, je me suis intéressé à la série « Les enquêtes du commissaire
Numa » de
Christophe Géradon.
Pourquoi ?
Parce que «
Numa » est le nom d'un policier, le roi des policiers, apparu dans la littérature populaire en 1906 dans le roman-feuilleton « le Pouce » de
Léon Sazie, puis dans un autre roman sous la même forme dans le même magazine : « L'oeil de la police » avant que l'ensemble soit réécrit et publié sous forme de 11 livres magnifiquement illustrés en couverture par Maurice Toussaint en 1931…
Parce que les épisodes de la série de Géradon s'étalent entre 12 et 17 000 mots, des tailles variant entre celles des textes de fascicules de 32 pages et de ceux des 64 pages si chers à mon coeur.
Parce que j'étais curieux de savoir pourquoi un auteur né à Liège en 1973 écrivait, de nos jours, des récits de cette taille et, surtout, qui se déroulaient au début des années 1980.
Parce que, enfin, j'aime découvrir de nouveaux personnages et de nouveaux auteurs.
Bref.
J'ai donc lu un premier épisode de la série, «
La seconde gamine » sans être totalement convaincu et par l'histoire et par la plume de l'auteur, mais sans que l'une ni l'autre ne dissuadent totalement de poursuivre ma lecture avec le second épisode, «
Une ruelle de commères ».
Ce second épisode ne répondit pas non plus à mes questions ni à mes doutes, aussi, j'enchaînais avec le troisième épisode, «
La chapelle phosphorescente ».