So, so, so british. Ce roman d'Elisabeth George, perdu dans une pile de polars à lire, est le premier que j'aborde. Porté par de bonnes critiques, je me suis laissé tenter et là, quelle n'a pas été ma déception. L'ennui est arrivé très vite. Des descriptions interminables sur la couleur d'un mur, le dessin d'un tapis où l'ameublement d'une pièce, une véritable revue de déco à l'anglaise, de nombreux personnages caricaturaux, un aristocrate inspecteur à Scotland Yard (ça existe dans la vraie vie un comte qui travaille ???) et après une centaine de pages, le crime arrive comme on remet un peu de sel dans un plat trop fade.
Elisabeth George a ses fans mais ce sera sans moi.
Commenter  J’apprécie         210