Cette lecture devient douloureuse.
Taki le psychopathe et
Kirino l'attardé soumis et son obsession d'être 'utile' à son maître : ça y est on est dans le cringe, et bien profond.
Je ne comprends pas comment on peut aimer un perso qui nous traite comme un chien, pour moi l'attachement de
Kirino ressemble plus à du syndrome de Stockholm.
Bref, on va dire que je ne suis pas le public.
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