J'ai adoré la saga maori de
Ferey. Un rythme haletant, une violence fulgurante servie par une écriture au scalpel dans une ode au cosmopolitisme. Dans «
plus jamais seul », l'écriture est saccadée, la dimension sociale (ADN du néo-polar) est plaquée, apparaissant comme un copier-coller malhabile dans un récit poussif et sans profondeur. Tous les ingrédients y sont (à commencer par la maison d'édition La « Noire » de la NRF) mais la mayonnaise ne prend pas. Dommage...