Djinn, tome 10 : Le pavillon des plaisirs

"_Ce n'est pas l'avais des nationalistes, de cet ancien avocat dont je ne me rappelle plus le nom...
_Gandhi ?
_Il n'est rien. Il passera [...]."

- [...] on dit que le pavillon des plaisirs renferme mille splendeurs.
- Et mille blessures. Reste sur tes gardes.

- Il est brutal, sans imagination. C'est une bête. Mais c'est moi qui l'ai emporté. Ce matin, il ne parvenait même plus à m'honorer.
- C'est bien. Je n'aimerais pas que tu me déçoives.

Surprendre les dieux alors qu'ils s'adonnent aux jeux de l'amour peut se révéler fatal pour une âme innocente.

"je suis à toi. objet de tes désirs. Mirage que tu peux saisir. Alors...prend!"

Les inde. La ville bleue enfouie au coeur du Radjasthan.
Le bleu, couleur de Krishna. Le bleu qui éloigne les insectes.
Le bleu dominé par le palais des Eschnapur...
Le bleu comme un rêve lointain vu d'une des tours du palais.
Le bleu qu s'inscrit en arabesque le long d'une des portes donnant sur les apparetement privés de la mère du aharadjah.

"On est toujours seule quand on veut dominer."

Ton corps est une invitation au voyage.
Si tu le désires, mon fils se perdra au long de cette carte.

Gandhi ?
Il n'est rien. Il passera comme tous les fumistes de son espèce.

Les hommes ne sont que des fétus de paille.