AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
2,99

sur 200 notes
J'ai apprécié les premiers romans de Philippe-Djian , grâce à son écriture simplifiée à l'extrême, elliptique, pas de point d'interrogation, lorsqu'une question se pose , absence de point d'exclamation, phrases courtes , préservation des secrets pour mieux surprendre ........
Le lecteur doit se débrouiller pour retrouver le fil entre deux épisodes cruciaux , auteur lié plus ou moins à la culture rock .......Cette écriture me surprendra toujours.
Cette fois je suis déçue par une intrigue simpliste même si l'auteur dit qu'il n'y attache point d'importance !
Pas de souffle, un roman d'amour tordu, des couples qui se déchirent , se réconcilient dans le milieu musical , résurrection quelque part ........
Les scènes de sexe sont torrides, brûlantes , on boit beaucoup et on fume, on prend des pilules , on mélange alcool et médicaments , drogue , comme à chaque livre de l'auteur ........
Des pages entières sont consacrées au désir physique du héros pour son épouse malgré son infidélité . Je me suis ennuyée lors de cette première partie ........
Quoiqu'elle dise et fasse, il restera complétement accro , pas de morale , le crime passe .....n'en disons pas plus !
Un roman morose , à la fois décevant, érotique et féroce , facile à lire et pétri de rebondissements , de virages à 180 Degrés , triste, stylé à sa manière , un homme totalement dépassé par son entourage .
Au détour d'un bout de phrase , hop ! Retournement de situation !
Rien à faire , je ne peux m'empêcher de lire les livres de Philippe Djian , dès que j'en ai un sous la main !
Celui - là , je ne l'avais pas lu à sa sortie .......
Peut- être qu'il écrit toujours le même ouvrage !
Je vais décevoir les inconditionnels dont j'étais mais tant pis !
Commenter  J’apprécie          414
L'intrigue comme souvent chez Djian est assez simpliste, on pourrait croire qu'il s'en fiche tellement celle-ci est faiblarde (d'ailleurs il le souligne que ce n'est pas ça qui l'intéresse). OK, pourquoi pas, mais à force, plus je lis Djian plus cette manière de négliger l'histoire m'agace. Ici, il y a presque tromperie sur le speech. Ce « Love song » regroupe parfaitement tout ce que j'aime chez Djian mais aussi malheureusement tout ce qui commence à me fatiguer depuis plusieurs romans. On retrouve toujours son style inimitable c'est loin d'être désagréable à lire, même s' il est difficile de trouver de l'empathie pour ces personnages, mais on est quand même loin de la qualité de ces premiers romans qui en avait fait un écrivain rock n'roll. Ici le rock est entrecoupé d'une « soupe » pas franchement entrainante. Décevant d'un auteur aussi doué.
Commenter  J’apprécie          393
Mitigé. Une impression de redite malgré de vraies fulgurances chères à cet auteur.

Tout d'abord un titre intrigant : Love Song. Un des titres phares du groupe "The Cure". On y est pour la tonalité et la crédibilité Rock.

Love Song ? Chanson d'amour ?
Philippe Djian se serait-il Marc Lévyiser ? Non non non ! Tant l'amour, la haine, la rage et la traîtrise émaillent le bouquin de riffs assassins. Grindcore ? Non quand même pas.
Popisant non plus.
Tout au plus un bon vieux rock assassin.
Le tempo est alerte, les couplets s'enchaînent mais pas de refrain mémorable que l'on se plaira à fredonner ensuite.
Putain Philippe ça manque de souffle !

Alors est-ce une histoire d'amour ?
Oui on est bien dans le champ du roman d'amour mais à la sauce Djian, c'est a dire bien tordu et acide, ce qui n'est pas un défaut en soi.

L'imaginaire autour de cette chanson d'amour serait plutôt une sorte d'ode déglinguée (comme "La Souris") et nihiliste, que l'on touche du bout des doigts, que l'on frôle, où l'on passe a côté du sublime, où la réalité est toujours moins passionnante que celle fantasmée. Inatteignable.

Malheureusement, le nouveau Djian bégaie. Remplacez le rocker par l'écrivain et l'histoire sera peu ou prou la même que certains romans précédents.
Aucun apport venant de l'univers de la musique et encore moins du Rock. La partie musicale est survolée, simplement évoquée, jamais réellement décrite. Point de sueur, de transpiration, de bruit ou de fureur. On n'est pas dans un Despentes non plus.
Djian se contente de faire du Djian. C'est déjà pas mal me direz-vous. Mais on en attend toujours plus d'un auteur qu'on aime - c'est comme ça que voulez-vous ?

Ce nouveau cru est comme le nouveau Placebo, on y retrouve toutes les caractéristiques, couleurs et parfums de l'artiste qu'on aime, mais on ne nous y ajoute aucune saveur, aucune épice. Un sacré manque de risque. Comme une formule bien rodée servie et resservie à l'écoeurement. Pourtant, c'est toujours meilleur quand la recette évolue et transcende les ingrédients de base...

Même si le bouquin n'épargne personne et nous dépeint des situations, des réflexions et des personnages toujours contrastés et jamais lisses, on entend le ronronnement, comme un diamant qui répète la même ligne inlassablement sur un disque vinyle rayé.
Néanmoins, la dernière partie redonne un bon coup de fouet à l'ensemble et arrive insidieusement avec bonheur à redresser la barre vertigineuse du paquebot qui faisait route droit sur l'iceberg.
Bon ok Philippe t'es fort quand même ;-)
3/5
Commenter  J’apprécie          198
Daniel, un chanteur compositeur, cherche l'inspiration pour composer une chanson pour sa maison de disque. Sa femme, Rachel, revient au foyer, alors qu'elle était partie depuis quelques mois, ce qui va chambouler pas mal de chose pour Daniel.

C'est donc une totale découverte pour moi, je ne connaissais pas l'auteur. C'était une lecture très agréable, originale, dans le sens où le temps passe très vite dans ce livre sans transition aucune. Au fil de l'histoire, il y a des révélations sur le couple Daniel-Rachel, qui surprennent. D'ailleurs, c'est vraiment la force du livre, la surprise permanente de l'histoire, malgré un début qui m'a semblé un peu plat. Je m'attendais à une histoire banale de couple qui se dispute tout au long du livre en fait. Il y a plus que ça.
Lien : https://letempsdelalecture.w..
Commenter  J’apprécie          150
C'est un bon Djian que ce Love Song. Peut-être pas le meilleur, mais l'audace thématique chère à l'auteur est toujours au rendez-vous. On vit à l'intérieur du personnage d'un chanteur quinquagénaire dont on découvre qu'il est un homme comme les autres. Qui aime, dont le couple se déchire, qui est trompé, qui est reconquis par son ex, qui souffre de ce que son manager le traite comme une chose, qui se bat, qui tue, qui ne tue pas (on est chez Djian, le meurtre est partie intégrante du romanesque), qui prend un enfant dans ses bras, qui souffre aussi. Mais qui combat, qui renaît, qui ressuscite, qui vit. Comme vous, comme moi, comme n'importe qui. Et toujours chez Djian, la fascination vient du fait que les personnages sont rendus anodins par une plume légère et ouverte à la fois. Un bon livre!
Commenter  J’apprécie          120
Love song

Premier titre de cet auteur pour moi.
J'ai toujours hésité à me lancer dans ses romans. Je ne sais pas trop pourquoi. Les quelques interviews écoutées à son propos ne m'encourageaient pas vers ce chemin. Et puis dernièrement, lors de l'émission La Grande Librairie, il m'a convaincue d'aborder enfin sa prose.

Je dois dire qu'à la lecture de Love song, mon sentiment est mitigé.
La première partie du roman m'a semblé très ennuyeuse. Pendant des pages, Djian nous décrit la passion physique que son héros ressent pour sa femme malgré son infidélité et son retour à la maison, enceinte d'un autre. Pour moi, ces pages furent une overdose. On comprend bien que Daniel, le héros, est complètement accro à sa femme quelque soit le nombre de vacheries qu'elle peut faire. On comprend bien que la raison n'a rien à voir là dedans. Etait-ce nécessaire d'en faire des tonnes ?
La deuxième partie est un peu plus active. Je ne dévoilerai pas les actes et les pulsions de Daniel pour surmonter les effets du retour de sa femme. Il n'y a pas d'analyse psychologique à attendre mais plutôt un instinct animal à découvrir.

Le fait que Daniel soit musicien n'a aucune incidence dans le roman. Il aurait pu être plombier, ça ne changeait rien. Sauf pour Djian qui manifestement s'est fait plaisir en citant ou évoquant quelques noms d'artistes.

Mon premier essai ne fut pas convaincant donc, d'autant plus qu'il n'y a aucune recherche dans l'écriture simplifiée à l'extrême, mais un petit quelque chose d'indéfinissable, pourtant, me retient... Tenterai-je une autre lecture ?
Commenter  J’apprécie          123
Beaucoup d'écrivains écrivent toujours le même livre. Des variations plus ou moins réussies sur des thèmes récurrents. C'est aussi pour cela qu'on les aime, pour retrouver une musique familière dans laquelle se lover confortablement comme dans un vieux sofa défoncé mais encore moelleux. Djian fait partie de cette race. Love Song a des airs de déjà lu : l'amour, la tromperie, les trahisons, le vieillissement, le sexe et cette sourde mélancolie différente de la pure tristesse dans le sens où l'on s'y complait comme avec une amie fidèle qui, elle, ne vous lâchera pas pour un oui ou pour un non. le héros de Love Song est djianien jusqu'au bout des orteils : désabusé, manipulé, accro à tout un tas de substances, capable de violence mais d'une faiblesse insigne, en définitive. le monde de la musique, dans lequel il évolue, n'est pour l'écrivain qu'une toile de fond. Ses dérives mercantiles sont à peine esquissées. A vrai dire, Djian s'en fiche un peu. Son histoire semble à peine travaillée, peu creusée. En revanche, l'auteur se donne du mal pour avoir un style, créer un climat. de ce côté là, il est inimitable. Qu'on aime ou pas, c'est indéniable. Comme Modiano, dans un tout autre genre. Love Song est un blues "des ans chanté", une vision peu amène des relations humaines. Qu'importe si certaines scènes se révèlent aberrantes et invraisemblables, si les dialogues sont souvent répétitifs, si les tournures de phrase sonnent parfois bizarrement. Ce n'est pas le meilleur Djian, loin de là. Ce n'est pas très grave, on s'y pelotonne quand même avec un plaisir coupable, en attendant le prochain qui sera forcément meilleur. Ou pas.
Commenter  J’apprécie          110
On sait, parce qu'il le répète dans toutes ses interviews que Philippe Djian n'en a rien à faire de l'histoire, ce qui l'intéresse, c'est l'écriture… Néanmoins, ce sont ses histoires qui nous happent et nous empêchent de fermer le livre avant la fin. Ses histoires parce qu'il les raconte bien !

Ici, rien de bien original, un musicien cinquantenaire retrouve sa femme qui l'avait quitté huit mois plus tôt… Retrouvailles étranges, malsaines. Sexe, mal-être, trahison… Les ingrédients propres à l'univers de Djian sont là. Mais peu importe le propos ou les situations (très) rocambolesques, c'est la narration qui est excellente.

Cet art de l'ellipse, d'abord ! L'événement important s'arrête net. Et on le retrouve quelques lignes plus loin, raconté de manière faussement désinvolte… j'adore !

Et puis ses phrases, le rythme qu'il impose, son vocabulaire… Il m'enchante…

Je trouve toujours un grand plaisir à le lire et même si ce dernier roman n'est sûrement pas son meilleur, je l'ai dévoré, comme les autres, sans objectivité aucune, parce que j'aime ça, c'est tout ! Mais si, tout de même, j'ai été agacé à trois reprises… (oh un tout petit agacement ! mais quand même…) Il a employé trois fois l'adjectif hideux devant un nom, dont deux en trois lignes, et ça a heurté mes oreilles… Je n'ai pas aimé le son que cela a produit… je chipote ? Bah oui, puisque je ne trouve pas grand-chose à redire à la prose de Djian !
Lien : http://krolfranca.wordpress...
Commenter  J’apprécie          100
Philippe Djian est un romancier français né le 3 juin 1949 à Paris. Il a longtemps été présenté comme un héritier de la Beat Generation en France. Il est notamment l'auteur de 37°2 le matin qui lui apporta la popularité mais depuis son style et son inspiration ont beaucoup évolué. Son nouveau roman Love Song, vient tout juste de paraître.
J'ai un réel problème avec Philippe Djian. Je le lis depuis ses débuts (Bleu comme l'enfer en 1983) et j'ai adoré ses premiers romans tout autant que le personnage vaguement lié à ce qui pourrait s'appeler la culture rock. Fidèle, je m'empresse d'acheter ses bouquins à peine sortis de l'imprimerie mais leur lecture me laisse depuis longtemps dans une incompréhension totale. L'année dernière OH… m'avait fait une bonne impression toute relative mais ce n'était qu'un avis de fan. Son nouveau bouquin me laisse dans la même perplexité, alors pour en parler autant vous présenter les deux commentaires contradictoires qui me viennent naturellement sous la plume.
« Daniel est un musicien accompli. À 50 ans et quelques, sa carrière est faite, il est l'auteur de plusieurs gros succès, de plus d'une dizaine d'albums, et tourne dans le monde entier. le public et la critique l'adorent, on le reconnaît dans la rue et le désordre de sa vie conjugale avec Rachel fait parfois la une de la presse people. Mais ces derniers temps, l'industrie du disque a changé sans qu'il s'en aperçoive. Et, quand il remet à sa maison de disques ses nouveaux morceaux, le verdict tombe : pas assez commercial. Renvoyé en studio, il doit d'urgence trouver l'inspiration, quand sa femme, qui l'avait quitté depuis un an, choisit justement ce moment pour revenir… enceinte ! »
Même si le roman baigne dans le monde musical et si l'écrivain en profite pour balancer quelques vérités convenues sur l'industrie du disque, ce n'est pas son propos principal. D'ailleurs, y-a-t-il réellement un fond dans ce roman. Certes il y a de la réconciliation, de la résurrection et de la délivrance mais il n'y a pas de morale puisque le crime n'est pas puni.
CONTRE : le lecteur n'est jamais surpris par une nouvelle histoire sortie de l'imagination de l'écrivain et il a toujours l'impression de retrouver les mêmes personnages dans chaque livre. Des gens aisés vivant dans de belles maisons, du genre Bobo, dans une ville non identifiée, près d'un lac avec des montagnes au loin et la neige qui tombe à un moment ou un autre. le héros du roman a toujours des problèmes avec sa femme et le genre féminin en général, les couples sont en rupture ou se déchirent ; on couche à droite et à gauche et l'on s'étonne que le conjoint en prenne ombrage. Les hommes écoutent plus leur bite que leur tête, les scènes de sexe sont nombreuses et torrides croit-on comprendre et si ce n'est le cas, les petites pilules viennent à la rescousse. On boit beaucoup, on fume des joints un peu. Pour en revenir à ce roman précis, il y a des situations carrément grotesques comme la scène de branlette dans la salle-de-bain ou la tentative de meurtre de Walter ami de Daniel ou l'extravagante Amanda qui vit de ses passes à 70 ans et joue de la batterie dans le groupe de Daniel ! A moins que ce ne soit de l'humour… ? Rien ne tient la route dans le scénario et l'on enrage de se laisser aller à lire de telles salades. On a beau savoir que Djian se fiche des histoires, c'est son droit puisque c'est lui qui écrit, mais nous sommes en droit de n'être pas satisfaits puisque nous sommes les lecteurs.
POUR : Et malgré tout ce qui précède, à un moment ou un autre, je me laisse prendre à l'écriture, étonné devant des phrases tournées ainsi « Une odeur de feu de bois s'est répandue dans l'air, de tamaris coupés, des étoiles apparaissent. » ou bien ce genre « Elle revient. Elle lui sourit. Il lui demande de partir. A moi aussi. » On constate l'absence de point d'interrogation quand des questions sont posées. Peut-être sont-ils trop vulgaires pour l'écrivain. Pourtant, même ces points de style que je considère positifs pourraient être contestés par d'autres.
Pour conclure (enfin), je ne m'intéresse plus beaucoup aux romans de Philippe Djian mais je ne peux pas m'empêcher de les lire. Une addiction comme une autre et dont je ne cherche pas vraiment à me guérir. Philippe Djian écrit de belles musiques mais ses paroles sont insipides, Love Song, son dernier album ( ?) en est la preuve encore.
Commenter  J’apprécie          100
Je ne connaissais pas cet auteur prolifique dont on m'a vanté les mérites et le découvre grâce à "Love Song", un roman contemporain à la limite du thriller, dans le monde de la musique. On y fait la connaissance de Daniel, auteur-compositeur-interprète à succès, dans la fleur de l'âge. Son ex-femme revient vivre avec lui après huit mois passés avec un autre homme. Daniel souhaite plus que tout passer l'éponge et recommencer la vie de rêve qu'ils avaient en commun avant ces quelques mois d'errance. On comprend bien vite que leur bonheur était bien fragile et que Rachel cache bien des secrets. Jusqu'à quel point Daniel est-il prêt à pardonner à celle qui lui inspire ses plus belles mélodies ? Mais aussi les plus sombres...
Daniel est un personnage attachant, profondément humain. J'ai eu envie de découvrir sa musique au-delà de sa personnalité, de partir avec lui sur le chemin de ses tournées. Son art fait partie intégrante du récit, ainsi que son processus de création et d'inspiration, même si j'aurais souhaité que cet aspect soit plus présent. On lui impose d'écrire des chansons joyeuses pour que sa maison de disque le trouve encore rentable et c'est cet aspect du monde de la musique et ses vautours qui auront, peut-être, raison de lui. La manière dont il surmonte cela fait aussi partie intégrante de l'intrigue.
Rachel est un protagoniste ambigu, à la fois figure féministe et libre, mais aussi source de conflit et en profonde souffrance. Autour de ce couple maudit tournent leurs amis plus ou moins proches et la crème du business musical, ajoutant eux aussi leur petit grain de sel à cette histoire à la fois brillante et tragique.
Le style m'a parfois un peu déstabilisée, notamment à cause de l'absence totale de points d'interrogations dans le roman, me faisant relire plusieurs fois certaines répliques pour en comprendre le sens. Je n'en ai pas saisit l'intérêt ni si cela était purement stylistique.
Il se dégage de ce roman une atmosphère, une ambiance particulières que Philippe Djian instaure dès les premières pages et la tension monte au fur et à mesure des différentes révélations inattendues. Beaucoup d'émotions se dégagent de ces pages.
En résumé, "Love Song" est un roman passionnant, à la fois sur le plan humain que sur celui de l'intrigue, abordant des thématiques fortes, portées par des protagonistes à la psychologie approfondie. Je vous le recommande vivement !
Commenter  J’apprécie          70




Lecteurs (471) Voir plus



Quiz Voir plus

Philippe Djian - méli-mélo de titres

Avant d'attaquer ses titres, on commence par son année de naissance.

1939
1949
1959
1969

12 questions
102 lecteurs ont répondu
Thème : Philippe DjianCréer un quiz sur ce livre

{* *}