John Mannering et son personnage nocture, le Baron, sont une sorte d'Arsène Lupin british. Il apprécie les pierre précieuses, il les vend ou les vole tout dépend du moment de la journée. Il apprécie les jolies filles même s'il est à la veille de se marier. Ses relations avec la police sont un peu paradoxales, elles peuvent être tendues ou devenir très rapidement amicales.
Le roman accumule les clichés, le gangster Slobodan est sûrement l'exemple le plus parlant. Parce qu'il vient des Balkans, il doit être brutal et bas de plafond. Mais la police n'est pas en reste. C'est à se demander ce qu'elle ferait si Mannering n'était pas là pour l'aider.
Ça se lit vite (bon il n'y a pas beaucoup de pages) et ça ne reste pas longtemps en tête. C'est vraiment du roman « policier » niveau roman de gare.
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