She's from age de Pierre Paul ou Jacques on s'en fou'rme d'Ambert.
A la belle Deschamps qu'il croisa
Le beau fort
Le roc fort, se présenta.
My name is
Kant,
Kant Al.
Le petit homme de sa voix
La siffla
Baby belle eh baby belle
Oui, le porc salut
Toujours les dames.
Z'y vas, la grue hier
Celle du comté de chez Dard
J'y ai dit
Cache moi pas ce sein Paule hein
Elle a fait celle qui ri
La vache qui ri
Elle m'a foutu un pain divin (et dix vins ça fait beaucoup) façon bourre saint
Les mains tallent mes bleus d'ô vergne
Et puis soudain, les mains s'tairent (et d'un coup grattent un dos Finnois)
Sur la chaussée aux moines
Là où il fait le pont l'évêque
L'ami molette.
Qu''il ait cru (ou pas… steurisé ?)
Saint Félicien prie Saint Nectaire
Un vieux pas né.
C'est rapé pour les fondus
Et puis on connait la musique
Mozart est là
C'est les poisses (oui elles sont plusieurs parce que seule, ça marche pas)
Il bu, rata l'O sole mio
L'osso ira-t-y ou pas
Dans le désert des tartares
A la recherche de la corne d'abondance.
L'histoire ne le dit pas
Pas plus que s'il y fêta
Ce genre de salle à kiss (au bon lait de bre bre, de bre bis quoi)
Avec juste quelques bris de mots
Juste un brie doux
De l'art ou du cochon
Où les sots y sont avec les andouilles
Mais c'est une toute autre histoire que celle d'Henriette du Mans
Elle que les gens bons bâillonnent
Là où le cerf velât (et ça c'était pas évident au départ).
C'est à ce moment là que vous allez me demander des trucs du genre, c'est quoi ce bordel ? Quel rapport avec
Léonard Cohen ? Avec son bouquin ?
Je vous répondrai simplement qu'il y a comme dans
le livre du désir, de l'érotisme, de l'amour, de la musique et de la spiritualité et que comme dans ce foutu bouquin, j'ai essayé de faire passer un message.
Lequel ?
Ami babelioteur, si comme moi tu n'as rien à dire, crie le haut et fort, hurle le, associons nous pour avoir plus de poids, demandons à babelio d'être notre sponsor maillot et de nous faire connaître chez les éditeurs parce que, soyons réalistes, pour pouvoir publier ce genre de truc insipide au possible, faut être connu. Et ça avec
le livre du désir,
Léonard Cohen le démontre magistralement page après page.
Je ne connais pas très bien le chanteur et n'ai jamais été tenté d'aller voir plus loin que les quelques titres entendus par hasard. Alors comme le poète qu'on m'a vendu dans le bouquin m'a laissé sur le cul à force de niaiseries et autres trucs sans intérêt, je suis allé voir les textes de ses chansons pour m'apercevoir que ben… si vous êtes fan, vous allez adorer le bouquin.
« Je me suis aventuré dans le self
Coiffé d'une sorte de chapeau religieux
Les boulettes de viande étaient rondes
Et les crêpes étaient plates
J'ai demandé à Di-u au ciel
De le garder comme ça »
J'avoue que plutôt que de self, j'aurais parlé de cafétéria du Leclerc ce qui est beaucoup moins sexy et que je me serais plutôt fait une religieuse au lieu de me la mettre derrière l'oreille. Quant aux boulettes et aux crêpes, respect à l'artiste, fallait y penser. Quel talent !!!!
Une autre une autre une autre !!!!
Nan, sans dec, vous êtes surs ?
« Dès que j'ai eu compris
(même dans une faible mesure)
Que ce monde est celui de di-u
Immédiatement
Je me suis mis à perdre du poids
En ce moment même
Je porte
Ma tenue de hockey
De classe de sixième »
Bah, perso, tut ce que j'ai compris c'est qu'u contraire ça m'a gonflé et qu d'u cu je me sens tu budinné (et là je me dis que son di-u me fait dire n'importe quoi, j'ai pas un gros cul m'enfin !!!) dans mon sous poule à coule roulé blou clair 100% transpirant de quand j'étais en sixième ce qui je le confesse est là aussi beaucoup moins rock and roll qu'une tenue de hockey.
Pour agrémenter ces textes d'une beauté à couper le souffle (l'a fallut me réanimer après certains textes) nous avons aussi le bonheur d'admirer le trait de crayon de l'artiste. Des dessins d'un érotisme terrible qui enverraient presque mes souvenirs des pages centrales des playboys de mon adolescence au même niveau qu'un Oui Oui dans la bibliothèque de Nadine Morano.
Et puis tous ces autoportraits à mi chemin entre
Philippe Seguin et Droopy, et puis ces symboles religieux (c'est là que je bouddha), n'ont rien à envier à la puissance des textes Caliméroïstes qui page après page deviennent de plus en plus indigestes (j'avoue avoir zappé une page sur deux assez rapidement).
Un exemple de plus qu'un nom peut publier n'importe quoi.
Ce billet vous a été présenté par « Fleuris Nichons » avec le concours de « Cochonne où ? » pour un recueil cul cul.