C’est la lutte du modelé contre la suprématie de la ligne. La ligne n’existe pas dans la nature, donc Léonard la supprime. Il œuvre à la rendre invisible. Pour Botticelli, la peinture doit impérativement s’émanciper de la nature, surtout ne pas la copier. Peindre, pour lui, c’est la rendre autrement, l’inventer, la rêver, et au besoin l’améliorer.