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Commissaire Salvo Montalbano tome 24 sur 33

Serge Quadruppani (Traducteur)
EAN : 9782266279604
288 pages
Pocket (14/06/2018)
3.65/5   79 notes
Résumé :

Entre crimes, regrets et trahisons, Montalbano cherche un peu de lumière dans un monde voué aux ténèbres...

C'est un bien étrange rêve de cadavre dans un cercueil qui obsède Montalbano, confronté par ailleurs à une affaire de faux viol et de vrai viol - sans oublier trois terroristes présents dans la campagne environnante.

Somme toute, rien d'inhabituel au commissariat de Vigàta si une troisième affaire ne venait perturber le c... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Cela faisait pas mal de temps que je n'avais pas lu du « Andrea Camilleri » et heureusement que j'ai bien commencé par «l'Avertissement du traducteur » (Serge Quadruppani) pour « Une lame de lumière » :
« La difficulté principale se présente au niveau intermédiaire, celui de l'italien sicilianisé, qui est à la fois celui du narrateur et de bon nombre de personnages. Il est truffé de termes qui ne sont pas du pur dialecte, mais plutôt des régionalismes. » (p.7/8). « La traduction peut paraître peu fluide et s'éloigne délibérément de la correction grammaticale. » (p.9).
Ceci étant bien expliqué, je me suis souvenue qu'en effet, les livres de cet auteur étaient un peu « spéciaux » du point de vue de l'écriture. Donc, de nouveau dans le bain, j'ai relu ce livre qui remonte à 2016 pour ma version.

On comprend très bien ce que raconte l'auteur et on s'adapte aux mots tels « li tiliphone », « il arésussitait », « encagassé », « sans y pinser une seconde » et bien d'autres … tout le long de l'ouvrage et ce ne sont que que quelques petits exemples.
On retrouve le commissaire Salvo Montalbano qui avait pris un jour de congé, mais, recevant un coup de « tiliphone » de Catarella, lui expliquant (sans bien se faire comprendre car ses phrases tournent autour du pot), qu'il faut se rendre dans la campagne Casuzza où on a trouvé un cercueil (« un tabutto ») dans un champ. Mais celui-ci est-il vide ou plein ? :
« - Dottori, le susdit tabutto se trouvant avec le couvercle posé sur le dessus, en conséquence le contenu du même tabutto adevient invisible.
- Donc, tu ne l'as pas soulevé . (…)
- Mais c'est inutile.
- Passque le tabutto n'est pas vide.
- Comment tu le sais ?
- Je le sais en tant que le plouc paysan qui serait le propriétaire du terrain où s'atrouve disposé le susdit tabutto et qui s'appelle Annibale Lecoco, né de feu Giuseppe, et qui est là à côté de moi, souleva le couvercle juste ce qu'il faut pour voir que le tabutto était occupé.
- Occupé par qui ?
- Par un cadavre de mort, dottori. » (p.15).
Mais tout cela était un cauchemar (du moins pour l'instant car on peut se demander si Montalbano ne fait pas des rêves prémonitoires). J'arrête là cette retranscription car c'était pour donner le ton et la suite ne fera que le confirmer. de plus, ce livre ayant déjà été largement raconté et chroniqué, il ne me reste plus grand-chose à en dire, peut-être quelques autres indications et mon ressenti ?

Une fois les expressions bien enregistrées (ce qui est facile), j'ai continué ma lecture et ça a fonctionné.
On voit qu'avec l'enquête « in personne pirsonnellement », Montalbano se retrouve confronté à plusieurs affaires : de coeur (avec sa fiancée de longue date, Livia) et une nouvelle arrivée, Marian, d'un charme envoûtant – l'affaire de la belle Mme Loredano (qui avait raconté des calembredaines à son mari au sujet d'un soit-disant vol de 16.000 euros en pleine nuit ?!? Bizarre, vous avez dit bizarre) – une probable affaire de terroristes ou de contrebandiers (avec la découverte de ce qui pourrait être un bazooka ou un lance-missiles) – la découverte d'un « catafero » brûlé dans une voiture … le commissaire Montalbano va donc avoir à faire bien travailler sa « coucourde »…
De nombreux personnages interviennent avec chacun leur particularité. Des pistes se recoupent mais elles finissent par former un vrai labyrinthe où, malgré tout, n'est pas Montalbano qui vent, on arrive enfin au dénouement. En cela il est aidé par des fidèles compagnons tels que : Catarella, Fazio, Mimi Augello…
Il me reste à rajouter qu'il ne faut pas oublier la gastronomie chère à notre commissaire et l'occasion lui est très souvent donnée de goûter aux bons petits plats d'Adelina.

Ce fut donc une bonne lecture plaisante car on rit beaucoup avec l'humour bien présent et qui nous fait mieux passer l'inquiétude de la situation.
Ainsi, une fois passé le cap de la traduction, un agréable moment sans trop se casser la tête mais qui risque de ne pas plaire à tout le monde, justement avec l'écriture.
Chacun s'y fera son jugement et choisira d'être « Cammilleriste » ou pas.

Comme bien souvent, j'ai relevé une petite critique, celle de « Geneviève Comby – le Matin Dimanche » : « Théâtral et facétieux, Camilleri entremêle avec maestria le pathétique et le comique dans une enquête qui va et vient au rythme du ressac et des horaires méridionaux. »

Conclusion : cet ouvrage m'a surtout amusée et, ma foi, par les temps qui courent, ça fait du bien. J'ai relu récemment ce livre et mes rires ont continué.



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Ecrit en 2012, traduit en France en 2016, quatre ans pour enfin pouvoir lire Une Lame de lumière, c'est un peu trop long pour l'afficionado de Camilleri et de son commissaire Montalbano.
Je suis très loin d'être déçu par cette enquête de Montalbano. Plutôt enthousiaste et retourné par la façon dont Andrea Camilleri, en utilisant toujours les mêmes ingrédients, produit des plats aux arômes, au bouquet, à la sapidité toujours aussi surprenants qu'étonnants. Des plats dont on reprend toujours une deuxième fois et dont on garde longtemps le goût en bouche après les avoir, hélas, dévorés.
Grâce aux éditions Fleuve, je fais partie des privilégiés qui ont pu lire le roman en avant-première. Avant-première pour le dernier roman.
Une lame de lumière est du concentré de Camilleri. On y retrouve un Montalbano plus Montalbano que jamais.
Toujours seul avec ses démons ; fuyant les autorités et la hiérarchie ; entouré de ses fidèles Fazio, Mimi Augello, et l'inénarrable Catarella ; la communauté de Vigatta ; les familles maffieuses, Cuffaro et Sinagra qui, tantôt se tirent la bourre, tantôt passent des alliances de circonstance pour soigner leur image. le questeur Bonnetti-Aldeghiri ; Enzo l'aubergiste ; Adelina la gouvernante cuisinière et son fils Pasquali.
Le récit plonge dans l'actualité. le commissariat est en effervescence. le Ministre de l'intérieur va arriver en hélicoptère pour visiter un campement d'urgence de migrants installé à Vigatta.
Montalbano se fait porter pâle pour ne pas accompagner la délégation officielle. Il se réveille ce matin-là la tête embrumée d'un rêve obscur dont il va constater par la suite qu'il était peut-être prémonitoire, en tous les cas qu'il contenait beaucoup d'éléments qui fonderont les intuitions de Salvo. Il est ramené, malgré-lui, au commissariat, car le Ministre annule son déplacement et plusieurs affaires viennent perturber le quotidien de Vigatta :
- Une querelle de chasseurs sur les lieux où se déroulait son rêve
- L'agression de la jeune Loredana, 20 ans, ex vendeuse de supermarché qui a épousé son patron M. di Marta âgé de plus de 50 ans.
- le témoignage de l'agriculteur, Gaspare Intelisano, sur des événements curieux qui se produisent sur son terrain de Spiritu Santo.
- L'ouverture d'une galerie d'art à Vigatta, dont Marian la gérante ne laisse pas Salvo indifférent et le rend nerveux lorsque Livia l'appelle.
L'histoire commence en douceur, semble se traîner comme le mal être de Montalbano. Au fur et à mesure des investigations dont il charge Fazio et Mimi, Montalbano voit se dessiner des pistes, des chemins qui se croisent.
Pour s'y retrouver dans ce dédale, Montalbano utilise toujours les mêmes « trucs » :
- Une interview à Retelibera par son ami journaliste Nicolo Zito réveille les familles maffieuses et justifie un coup de fil nocturne de l'avocat de l'une d'entre elles, Maître Guttadauro, qui raconte à Salvo la parabole des chasseurs et de l'âne travesti en lion….
- le recours à la connaissance du Milieu, de Pasquali le fils d'Adelina qu'il a sauvé autrefois de la prison.
- Les talents de séducteur de Mimi Augello chargé de séduire une suspecte…
- le vieille dame en fauteuil roulant qui habite par hasard en face de la maison du principal suspect et qui, passant ses journées à sa fenêtre, rapporte avec précision et force détails les allées et venues.
Cette fois encore, ça marche !
Loredana et son ami Valéria Bonifacio, avec l'aide du demi-frère de cette dernière, Rosario Lauricella, ont piégé di Marta pour le faire accuser du meurtre de l'ancien petit ami de Loredana, Carmelo Savastano.
Marian, la nouvelle conquête de Salvo Montalbano se retrouve au beau milieu d'un trafic de tableaux volés dont Salvo la protège in-extremis.
Des Tunisiens, réfugiés politiques poursuivis par la police de leur pays ont trouvé refuge sur le terrain de Gaspare Intelisano, et l'enquête lancée par Montalbano suite à la plainte de l'agriculteur est confié à la brigade anti-terroriste.
Ce dernier se demande pourquoi on cherche à le tenir à l'écart des investigations et, quand il découvrira la vérité cela se fera à ses dépens.
Peti clin d'oeil, au passage, lors d'une planque, Salvo Montalbano lit un roman de Roberto Bolaño, l'auteur des détectives sauvages, qu'il nous avoue adorer.
Du grand Camilleri qui, une fois de plus, démontre des qualités de moraliste - même si Montalbano défend sa propre conception de la morale qui ne cherche pas à changer la société mais à éviter ses débordements maffieux - et de conteur, nous conduisant avec sa verve coutumière, et après de multiples détours, vers une chute qui nous laisse songeur et nous ramène à une précédente enquête de Montalbano (Le voleur de goûter).
Aux dernières nouvelles, 7 ouvrages de Camilleri ne sont pas traduits en France. Vite, Monsieur Fleuve ! dépêche-toi de le faire. Un Camilleri à lire, même par les novices !
Lien : http://desecrits.blog.lemond..
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Je viens de terminer "Une lame de lumière" d'Andrea Camilleri paru en septembre 2016 et pour moi qui suis un fan du père Andrea, c'est une déception ! je suis vraiment désappointé, cette fois la magie n'a pas opéré, le ficelles étaient trop grosses ou le procédé pas assez renouvelé, je ne sais mais le résultat est là: je suis déçu. Je ne vais pas raconter l'histoire , ce n'est pas le but d'une critique et d'ailleurs le camarade Szramovo s'en est longuement chargé (Ne m'en veuille pas, Denis,c'est un fait et je reconnais que c'est bien raconté), je partage au contraire les réserves de chevalierortega 33, en particulier sur le langage particulier dont la "magie" m'a laissé cette fois-ci parfaitement indifférent et je suis d'accord avec plusieurs babéliautes pour déplorer un manque certain d'action . Bref, une déception et les petits plats d'Adelina ou de son restaurateur préféré, Enzo, n'y changent rien . Tant pis ,accept and enjoy !
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Premier Montalbano que je lis et je dois dire que je ne suis pas conquise.
Déjà, le parti pris du traducteur d'inventer de nouveaux mots pour reproduire un patois italo-sicilien m'a franchement agacée pendant toute la lecture.
Ça fait passer les personnages pour des demeurés alors que le fait de parler une langue régionale ou un patois n'a pas cet effet dans la réalité.
Quant à l'histoire, ouais... Bon, ça se lit mais rien de transcendant. Je pense que les habitués du commissaire apprécient particulièrement de retrouver cette atmosphère. Personnellement, la routine gustative de Montalbano me laisse de glace.
A priori, pas de 2e essai à venir !
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Viol, vol, terrorisme, disputes avec Livia, promenades sur la digue, petits plats mitonnés, mélancolie de voir la jeunesse s'enfuir... la routine pour Salvo Montalbano, le commissaire de Vigata. Presque, la routine. Car, on le subodorait depuis quelques volumes, mais alors là voilà, ça y est, c'est arrivé : Montalbano est amoureux ! Vraiment amoureux de Marian et il ne peut plus envisager la vie sans elle. Il va donc devoir rompre avec Livia, depuis longtemps sa fiancée et cela ne va pas sans remords et nostalgie du temps passé. Et, justement, bien avant qu'il ne lui en parle, Livia semble ressentir cet éloignement grandissant, cette rupture définitive. le coeur déchiré, Salvo se prépare à dire adieu à une partie de sa vie et de sa jeunesse, mais l'enquête qu'il croyait avoir mené à son terme connaît un rebondissement tragique et le commissaire pénètre dans l'un de ses pires cauchemars.
Toujours le même plaisir à découvrir un nouveau pan de la vie de Salvo Montalbano. Car, si les enquêtes qu'il conduit sont passionnantes et brassent des thèmes de la plus brûlante actualité, c'est le personnage lui-même, et surtout l'habileté avec laquelle Camilleri lui a donné vie, qui suscite le plus d'intérêt et les plus vives émotions. le suivre ainsi de livre en livre, en voyant agir sur lui le passage du temps, les doutes et les meurtrissures de l'existence, revient à retrouver un vieil ami dont on prend des nouvelles. Il sert, en quelque sorte, de miroir à ce que nous vivons et ressentons nous-mêmes face à la fuite des années. Ce mélange de mélancolie et de comique, sublimé par la traduction magistrale de Serge Quadruppani, est la marque de cette série dont je ne me lasse pas. Et "Une lame de lumière" fait désormais partie de mes préférées parmi les aventures de Montalbano !
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Ça commençait bien.
– Qu’est-ce qui fut, à hier, vous avez perdu au poker ?
Pasquano était un joueur acharné, mais trop souvent la chance n’était pas de son côté.
– Non, à hier, ça a bien marché, mais ça me les brise menu d’attendre que le dottor Tommaseo daigne se présenter.
– Mais Tommasseo serait ponctuel s’il ne se trompait pas de route et s’il ne s’emplafonnait pas. Il faut le plaindre.
– Et pourquoi ? Moi, je peux avoir de la compassion pour vous qui êtes au bord de la démence sénile, pas pour un type encore jeunot.
– Et pourquoi est-ce que je serais au bord de la démence sénile ?
– Passque vous en avez les symptômes. Vous n’avez pas remarqué comment vous venez d’appeler Tommaseo ?
– Non.
– Tommasseo. Se tromper dans les noms, c’est justement un des premiers symptômes.
Montalbano s’inquiéta. Vous voulez voir que Pasquano a raison ? N’avait-il pas appelé Marian « Livia » ?
– Mais ne vous inquiétez pas. Le processus de dégénérescence est long. Vous avez encore le temps de faire une grosse quantité de conneries.
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Pourquoi avait-il dit tout de suite oui quand elle lui avait proposé de dîner ensemble ? Vingt ans auparavant, il aurait répondu différemment, il aurait arefusé peut-être même brusquement.
Peut-être parce qu’à une femme aussi élégante et belle, il était difficile de dire non ? Et n’avait-il pas dit non tant de fois à des femmes plus belles encore que Marian ?
Alors, cela ne pouvait signifier qu’une chose. Que son caractère avait subi un changement à cause de l’âge. La vraie vérité était que, maintenant, plus souvent qu’à son tour, il ressentait la solitude, la fatigue de la solitude, l’amertume de la solitude.
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Et chaque partie, chaque détail était présenté de manière à accroître le sentiment de réalité. Et la frontière entre le rêve et la réalité finit par adevenir trop mince, presque ‘nvisible. Heureusement que, dans la partie finale, la logique avait disparu, passque sinon ça aurait été un de ces rêves dont, au bout de quelque temps, on ne sait plus s’il s’agit d’un fait réellement advenu ou s’il a été rêvé.
Sauf que dans le rêve qu’il avait fait, il n’y avait absolument rin de vrai, pas même la venue du ministre.
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En théorie, il n'aurait dû se trouver personne au commissariat, à l'exception du standardiste, vu que ce serait 'ne journée spéciale pour Vigàta.
Spéciale du fait que, de retour d'une visite dans l'île de Lampedusa où les centres d'accueil (oh que oui, messieurs-dames, ils avaient le courage de les appeler comme ça !) pour les migrants n'étaient plus en état de contenir ne fût-ce qu'un minot d'un mois en plus - les sardines salées avaient plus d'espace -, Môssieur le ministre de l'intérieur avait manifesté l'intention d'inspecter les camps d'urgence mis en place à Vigatà. Lesquels, de leur côté, étaient déjà plein comme un œuf, avec la circonstance aggravante que ces malheureux étaient contraints de dormir par terre et de faire leurs besoins dehors.
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L'avocat de la défense les pulvériserait. Parce que ce sont des voleurs connus de la justice et dont rejetés comme menteurs par nature. Alors que tant de menteurs et de délinquants, qui eux, ne sont pas connus de la justice peuvent dire toutes les calembredaines qu'ils veulent, et tout le monde y croit, parce que ce sont des avocats, des hommes politiques, des économistes,des banquiers et ainsi de suite. p. 89
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Videos de Andrea Camilleri (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Andrea Camilleri
Certains personnages ont la vie dure, traversant les années comme si auteurs et lecteurs ne pouvaient pas les quitter. Harry bosch, le fameux détective de L.A., est de ceux-là, créé en 1992 par Michael Connelly. Deux ans plus tard, Andrea Camilleri donnait naissance à son fameux commissaire sicilien Montalbano. Que deviennent-ils ? Leurs nouvelles aventures, qui viennent de paraître, valent-elles encore le coup ? Quant à Don Winslow, l'auteur de la fameuse trilogie La griffe du chien, il publie un recueil de six novellas dont deux remettent en scène les héros de ses plus anciens romans. Alors ? On a lu, on vous dit tout.
Incendie nocturne de Michael Connelly, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Robert Pépin, éd. Calmann-Lévy. Le manège des erreurs d'Andrea Camilleri, traduit de l'italien (Sicile) par Serge Quadruppani, éd. Fleuve noir. Le prix de la vengeance de Don Winslow, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Isabelle Maillet, éd. Harper Collins. Vous avez aimé cette vidéo ? Abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/¤££¤36Abonnez-vous20¤££¤4fHZHvJdM38HA?sub_confirmation=1
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Andrea Camilleri est né en Sicile en 1925. Il s'est mis au polar sur le tard, avec un très grand succès. C'était en :

1985
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