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sur 1512 notes
Amsterdam au XVIIe siècle.

Nella Oortman devenu grâce à son mariage deux mois plus tôt Nella Brandt arrive chez son mari dans la capitale où elle est accueillie assez froidement par Marin, la soeur de celui-ci et déchante rapidement quant à ses rêves d'épouse. Johannes Brandt, son mari semble plus occupé par son métier de marchand, par l'image qu'il aime faire transparaître de lui à savoir un homme riche et influent qu'il en oublie quelque peu son épouse. La nuit de noces n'a pas lieu et ne semble pas intéresser son mari... seul geste réalisé auprès de son épouse est une maison de poupée vide comme cadeau qui ressemble étrangement à la maison dans laquelle elle vient d'arriver. Afin de la meubler, Nella fait appel aux compétences d'un miniaturiste par courrier, qui semble connaître voire anticiper les faits à venir et connaître des secrets qui pourrait mettre en péril sa nouvelle famille.


Un roman historique qui malheureusement ne m'a pas emballé plus que cela.😐 Les aspects historiques sont à peine esquissés alors qu'Amsterdam était à l'époque une des grandes capitales du commerce et des plus jalousées. On oublie donc les voyages, la suprématie sur les mers des navires marchands, le monopole quasi total de ce pays sur les marchandises dans l'Europe. La Compagnie néerlandais des Indes orientales (VOC) ne sert ici que de cadre à l'histoire comme une gare dans un film alors que cette société a joué un grand rôle dans le commerce.

Heureusement, certains autres aspects sont développés comme l'influence de la richesse dans la société, la religion dans la société qui est poussée à l'extrême dévotion et le développement de l'art via les objets d'art et de manufacture dont Johannes Brandt semble friand.

Côté personnages, c'est décevant. Au départ l'histoire de Nella et des autres personnages semble prometteuse mais rapidement nos personnages s'encroûtent dans leurs rôles et les promesses du départ sont balayées avec des interactions et des révélations attendues. L'attente notamment du mystère concernant le cabinet est le pire de tous : le lecteur s'attend à quelque chose d'incroyable lorsque tout nous est dévoilé. Vu la manière dont cela nous est "vendu" dans le livre mais au final cela se révèle... basique. De nombreuses lenteurs au milieu du livre gâchent la lecture.


Un roman sympathique mais qui ne m'a pas extasié plus que cela en tant que lectrice. 😓
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Nella Oortman est âgée de dix-huit ans lorsqu'elle quitte sa mère et sa fratrie pour rejoindre Johannes qui est venu l'épouser un mois plus tôt. La voici donc à Amsterdam, en cette mi-octobre 1686, elle lève et abat le heurtoir en forme de dauphin, attend qu'on vienne lui ouvrir, personne ne se montrant elle entre dans le hall, elle se sent épiée ... Nella, diminutif de Petronella, fait d'abord la connaissance de Marin, sa belle-soeur, de Cornelia, la servante et d'Otto, serviteur de couleur quant à son mari, Johannes, il est en voyage, quelle déception ! Le récit haletant de la vie de cette maisonnée que nous conte Jessie Burton couvre la période de la mi-octobre 1686 à janvier 1687.
Pour écrire ce roman, Jessie Burton s'est inspirée d'une maison de poupée d'époque exposée au Rijksmuseum d'Amsterdam et je peux affirmer que c'est une réussite, pas un instant d'ennui, pas un mot de trop, il fait partie de mes coups de coeur. À lire absolument !

Challenge Pavés 2015-2016
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Roman à l'atmosphère étrange, qui commence par l'arrivée d'une jeune mariée, Petronella, dans sa nouvelle maison, alors qu'elle ne connaît qu'à peine son époux, rencontré brièvement deux mois plus tôt, le jour du mariage.
L'histoire de passe à Amsterdam à la fin du 17 ème siècle, les marchands sont prospères et les habitants y sont extrêmement puritains.
Dès le tout début l'ambiance est oppressante, l'accueil qu'elle reçoit est très frais, c'est le moins qu'on puisse dire, et les jours suivants ne sont guère plus chaleureux.
Son mari lui offre alors une maison miniature en cadeau de mariage et celle-ci va devenir en quelque sorte le centre de sa vie et va même susciter des jalousies et déclencher des drames.

Pétronella, jeune fille sans expérience de la vie et de la condition conjugale va se sentir perdue dans cette maison où chacun semble avoir des secrets ou des vies propres très compartimentées, et où elle semble n'avoir pas sa place.
Cette ville et cette époque sont alors très empreintes de religion et de morale et laissent peu de place aux aspirations de chacun, il faut absolument se couler dans un moule sous peine de représailles terribles.
Les membres de cette nouvelle famille sont pourtant loin d'être formatés (un serviteur noir, une soeur non mariée...) et cela ne peut donc que mal se passer pour eux, car la société d'alors ne tolérait aucune différence ou particularité de quelque nature que ce soit.

Un pavé avec un charme très particulier qui se dévore, car chaque page apporte un élément de compréhension ou révèle un secret.
La période historique abordée est originale et passionnante et tout ce qui concerne la maison miniature est empreint d'une sorte de mystère et de magie.
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La réalité en miniature, à la frontière du réel.
Amsterdam 1686. Nella, 18 ans, fraîchement mariée, quitte sa terre natale pour rejoindre son époux, un marchand apparemment respecté d'Amsterdam.
A peine arrivée dans sa nouvelle demeure un malaise l'envahit. La maison, bien que cossue, est sinistre.
Sous des apparences lisses et convenues sa nouvelle famille ne l'inspire pas.
Elle est accueillie comme une intruse faisant l'objet de méfiance et de mépris. Son époux est absent, indifférent, fuyant, ses activités professionnelles sont opaques.
Les serviteurs sont énigmatiques et secrets, sa belle-soeur distante et froide.
Beaucoup de choses dissonent dans ces relations ambiguës.
La communication au sein de la maisonnée est souvent non verbale se limitant souvent à des regards complices ou hostiles appelant à la vigilance.
Tout s'accélère lorsque son mari lui offre une maison de poupée, parfaite réplique de sa nouvelle demeure.
Nella écrit à une miniaturiste de la ville pour lui commander des objets afin de meubler son cabinet miniature. Chose troublante cette artiste ajoute d'autres objets et poupées, parfois marqués, qui anticipent les événements de sa vie réelle. Elle reçoit ces objets accompagnés de messages énigmatiques qui résonnent comme des avertissements.

Le rythme est lent, l'ambiance mystérieuse et les éléments de l'intrigue révélés à petites doses.
Chaque fois qu'elle se prépare à aller chez la miniaturiste la maison la retient, des événements surviennent.
Cette femme au regard pénétrant à peine entraperçues à laquelle Nella se sent connectée l'envoûte et l'obsède.
Mais qui est donc cette miniaturiste qui semble tout connaître de sa vie ? Qu'a-t-elle à lui révéler de son existence ? Prophétesse ou espionne ? Imposteur ou précurseur ?
Puis la distance entre chaque protagoniste se transforme progressivement , au fil des drames, en solidarité profonde, dévoilant des destins de femmes fortes et dévouées.
Entre réel et imaginaire, ce livre flirte avec le fantastique.
La vie en miniature devient réplique de la vie réelle et tremplin à une ouverture de conscience fenêtre ouverte sur sa vie, ses drames et ses espoirs.
Captivant.
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Un époux distant, une belle soeur rigide et inamicale, une servante effrontée, un domestique exotique: la jeune Nella est devenue épouse de riche marchand mais sa nouvelle vie n'est guère heureuse. Trop seule, trop apeurée par la nouveauté, trop mise à l'écart de la vie de la maisonnée. Ce mariage apparait bien bancal.

Une centaine de pages énigmatiques met le lecteur sur le gril: questions posées sans réponse, dialogues en allusions mystérieuses, atmosphère lourde de secrets ou silence, relations entre personnes faites de cachotteries ou dissimulations. On nage dans l'incompréhension mais sensible au décor, comme une peinture de maitre flamand que l'auteur dessine dans l'Amsterdam du 17e siècle.

J'ai d'abord eu un peu de mal à appréhender la psychologie de certains personnages. Cette difficulté dérange mais participe à la fascination pour cette histoire, aux frontières du réel et de l'imaginaire. On est immergé dans le puritanisme hollandais, la bigoterie des bien-pensants d'une ville industrieuse, superstitieuse et vertueuse, où chacun s'observe pour s'enrichir ou gagner de l'influence.
"Les florins ont toujours le dessus sur la piété".

Le statut social des femmes est mis en avant et contribue peu à peu à éclaircir les enjeux d'une histoire de passions réprimées et de secrets d'une autre époque. C'est romanesque, historique, sensuel, complexe.
Une lecture originale et captivante.

Dernier point passionnant: la maison miniature, que j'ai eu la chance de détailler au Rijks muséum d'Amsterdam, sans me douter qu'un jour, je la croiserais dans les pages d'un roman. Elle était très célèbre à l'époque, on venait la visiter comme une représentation théâtrale. Elle donne une image exceptionnelle de l'intérieur et du mobilier d'une famille riche de la fin du 17e.
Objet luxueux, raffiné, hors de prix, qui illustre bien le paradoxe d'une société calviniste intransigeante et étalant néanmoins fièrement richesse et opulence.
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C'est la couverture de ce livre qui a retenu en premier lieu mon attention. Puis, est venu ensuite le sujet, certes, mais pas seulement. J'ai été séduite par la genèse de ce premier roman : cette évidence d'écriture qui s'est imposée à son auteure, Jessie Burton, à la vue de la Maison miniature de Petronella Oortman au Rijksmuseum, à Amsterdam. Partir de ce véritable coup de foudre et inventer la vie de cette Nella, femme du XVII ième siècle, dont personne ne sait plus rien. Lui inventée cette vie de jeune mariée pleine d'espoir, arrivée dans cette maison bourgeoise de marchands à Amsterdam, et qui ne comprend pas pourquoi son mari la fuit, et ce qu'il peut bien attendre d'elle.
Tout juste débarquée de sa campagne natale, l'accueil est froid. Nella sait d'emblée qu'il va être difficile de se faire une place au sein de cette maisonnée, tenue d'une main de fer par Marin, sa belle-soeur, dévote fervente et véritable maîtresse des lieux !
Elle se voit offrir par son mari pour cadeau de mariage une maison de poupée, réplique exacte des lieux qui sont dorénavant sa demeure - maison vide, qu'elle s'apprête à meubler grâce au savoir faire d'une miniaturiste, sorte de prophétesse énigmatique qui s'impose et s'immisce de plus en plus dans son existence -. Entre menaces et mises en garde, Nella ne sait comment interpréter cette intrusion dans sa nouvelle vie. Qui est cette femme ? Que sait-elle de son mari et des habitants des lieux ?
Si vous voulez le savoir, il faudra entamer la lecture de Miniaturiste.

J'espère qu'il vous plaira autant qu'il m'a plu. Je ne pourrai lui reprocher qu'une chose : la fin est emballée assez vite et l'on aurait aimé que les choses prennent de l'étoffe et qu'elles se prolongent un peu plus sans se précipiter dans les dernières pages. La miniaturiste aurait méritée à elle-seule un portrait peaufiné tout en restant aussi mystérieuse. Cela manque !
J'ai beaucoup apprécié également les remerciements de l'auteure, entre humour et véritable élan de reconnaissance :
« Je suis tellement chanceuse d'avoir ces amis-là que je crains, pour ma prochaine vie, d'être réincarnée en moucheron. »
« Linda et Edward, connus aussi sous le nom de Mum et Dad, pour m'avoir fait la lecture quand j'étais petite, pour m'avoir conduite à la bibliothèque et pour m'avoir acheté des livres. Aussi pour avoir dit : « Pourquoi n'écrirais-tu pas une histoire ? » quand je m'ennuyais à six ans, puis à douze, puis à vingt-sept. Et pour avoir toujours, toujours été là. »
Je ne sais pas vous, mais moi j'aime !
Jessie Burton, est-ce que je dois vous souhaitez des tonnes d'ennuis dans votre nouvelle vie d'écrivant, pour espérer un autre roman de cette veine-là ?!

En tout cas, une chose est sûre, à la lecture des toutes premières pages, vous saurez déjà comme moi, qu'aussitôt les dernières lues, vous vous précipiterez pour les relire. Et enfin, vous pourrez le refermer, le ranger, le prêter ou le donner pour qu'il s'envole vers une autre vie...
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C'est insidieusement que le charme agit. D'abord, on découvre avec intérêt la vie sociale de la cité commerciale d'Amsterdam à la fin du 17è siècle au temps où les bateaux parcouraient les mers à la recherche des précieuses épices. Puis Nella, l'héroïne du roman, vous rallie rapidement à sa cause, celle d'une jeune fille de 18 ans, qui pour échapper à une vie misérable à la campagne, épouse un riche marchand de la ville. Les personnages secondaires entrent alors en scène, la jeune orpheline et l'africain, au service du maître de maison, et la belle soeur, dont on pressent qu'elle « ne nous dit pas tout ».
C'est alors que l'irrationnel surgit, par le biais de livraisons étranges, des miniatures destinées à meubler une maison de poupée, cadeau de noces du marié à sa jeune épouse. Prédictives ou révélatrices, les miniatures parlent, dévoilent, trahissent, et entraînent Nella sur des terrains dangereux. La mystérieuse femme qui semble contrôler le moindre détail de leur vie, est-elle la « clé de leur salut ou l'architecte de leur destruction »?

La puissance dramatique s'intensifie au fil des pages au point de ne plus pouvoir fermer le livre. Les drames se succèdent, les langues se délient et les vengeances s'assouvissent.

La dernière page tournée, c'est le sentiment de manque qui se manifeste, et les questions aussi : que va devenir cette jeune femme après toutes ces épreuves traversées? Y aurait-il une suite prévue?
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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« On ne peut rien faire, nous, les femmes. Rien ! Si on a de la chance, on peut simplement réparer les erreurs des autres ».
Voilà la condition des femmes au 17e siècle à Amsterdam.
Petronella ressent exactement cette sensation de solitude intense lorsqu'elle pénètre pour la première fois dans la maison de son mari si lointain, riche commerçant qui doit écouler la cargaison de sucre appartenant à la femme d'un ancien ami.

Et sa solitude s'accentue au fil des jours, même lorsqu'elle reçoit en cadeau de mariage un « cabinet », maison miniature de la maison dans laquelle elle vivra désormais.
Sa belle-soeur Marin, au caractère opiniâtre et secret, la servante Cornelia et le domestique Otto forment autour d'elle un trio mystérieux dont les secrets lui seront dévoilés peu à peu.
Et pourtant, « personne n'est jamais vraiment seul, dans cette maison, il y a toujours quelqu'un qui regarde, qui écoute ».

Petronella reçoit périodiquement des objets pour meubler son cabinet, et aussi pour l'habiter, car il s'agit de tableaux, de jeux mais aussi de personnages miniatures, ceux-là mêmes qui habitent cette maison.
« Ces objets sont-ils des échos, des présages ou de simples suppositions ? »
La miniaturiste qui les produit est entourée d'un halo mystérieux…Auteure de ces miniatures, n'aurait-elle pas un rôle plus prononcé dans la vie de tous ces gens ? Car une curieuse coïncidence s'établit à chaque nouvelle réception d'objets…

J'ai adoré me plonger dans l'atmosphère nébuleuse de ce roman, dans ces rues où l'on se sent épié, dans l'effervescence des tractations marchandes, dans le puritanisme religieux qui occulte bien des comportements inavouables, et surtout dans le coeur tourmenté de la jeune Pétronella, en butte à des évènements qui la marqueront à tout jamais !
J'ai savouré l'écriture « bien sentie », qui fait mouche à chaque fois, et souvent poétique.

Je termine par une phrase qui résume entièrement l'héroïne et les personnages féminins de l'histoire :
« Les choses peuvent changer. Toute femme est l'architecte de son propre destin. Je lutte pour émerger. »

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L'auteure admire un maison miniature au Rijksmuséeum d'Amsterdam. Elle a appartenu à Petronella Oortman qui a vécu au dix-septième siècle dans cette ville.
A partir de là, Jessie Burton invente un roman qui se déroule à cette époque.
Nella, dix-huit ans ,sans argent devient l'épouse d'un riche marchand de 39 ans : Johannes Brandt.
Elle arrive dans sa maison habitée par Marin, la soeur plus que glaciale du marchand ; Cornélia, la jeune servante et Otto, serviteur, venu du Surinam avec Johannes. Celui-ci est souvent absent et Nella va découvrir les raisons de ses trop nombreuses absences.
Il offre une maison miniature à sa jeune épouse Nella . Les objets livrés pour meubler la miniature vont révéler le vie exacte de la maisonnée. Etrange !
Très beau roman, dans un ambiance de brume, de froid, d'étrangeté. En temps que lecteur, on a l'impression de faire partie du décor.
La traduction de Dominique Letellier est très réussie et le travail de documentation semble très sérieux.
Pour un premier roman, c'est un fameux coup de maître ( titre de l'article du magazine "Lire"). Je suis d'accord.

Challenge Pavés 2015 2016
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Attirée par la couverture et le résumé atypique, je ne suis nullement déçue de m'être lancée dans ce roman !

Nella, femme du XVIIe siècle a été élevée pour devenir une épouse comme toutes les femmes de son époque. le moment venu, elle aura la "chance" de se marier avec un grand commerçant d'Amsterdam. Quittant sa campagne, elle se retrouve avec un entourage auquel elle ne s'attendait pas : une belle-soeur caractérielle et froide, une servante sans aucune limite, un majordome de couleur noire et un mari qui l'ignore. Un jour, celui-ci va malgré tous lui offrir un cabinet représentant la maison en miniature, et c'est à ce moment-là que des secrets vont être découverts.

Le roman a un rythme vraiment haletant, difficile de le lâcher une fois que les intrigues et les secrets de famille commencent à se dévoiler.

L'auteure a fourni un travail de documentation vraiment impressionnant. Pour le coup, je ne pensais pas qu'Amsterdam était aussi encadré par la religion au XVIIe.

Les différents habitants de la maison, au premier abord, sont quand même très étranges mais une fois que l'on commence à les connaître un peu mieux, difficile de ne pas s'attacher à eux.

Miniaturiste restera donc pour moi une lecture de qualité et qui m'aura fait réfléchir sur divers sujets !
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