" Bien mal acquis ne profite jamais", disait la sagesse populaire. Et si c'était vrai aussi pour les maris ? Quelque chose du genre " Mari mal acquis ne reste jamais "?
PAGO PAGO
BAR DANSANT
SPECIALITES BRESILIENNES
Chemin des Girelles 13 260 CASSIS
(…) En Juillet et en août : tous les samedis soir,
DEMONSTRATION DE CAPOEIRA
Vos AMIGOS sont nos AMIGOS !
Amenez-les !
Ce sourire, c’était son bouclier, son arme fatale. Même quand tout prenait l’eau, il ne vacillait pas, ne tremblait pas. À l’épreuve des balles… et des coups bas.
Elle le décocha comme une flèche en l’appuyant d’un regard méprisant pour que le message soit bien clair, puis elle poussa la porte avec délicatesse et sortit rejoindre les autres.
La réussite est l’apanage des gens qui savent ce qu’ils veulent, déclara-t-elle. Mon père me l’a toujours dit : si tu désires quelque chose, bats-toi pour l’obtenir. On n’a jamais rien sans rien…
L’obstination d’Eva était son arme fatale. Celle qui lui permettait de survivre dans le monde impitoyable de l’enseignement.
complètement).
À trente et un ans, elle savait mieux que personne que ses rêves de gloire n’étaient plus que des mirages qu’elle avait poursuivis sans jamais réussir à les saisir. Même avec toute sa science du maquillage, il devenait difficile de cacher les premières rides. Heureusement, Photoshop était son meilleur ami. Mais pour combien de temps encore ? Bien sûr, il y avait aussi le Botox et toute la panoplie des interventions chirurgicales, mais elle avait une phobie terrible des seringues. Alors, devant les autres, elle prônait crânement le « tout naturel » et l’« acceptation de soi ». Philosophies beaucoup plus faciles à défendre quand un beau gosse s’affichait à votre bras. Sauf que, lorsque le beau gosse en question vous lâchait comme une vieille chaussette, le cap se révélait plus compliqué à tenir.
Arrondir les angles, mettre de l’huile dans les rouages, c’était son domaine. Elle n’aimait rien tant que voir les gens heureux ensemble. Elle avait prévu de réconcilier Thomas et sa famille, et elle ferait tout ce qu’il fallait pour cela. Il lui apportait tellement ! Ce serait sa façon à elle de le remercier. Son cadeau de mariage.
C’est une pure merveille : une robe collant Wolford ! Entièrement sans couture, styling absolument individuel – juste ce qu’il me fallait – douceur sensuelle en matière velvet exclusive. En gros, c’est un tube, coupe moulante de chez moulante, que tu rallonges ou raccourcis comme tu veux, lavage en machine, 93 % polyamide, 7 % élasthanne. Du pur bonheur ! Le tissu est si léger que j’ai l’impression d’être toute nue ! Et je peux me pencher dans tous les sens, ça suit le mouvement. Plus besoin de s’inquiéter ! C’est l’anti-robe de Marylin Monroe dans Sept ans de réflexion ! Ça, c’est la libération de la femme ! Par contre, côté formes, c’est le grand déballage.
Le mariage, c’est comme les leggings : ça va très bien à certaines et beaucoup moins à d’autres.
Le but du mariage, c’est justement de fonder un nouveau foyer ! Super nouvelle : tu vas avoir un homme qui aura promis de t’aimer même quand tu seras malade, désagréable, déprimée, ridée, insupportablement romantique, j’en passe et des meilleures !