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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Le World building :
Nous sommes en présence d'un background fonctionnel à la Drenaï, ou les feux de la guerre ont ravagé tout un continent… Mais fonctionnel ne veut pas forcément dire creux, et quelque éléments intéressants sont à noter : la haine ancestrales entre Sudiens aux cheveux bruns et à la peau hâlée et Skaviens aux cheveux blonds et à la peau pâle, le roi d'Ostérie qui a tellement peur de son condottiere sorcier qu'il l'a lâché sur son voisin, le chaos suivant le mort du roi de Skavie et de ses preux chevaliers, les dernières poches de résistances d'un pays à l'agonie… Et puis il faut aussi compter avec les héritages elfiques du temps jadis, ce qui nous amène au point suivant.

Le Magicbuilding :
Dieu envoya ses archanges elfiques pour lutter contre les démons et sauver l'humanité... Mais que restent-ils des elfes du temps des légendes ? Les héros des guerres antiques, depuis longtemps disparus, sont devenus les saints vénérés de la religion unifiée : il subsiste moult sanctuaires protégés par des enchantements (remember Gondolin dans le "Silmarilion" et Fondcombe dans "Le Seigneur des Anneaux"), des artefacts magiques servant de reliques, et les archanges elfiques qui ont frayé avec les simples mortels ont donné naissance aux nephilims et aux sélénims… C'est ainsi que les Alfings sont des quarterons possédant des dons mineurs, et les guerriers-mages au super-charisme peuvent avec les mots de pouvoirs idoine s'approprier les forces et les savoirs des compagnons de leur cercle… Ce dernier concept est assez génial, entre les super-héros de "Runelords" et les super-psioniques de la série télé "Sense8" ! Que du gros kif en perspective !!!

Les personnages :
Le récit est raconté à la première personne par Jal qui se montre égoïste, vaniteux et immature… Mais son instabilité n'est pas vraiment de sa faute : une amnésie lui a volé 12 ans de sa vie, il souffre de paranoïa aiguë, il est atteint d'épisodes psychotiques, voire de crise berserk, il est victime de cauchemars traumatiques, voire de terreurs nocturnes… et puis il est hanté par la voix de Maître Hokoun et ses maximes nietzschéennes à la Thulsa Doom, quand il ne raconte pas sa vie à son amie écureuil-garoue… du coup, quand je lis certaines critiques déplorer un personnage sans originalité (sic), j'ai juste envie de me taper la tête contre les murs… Ce n'est pas possible ! Il faut arrêter avec ce fétichisme de l'originalité : non seulement originalité n'est pas synonyme de qualité, mais en plus il serait plus productif de distinguer les oeuvres vraiment originales, qui finalement sont assez rares, que de pérorer sur le supposé manque d'originalité de toutes les autres oeuvres, qui finalement sont très nombreuses…
Pas facile de développer dramatis personnae et relationship drama avec une narration à la première personne, mais les easy readers retrouveront avec plaisir les archétypes qui ont fait leur preuve dans les récits d'heroic fantasy : les filles légères aux coeurs lourds, les vieux briscards sentimentaux, les strong independant women revanchardes, les petites gens destinés à devenir de grands héros, les petits tyranneaux et les gros crevards…
Certains hardcore readers vont hurler aux affreux clichés insultant la grande littérature, mais au lieu de pousser des cris d'orfraies ils n'ont qu'à aller trouver leur came dans les derniers chefs-d'oeuvre absolus à la mode où ils retrouveront avec bonheur un cadre supérieur en pleine crise de milieu de vie…

L'Histoire :
D'un côté, pourquoi le général Hast tient-il absolument à attaquer une vallée perdue ?
On reprend l'universelle histoire du peu contre beaucoup, des faibles contre les forts, des opprimés contre les oppresseurs, un récit complètement universel car à son niveau tout le monde l'a vécu au moins une fois dans sa vie (à moins d'être un gros connard qui se croit au-dessus du commun des mortels, mais j'emmerde royalement tous les homines crevarices)… Et ici on reprend les excellentes vibes du Fort Alamo Fantasy qui comme le "Légende" de David Gemmell le maître anglais de l'heroic fantasy se divise en phases de recrutement, d'entraînement et de dénouement !
D'un autre côté, pourquoi le déserteur Jal tient-il absolument à défendre une vallée perdue ?
Paul Beorn s'amuse à transformer la quête du Héros aux mille et un visages en puzzle tortueux et douloureux à reconstituer pour Jal : si j'ai pensé au héros schizophrène de "Dark Moon" de David Gemmell, on n'est peut-être encore plus près du héros schizophrène du roman pionnier d'Abraham Merritt intitulé "Les Habitants du mirage", qui pouvait autant être le sauveur que le fossoyeur d'une vallée perdue… Jal doit effectuer l'ordalie du passage à l'âge adulte en temps très limité, et il part avec un gros handicap avec cette amnésie qui lui a volé son adolescence voire son enfance… C'est donc à travers son carnet de rêves que nous découvrons en même temps que lui Kal Ktoom, l'apprenti assassin aux allures de Crying Freeman chéri de Maître Hokoun, et l'enfant qui l'a été, toujours persuadé d'avoir été abandonné par ses parents et trahi par son frère aîné…
Au bout du voyage, les deux récits se croisent, et bout de sa quête Jal apprend les terribles vérités qui vont le changer à jamais avant de changer le monde à jamais… Au fil des péripéties c'est bon gré mal gré que Jal apprend à connaître les habitants isolationnistes pour ne pas dire xénophobes de la vallée, et ces derniers apprennent dans le même temps à connaître derrière son égotisme affiché le bon fond de leur défenseur improvisé… La réconciliation avec soi-même est le préalable indispensable à l'ouverture aux autres : lui qui s'est tant demandé si son vrai soi moi était Jal, Dal Ktoom ou un enfant au cœur brisé, trouve la paix intérieure et les maximes suprématistes de Maître Hokoun cèdent la place aux maximes humanistes des mahatma Gandhi et Martin Luther King (« l'union fait la force », « un pour tous et tous pour un », « nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots »... Pour un populares comme moi, cela a été une grosse éclate ! ^^)

Les défauts, car je ne suis pas un kikoo fanboy aveugle :



Avec le prix Imaginales des lycéens 2016, le livre récemment réédité chez France Loisir semble avoir trouvé un public très satisfait. Pour moi c'est 3,5 étoiles arrondies à 4 étoiles. C'est donc maintenant que je suis obligé de sortir le lance-flammes et ça m'énerve : les différents parcours de lecteurs certes, les goûts et les couleurs certes, les attentes et les exigences certes, mais qu'est-ce que c'est que cette critique à charge du site censément de référence ???



Challenge Pavés 2016-2017
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Livre lu en vacances à Florence et en Toscane.
Et les livres lus en vacances, j'ai toujours beaucoup de mal à les "chroniquer" à froid.

J'ai beaucoup aimé même si j'ai souvenir de défaut dans la narration. J'ai trouvé le fond de l'histoire bien amené, Jal est un personnage très original et profond, après c'était pas aussi "dark" que j'ai cru que ça serait au début du livre, si je me souviens bien.

Je vais aller relire l'avis d'Alfaric, mes remarques me reviendront sans doute à sa lecture, mdr ! Faites-en autant si vous voulez plus de précisions ! Merci de votre indulgence, je rentre tout pile et j'ai plus de 1200 kms de voiture à mon actif, là ! :)
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Salut les Babelionautes
Voila une relecture d'un roman que j'avais bien aimé, je l'avais emprunté a ma médiathèque mais depuis je me le suis offert.
Bon, ce qui m'avait attiré c'est d'abord l'illustration de couverture signé Marc Simonetti car je n'avais encore jamais lu de roman de Paul Beorn.
Pourtant je l'avais rencontré aux imaginales mais j'avais d'autres priorités d'achats, ce qui explique pourquoi j'ai dus pour ma première lecture emprunter ce roman qui me faisait de l'oeil depuis un moment.
Jal est un Guerrier enrôlé de force dans l'armée ostéroise qui, lassé de piller et brûler, déserte avec deux compagnons pour essayer de survivre au combats.
le Récit s'articule entre ce que Jal croit être la vérité sur son passé et les cauchemars liés aux années qui ont disparues de sa mémoire.
Mais dans leur fuite ils sont rattrapés par des éclaireurs de cavalerie et c'est la que le mystère commence.
Car Jal reprend connaissance alors qu'il est grièvement blessé, mais autour de lui gisent les cadavres de ses deux compagnons et des quinze éclaireurs.
C'est vraiment une bonne histoire de bastons a la Gemmell ou d'autres auteurs comme Abercrombie.
j'ai apprécié le fait d'apprendre petit a petit le secret de sa maîtrise des armes quelle qu'elle soit.
Mais la ou l'auteur innove dans ce type de récit, c'est dans le traitement des personnages liés par magie a notre héros.
Bref!! la prochaine fois que je croise Paul Beorn dans un Salon je me ferais une joie de me les faire dédicacer.
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Découvert complètement par hasard dans le rayon fantasy de mon libraire habituel, ce livre est une belle découverte! Je l'ai commencé au mois de janvier et j'ai été obligée d'en stopper la lecture quelques temps parce que j'avais trop de livres en cours. Et pourtant, quand je m'y suis remise il y a quelques jours, je me souvenais parfaitement de ce que j'avais déjà lu et je n'ai eu absolument aucun mal à me replonger dans l'univers crée par l'auteur. A aucun moment la lecture n'est longue ou ennuyeuse et à aucun moment le rythme s'essouffle! C'est pour cela que j'ai eu beaucoup de mal à m'arrêter pour reprendre le cours de ma vie!! L'avantage de ce livre est que c'est un roman indépendant donc c'est intéressant pour ceux qui apprécient la fantasy mais qui ne veulent pas se plonger dans une série en plusieurs tomes!
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J'ai attaqué cette lecture pleine d'entrain et le texte a répondu à mon enthousiasme. de l'action, du combat, des blessés!!! dès le départ. Voilà une belle entrée en matière (ne soyez pas inquiet, je ne suis pas une sadique pour le coups des blessés, mais ça a son importance dans le récit). On découvre peu à peu les différents protagonistes de l'histoire : Jal et son écureuil Gloutonne, Dame Rikken, Nola... Jal ne se rappelle plus de son passé, mais est animé de réflexes de militaire, a le souvenir de la voix d'un "Maître Hokun". Même si le coups du héros qui a perdu la mémoire n'est pas nouveau, il a parfaitement attisé ma curiosité. Forcément cette amnésie révèle une histoire sombre et des compétences spectaculaires. Cela tombe bien, puisqu'il se retrouve responsable dans la défense d'une vallée, contre une armée immense. Ce qui en très résumé, représente le thème principal du récit, avec bien sûr la découverte des secrets de Jal, ainsi que des liens qu'il crée avec de nouveaux compagnons.
(...)
Lien : http://www.leslecturesdemari..
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J'ai retrouvé avec plaisir la plume de Paul Beorn qui est précise et parfois un peu crue – je l'avais déjà remarqué dans le jour où… – mais toujours très facile et agréable à lire. le récit étant ici à la première personne, le personnage principal n'y va pas par quatre chemins pour exprimer ses pensées. le lecteur suit donc Jal, un jeune soldat de 20 ans qui décide de déserter avec ses compagnons mais qui se retrouve à jouer les sauveurs. On sent tout de suite que sous ses airs de durs à cuire, Jal a un bon fond. Il est aussi torturé par un passé dont il ne se souvient plus.

L'histoire a donc deux trames: le sauvetage de la vallée et son village d'un côté, le mystère des souvenirs effacés de Jal de l'autre. Si le sauvetage de la vallée semble prendre le plus d'ampleur, on n'oublie pas ce passé qui est constamment présent sous la forme de la voix de maître Hokoun dans la tête de Jal. J'avoue avoir été – agréablement – surprise par le mystère qui se cache derrière les souvenirs de Jal, j'avais élaboré pas mal de théories mais pas celle qui est finalement la vérité.

Si toute l'histoire tourne autour de Jal, les villageois ne sont pas en reste. Les personnages sont attachants avec une histoire personnelle bien esquissée. On oublie souvent dans le livre que Jal n'a que 20 ans et je l'ai trouvé bien plus mature. J'ai vraiment beaucoup aimé le suivre, le personnage est crédible en tant que leader. Très vite, on se doute que Jal n'est pas un jeune homme ordinaire et on ne s'ennuie pas une seconde avec lui.

Il n'y a quasiment aucun temps mort dans le récit et dès le départ, il n'y a pas d'introduction et on est plongé dans le vif du sujet. C'est un livre dans lequel il y a de l'action et on y parle beaucoup de batailles et d'armées. Mais la mythologie de ce monde est aussi riche et j'ai aimé l'histoire des saints elfes.

C'est un livre que je recommande à tous les amateurs de fantasy, la fantasy française a de beaux jours devant elle car ici, le récit est original et j'ai l'impression que c'est un one shot donc foncez car je pense que vous ne serez pas déçu!
Lien : https://latetedansleslivres...
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Bon certes il n'est toujours très réaliste. Et assez classique.

Mais classique ne signifie pas qu'il n'est pas efficace, et que les pages ne tournent pas très très rapidement.

En un mot même si ce n'est pas un coup de coeur, je l'ai dévoré de la première à la dernière page.

Quelques regrets sans doute. Parmi eux un final un chouilla trop rapide, bien que spectaculaire, et quelques relations que j'aurais aimé plus approfondie. Et la "densité temporelle" de l'action, qui ôte un peu de crédibilité à certains passages.

Mais dans l'ensemble, un très bon moment.
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Lorsque j'ai lu le quatrième de couverture, ça ne m'a pas donne envie. Je me suis dit que ça ressemblait à l'intrigue des 7 mercenaires: le guerrier renégat qui se retrouve à défendre un village.
Paul Beorn est un auteur français et je voulais lui donner sa chance. Je suis donc venu voir ce qui se disait sur ce livre sur babelio. Les critiques m'ont convaincu. J'ai acheté le livre et je ne regrette pas l'achat.
L'intrigue est haletante et on ne veut pas lâcher le livre jusqu'à la fin. C'est bien construit et toutes les questions qui nous interpellent tout au long de la lecture trouvent une réponse à la fin et une réponse cohérente qui plus est.
Quelques légères scènes de sexe qui réservent ce livre à un public adulte ou jeunes adultes. Ainsi quelques passages de violence.
J'ai bien aimé aussi le fait que l'auteur se soit permis de plonger son héros dans des situations "honteuses" pour lui.
En résumé, n'hésitez pas.
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J'ai été plutôt mitigé avant de le lire, d'un côté j'avais hâte de retrouver un univers fantasy et les critiques étaient bonnes, de l'autre j'appréhendais car le coup de  l'amnésie et du héros "je me fous des autres" c'est pas nouveau.
Finalement, j'ai été surprise tout le long de l'histoire et j'ai adoré !

Jal, le personnage principal, nous narre le récit avec un langage plutôt..cru, familier.. enfin, plutôt spontané.. bref à sa manière :P L'utilisation de la 1ère personne (que pourtant je n'aime pas vraiment) ne m'a absolument pas gênée. Pas de mise en bouche on est directement lancé dans l'histoire, sans trop d'explication sur ce qu'il se passe ou sur l'univers. Durant le récit on devine l'événement qui va arriver mais l'auteur prends son temps et nous garde en haleine tout le long (bien qu'il nous laisse parfois souffler grâce aux flashbacks de Jal) ! 

Un de mes gros coups de coeur du livre ce sont les personnages secondaires, bien sûr j'aime beaucoup Jal, le héros, mais les personnages secondaires sont très attachants et dotés de "vrais" caractères, ce ne sont pas des clichés comme on peut croiser parfois mais des hommes et femmes avec leurs qualités/défauts, leurs opinions et qui vont évoluer au cours des événement à venir. J'ai adoré Gloutonne, Rikken... je ne peux pas vous en dire trop en fait, je ne voudrai pas spoiler :D je les ai tous aimés ! Et les villageois, je les ai adorés aussi ! Crédibles, réalistes et têtus, ils sont méfiants envers Jal, cet étranger qui parle de guerre et de bataille et auront eux aussi leur propre évolution.

Bref, arrêtez d'hésiter et lisez le :D
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Premier roman que je lis de Paul Beorn et j'en ressors très satisfaite. Ce roman m'intéressait pas mal depuis un petit moment, alors pour sa sortie en poche, je n'ai pas hésité à découvrir cet univers.

Jal se réveille avec une douleur atroce dans l'abdomen, il sait qu'il va mourir. Mais, il voit des enfants - des Skaviens qui sont ses ennemis - ainsi que Dame Rikken, à qui il va promettre de protéger le village en échange de soins. Il faut dire qu'il n'aurait pas du survivre à ses blessures. Mais grâce à Nola, la guérisseuse du village, il a pu de nouveau se mettre sur pied. Va-t-il tenir sa promesse après sa guérison ?

Je me suis lancée dans ce roman en disant que vu le nombre de pages, il allait me durer un petit moment mais en fait pas du tout, une fois lancée dans ce roman, je n'ai pas pu le lâcher et je l'ai dévoré.
Les Skaviens sont les ennemis de Jal, il les hait plus que tout au monde mais il va quand même se rendre compte de beaucoup de choses. Jal est un Sudien, pour les Skaviens il est aussi un ennemi car les Sudiens font la guerre aux Skaviens. L'armée est menée par le Vieux Dragon dont on entend beaucoup de choses sur lui...

J'ai beaucoup aimé l'univers de l'auteur, il y a de la magie dans ce roman et j'adore encore plus. L'intrigue m'a de suite intéressée et Jal m'a plu comme personnage. Jal ne réfléchit pas trop, il préfère agir même si ça le met dans des situations compliquées. Il s'attache à différents personnages au fil des pages et je les trouve tous très touchants, chacun à sa propre personnalité et apporte un énorme plus à Jal. Il faut dire que la confiance n'est pas quelque chose de facile pour eux.

On a pas mal de révélations au fil des pages, mais il y en a plus vers la fin du roman, déjà qu'au début je ne pouvais pas lâcher le roman, arriver à la fin ceci était encore plus impossible.
L'action est bien présente au fil du roman, je ne me suis pas ennuyée. le style de l'auteur est fluide et simple. J'ai bien aimé son style et j'aimerais bien découvrir d'autres romans.

En conclusion, de la Fantasy très intéressante à découvrir, l'univers m'a plu. Les personnages sont complexes mais touchants aussi. Un récit qui se lit rapidement. Un one-shot que je recommande.
Lien : http://livres-films-series.b..
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