Mon sentiment après la lecture de
Port-Eden est difficile à définir. Ce n'est pas vraiment mauvais mais ce n'est pas non plus très bon. C'est mitigé.
Le thème est intéressant mais peut être la manière de le traiter n'est pas suffisant.
Nous sommes à la fin du XIXème siècle et l'occasion est donnée à des colons d'aller tenter l'aventure en Papouasie pour créer un nouveau paradis. Des figures différentes se montrent intéressées, reflétant toutes les strates de la société. A la tête de cette utopie, le marquis de Rays, nobliau breton qui vend ce concept sans y participer. On se doute de la suite.
Le personnage principal est un journaliste qui contera l'aventure, suivant de bout en bout le voyage des colons jusqu'à leur installation.
Que dire d'autre ? Pas grand-chose. Preuve qu'en rédigeant ce billet, il n'est pas forcément nécessaire de s'arrêter pour le lire. Que manque-t-il ? Probablement un style d'écriture plus accrocheur. Bof, bof, bof, donc.