On porte toujours les séquelles de son enfance.
Catherine Barneron ne s'est jamais remise de celle-ci et en 1999, a rejoint la rubrique fait-divers des journaux, empêchant la sortie de son second livre, où elle raconta comment la DDASS a poursuivi la persécution maternelle.
Livre à lire, pour voir jusqu'à où la haine d'une enfant peut mener une "mère" et un beau-père.