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Critique de Ecureuil73
Me voilà de nouveau embarquée avec Paul Green, le héros des 2 premiers romans de l'auteur.
A travers le regard de 3 protagonistes, on plonge dans l'enfer d'une secte, des cartels de la drogue et de ceux qui y entrent en espérant une vie meilleure...
C'est un sujet qui me parle depuis longtemps mais qui, dans les films ou livres est souvent traité avec de nombreux clichés.
Ce livre n'y échappe pas vraiment mais va un peu plus loin dans les méandres de l'âme humaine et les vicissitudes des adeptes et de ceux qui les gère.
Aucun temps mort, suspens, mystères, rites, tout est réunis pour nous enrôler et nous dévoiler les dessous de cette secte pour nous offrir un final tout en grandeur et décadence à la hauteur de cette cité des anges.
Sans jeter l'opprobre sur ces regroupements spécifiques, cela nous pousse à réfléchir à toutes les conditions humaines et les différentes manières d'aborder la vie, le quotidien et apporter peut-être un semblant de réponse à cette envie d'aspirer à une vie plus douce.
"Peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse." serait pour moi un peu la morale de cette histoire.
A travers le regard de 3 protagonistes, on plonge dans l'enfer d'une secte, des cartels de la drogue et de ceux qui y entrent en espérant une vie meilleure...
C'est un sujet qui me parle depuis longtemps mais qui, dans les films ou livres est souvent traité avec de nombreux clichés.
Ce livre n'y échappe pas vraiment mais va un peu plus loin dans les méandres de l'âme humaine et les vicissitudes des adeptes et de ceux qui les gère.
Aucun temps mort, suspens, mystères, rites, tout est réunis pour nous enrôler et nous dévoiler les dessous de cette secte pour nous offrir un final tout en grandeur et décadence à la hauteur de cette cité des anges.
Sans jeter l'opprobre sur ces regroupements spécifiques, cela nous pousse à réfléchir à toutes les conditions humaines et les différentes manières d'aborder la vie, le quotidien et apporter peut-être un semblant de réponse à cette envie d'aspirer à une vie plus douce.
"Peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse." serait pour moi un peu la morale de cette histoire.
