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Me voici entre les mains de "Je déménage"... Couverture grise et vue sur les toits de Paris.
Tout d'abord je tiens a remercier les éditions de Masse critique qui vient une nouvelle fois de m'envoyer ce livre de Marie Louise AUDIBERTI.
Ce petit livre est un carnet de bord qui retrace les périples et péripéties qui se jouent lors d'un deménagement le carnet de bord se transforme en carnet de route. Je tiens dans les mains une carte postale de Paris. Je bifurque ensuite a Meudon... Mon coeur de lecteur oscille entre ces deux villes a géométrie variables. Carte postale parisienne j'y croise les gens qui habitaient ceux qui habitent et ceux qui habiteront...
Quant a moi qui ne viverait sans doute a paris j'ai entendu le tourbillon des questions... Cet ode et ce temps propice aux cartons au passage de l'un a l'autre de lun vers l'autre... voire l'Autre....
Le format de ce livre est plaisant mais par contre le manque de chapitre peut alourdir cette lecture. Bravo pour cette fable urbaine madame AUDIBERTI. Me reste une question? Peut on vraiment resister a Paris?
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La musique de Claude Nougaro m'a bercée depuis ma toute petite enfance et fera partie de ma vie à toujours. Il côtoie dans ma cédéthèque de drôles spécimens, et y tient une place de choix. Entre autres chansons appréciées, il y en a une que j'aime beaucoup, c'est la Chanson pour le maçon. Et il y parle de Jacques Audiberti, avec une si grande tendresse d'ailleurs que ce joli nom est gravé dans ma mémoire auditive, avec l'accent de Toulouse bien sûr...
Je connaissais donc le père mais pas la fille. Et lorsque j'ai eu l'occasion de lire "Je déménage" grâce à l'opération Masse critique, je l'ai saisie aussitôt.
Sous la forme d'un journal très personnel, comme adressé à elle-même, Marie-Louise Audiberti raconte pourquoi, suite au décès de son mari, elle décide de quitter leur maison de Meudon et de partir vivre à Paris.
Ce court ouvrage porte donc sur l'effort de deuil, sans pathos et en douceur, juste la volonté de continuer à vivre, malgré tout. Il lui faut alors partir à la recherche d'une nouvelle identité, à la recherche d'un nouveau soi, et à la quête d'un nouvel appartement. Des étincelles d'envies affleurent, et avec le temps, en faisant "comme si", la vie reprend son cours.
Jouant sur la distortion du temps : la résurgence du passé et des souvenirs, l'installation du présent et la préparation de l'avenir, l'écriture de Marie-Louise Audiberti devient curative, avec beaucoup de sagesse et de simplicité.
Je remercie les éditions triArtis de m'avoir envoyé ce charmant petit livre, écrit par une grande femme.
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Tout d'abord, je tenais à remercier Babelio de m'avoir sélectionnée dans le cadre de la Masse critique du mois de Septembre.
Merci également aux Editions Triartis pour l'envoi de "Je déménage".

Dans ce petit ouvrage d'à peine 79 pages, un carnet de bord, Marie-Louise Audibert nous fait part de ses réflexions, de ses doutes et de ses joies après qu'elle ait pris la décision de déménager pour aller vivre à Paris.
Lorsqu'elle pense avoir trouvé la perle rare : l'appartement coup de coeur, elle s'y projette et imagine ce que serait sa vie dans ce nouveau lieu qu'elle espère pouvoir acquérir.
Tout au long de son livre, nous assistons aux flash-black de la narratrice (les souvenirs de son enfance avec ses parents, puis la rencontre de son futur mari, la naissance de leurs enfants, leur vie de famille...) entrecoupés de visites d'appartements, qu'elle décrit avec humour, tout comme les agents immobiliers qui seraient prêts à lui vendre n'importe quel bien même s'il ne correspond pas à ses attentes.

J'ai été un peu déçue car je m'attendais à un livre beaucoup plus riche en lisant la quatrième de couverture. Mais, au final, j'ai quand même apprécié ce roman car Marie-Louise Audibert a une écriture fluide et très agréable à lire.
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Un grand merci a Babelio et aux éditions Triartis pour l'envoi de cet ouvrage.
Dans cet ouvrage l'auteur va nous raconter sa quête de l'appartement idéal.
nous la suivrons dans ses doutes et ses inquiétudes, ses regrets aussi.
Son envie de vivre a Paris afin de redémarrer une vie nouvelle.
Elle va s'engager visiter, contacter des agences et viendra le moment du tri, des cartons, des souvenirs avec toute l'angoisse que l'on a toutes connus un jour.
Un déménagement n'est jamais quelque chose de facile surtout quand on est seule.
Des écrits bien réaliste qui nous rappelle certains souvenirs...
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Je vous le dis de suite, je suis fort déçue.

Tout d'abord, vu le résumé je m'attendais à un roman, un vrai. Et non à une nouvelle de 79 pages. Sur ce coup là j'ai l'impression de m'être faite avoir – rien n'était précisé dans la sélection BMC et ça ne l'est pas non plus sur le site. Quand on voit le prix on s'attend aussi à un roman, non ? Je sais qu'il faut rentabiliser mais là c'est abusé. Les nouvelles il vaut mieux les sortir en ebook…

Je commence à lire et vraiment, je n'accroche pas. Ce que j'aurais pu lire en une ou deux heures et bien… il m'a fallu deux soirées tellement j'ai eu du mal avec la plume de l'auteure. J'imagine qu'elle se voulait poétique, ou lyrique, je ne sais pas mais pour moi ça donnait juste un récit bizarre et décousu. Quasiment aucun dialogue, ça manquait. Et pas de chapitres, ce qui rend le récit lourd :/

Je suis passée totalement à côté de cette histoire. Dommage.

Belle journée !
Lien : https://lireoudormir.wordpre..
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Je tiens tout d'abord à remercier Babelio ainsi que les Editions TriArtis pour l'envoi de ce roman dans le cadre de la Masse critique du mois de février consacrée au « non fiction ». C'est le quatrième de couverture qui m'a attirée et j'ai eu envie de découvrir les motivations qui ont poussé Marie-Louis Audiberti à vouloir déménager.

Suite au départ de ses enfants mais surtout au décès de son mari, la narratrice décide de quitter Meudon pour aller vivre à Paris. Elle veut revenir dans cette ville qui l'a vue naître, retrouver son XIVe arrondissement. Elle décide alors de mettre en vente son appartement de banlieue pour le plus grand bonheur de l'agent immobilier qui va le vendre très rapidement.

Ce court roman, il ne fait que 79 pages, est rempli de poésie. L'auteur compare les villes qu'elle aime aux hommes qu'elle aurait pu aimer. Meudon serait le mari, la vie posée, la sagesse alors que Pari serait l'amant, la vie pleine de folie. Quitter la ville dans laquelle elle a vécu est une quête vers un nouveau soi. Elle va s'installer dans le centre de Paris, là où il y a du bruit, du monde, de l'agitation. Alors que de nombreuses personnes quittent les centres villes pour habiter dans des zones péri-urbaines, Marie-Louise Audiberti part en quête d'un lieu où elle se sentira moins seule.

J'ai aimé la façon dont l'auteur se moque des agents immobiliers. Elle met en avant leurs techniques de vente parfois absurbes pour vendre des biens qui ne correspondent pas aux attentes des clients. L'auteur a pu constater elle-même que des biens « loufoques » lui avaient été proposés.

Marie-Louise Audiberti se confie beaucoup dans ce livre, il y a beaucoup de retour en arrière sur la vie avec ses parents, de souvenirs qui ressurgissent de son passé entre autre les livres « sont-ils des amis ou des ennemis ? » ou encore sa table si chère à son coeur. C'est une sorte de journal intime mais qu'elle offre tout de même à ses lecteurs, elle apostrophe le lecteur comme p.48 « rassurez, vous, seulement il se diffuse et se diffracte, ramassant le tout venant de ma vie… »

J'ai trouvé le style de l'auteur assez élitiste. Elle fait beaucoup de références à des auteurs comme par exemple Montesquieu, Baudelaire ou encore Beigbeder qui ne sont pas tous à la portée du grand public. le vocabulaire qu'elle utilise est très riche et peut freiner certaines personnes. de plus, j'ai été gênée par l'absence de chapitre qui alourdit ce court roman.
Lien : https://audetourdunlivreblog..
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