Prendre de bonnes résolutions, c'est accepter un face a face avec soi même .Cela nécessite un temps d'arrêt et de réflexion sur la conduite de sa vie.
L'urgent, c'est ce qui nous tire par la manche et nous vaudra une sanction si nous ne le faisons pas: travail, taches matérielles, vie sociale et autres engagements nécessaires. Nous lui donnons la priorité.
Occasions ratées, erreurs de jugement, actes impulsifs ou inhibitions inexplicables: qui peut prétendre ne rien regretter de sa vie?
La marche nettoie notre esprit des soucis: nous disposons de nombreuses études montrant que lorsqu'on commence à ressasser, l'acte le plus intelligent et le plus efficace pour interrompre nos ruminations est d'aller marcher au moins dix minutes d'un pas rapide!
Il existe de nombreuses formes de méditation, mais on peut dire pour simplifier que méditer, c'est s'arrêter, pour prendre le temps de tourner son esprit vers l'essentiel , de manière libérée et régulière .Rien d'étonnant à ce que la pratique de la méditation puisse nous transformer :elle est a notre cerveau ce que l'exercice physique est a notre corps. Elle est un entrainement de l'esprit.
La maladie est l'occasion de comprendre que nous avons intérêt à respecter ce corps unique : nous n'en aurons pas d'autre ! Notre corps n'est pas un simple outil, il est un don, et le vecteur de nombre de nos bonheurs...
Lmiration, c𠆞st la volonté de porter son regard sur ce qui rend le monde meilleur. Toutes les fois où nous admirons, nous percevons que nous sommes face à quelque chose ou à quelqu’un qui ajoute à la beauté, à la douceur, et à l’intelligence du monde.
Souvent, les choses importantes s'accomplissent dans le secret et le silence. Nous devrions faire plus souvent l'effort de distinguer l'urgent de l'important.
Dans une lettre à un ami d'enfance, Alfred Le Poittevin, Flaubert écrivait: "Pour qu'une chose soit intéressante, il suffit de la regarder longtemps." Dès qu'on s'intéresse à un sujet, on en perçoit la richesse, la diversité et la subtilité.
Martin Luther King s'interrogeait ainsi chaque soir: "Qu'as-tu fait pour autrui aujourd'hui?"