Victime 2117

A la fin de SELFIES, je me posais "la" question : Qui est Assad ?

Maintenant je sais, mais que je suis déçue. Ce dernier opus n'a pas les qualités des précédents.
Je n'ai pas vibré malgré les situations dramatiques auxquelles nos héros sont confrontés et la fin m'a semblé bâclé.

Dommage, mais je continuerais à lire les oeuvres de Jussi Adler Olsen.

Mais qu'est-ce qui s'est passé ?? On a perdu notre Jussi. Alors ça démarre très fort, dans l actualité des migrants et puis l'intrigue...se traîne, s'accélère pour mieux ralentir, devient chaotique et surtout parfaitement invraisemblable. Beaucoup de violence, la coopération improbable entre policiers et services secrets allemands et danois ( et espagnols). Rendez-moi Miséricorde

Cet opus, qui éclaire (?) sur le passé d'Assad, membre de l'équipe du Département V, m'a profondément déçu. L'auteur perd la mesure, tombe dans la facilité des thèmes porteurs – les migrants, la vengeance – sans profondeur et sans finesse, dans une débâcle d'invraisemblances. On ne croit à rien, dès le départ, et donc la lassitude arrive vite ainsi que l'ennui de suivre ces personnages sans épaisseur. Raté. le livre de trop ?

Jusqu'à présent, j'étais une grande fan de l'auteur. Je ressors déçue de Victime 2117. Je n'y ai rien retrouvé de ce qui faisait le charme des précédents romans de la série.
Il est certes intéressant d'en savoir plus sur le passé de l'insaisissable Assad, sans pour autant qu'il soit nécessaire de sombrer dans le pathos et l'exagération. Car je n'ai rien trouvé de crédible dans cette histoire de vengeance. Adler Olsen semble avoir trop voulu entrer dans le moule des thrillers haletants de portée internationale, il a loupé son coup !
Les petits bonheurs des erreurs langagières d'Assad, les relations souvent drôles de Rose et Gordon, le caractère plus que misanthrope de Carl, Hardy et Morten... tout est passé aux oubliettes. Ne reste qu'un thriller mou, qui se veut anxiogène sans jamais l'être.

Grr... !!!

Entre cet auteur et moi c'est finie le torchon brûle, ras le bol des romans qui s'éparpille et traine en longueur. Ras le bol qu'on m'ai survendu des secrets et intrigue de fou pour en arriver à ça... Ras le bol des situations totalement grotesque tout droit sortie du pire nanar... (je parle de Alexander et aussi de la "surprise" de Mona ! )

Pourtant il y a des choses que j'aime, j'aime le quatuor d'enquêteurs et leurs interactions. La plupart du temps j'aime les bons dans le passé et le fil rouge. Mais ce n'est pas suffisant. J'attendais avec impatience le tome consacré à Assad, mais là c'est la douche froide et j'ai du lutter pour finir le roman, je pense donc que je vais m'arrêter là.

Belles lectures à tous.

Je l𠆚i lu jusqu'au bout, car je n𠆚vais rien d𠆚utre à me mettre sous la dent. Je n𠆚i pas aimé, mais pas du tout. Trop d’invraisemblables, d𠆞xtravagances, d’incohérences dans ce double récit auquel je n𠆚i pas adhéré un instant. Mais la morale est sauve : les bons ont gagné et les méchants ont perdu. Quel Soulagement !

Je viens de terminer ce dernier opus de la série sur le département V et, franchement, je suis fortement déçue. Je préfère largement le département V dans ce qui est son ADN c'est à dire la résolution de vieilles affaires. Même si maintenant on connaît mieux Assad, ce livre ne m'a pas beaucoup intéressée.