L'histoire qui nous est racontée, commence en 1982, la foudre est tombée dans Copenhague et a fait six victimes.
Elle se poursuit avec Maja le 26 janvier 1988, qui cherche un petit garagiste sympa pour poser des pneus neige à sa voiture.
Tous ces préalables pour en arriver au 30 novembre 2020 avec Marcus et bien sûr notre très cher Carl où on s'aperçoit qu'il peut être question de la présence curieuse « d'un monticule de
sel d'une hauteur de neuf centimètres » du
sel de cuisine sur une scène d'un soi-disant accident qui a coûté la vie entre autres à Max, le fils de Maja, le 26 janvier 1988.
Nous en sommes à la neuvième enquête du département V (Q au Danemark), la saga devrait se clore au dixième livre.
Sans «
sel » nous voyons arriver la fin du suspens … mais à quel prix !
Je suis déçue … c'est long, très long … c'est invraisemblable … c'est plutôt ennuyeux … et pourtant je suis allée jusqu'au bout des 551 pages.
Je ne sais pas si la vision du sérieux avec lequel est dévoilé le confinement demandé aux danois est représentatif de ce qui s'est passé, mais cela ne donne pas vraiment une bonne image pour l'Histoire !
Notre intérêt pour les personnages, une fois dévoilés leurs mystères, s'amenuise et rien n'est fait dans l'écriture pour leur donner quelque humanité.
Bien sûr, je lirais la fin des aventures de cette équipe pas comme les autres mais j'avoue avoir perdu l'intérêt que je portais à cette série et je ne suis pas sure que l'auteur saura se réinventer dans d'autres fictions !