Love, Theoretically

Je ne pouvais pas achever ce mois de mai sans un roman d'Ali Hazelwood. La découverte de ce mois ci! Merci à grâce à ton concours j'ai pu lire de suite ce roman 🫶

Me revoici plonger dans l'univers des sciences avec la plume de cette auteure si addictive par son savoir en sciences et son humour, parce que c'est sans conteste le talent secret de ces romans.

J'ai réellement eu de nouveau un coup de coeur pour cette comédie romantique. Elsie est un personnage très touchante par sa personnalité et je dois admettre que l'on doit être nombreuses à comprendre la complexité à ne pas être totalement et librement nous même afin de plaire à notre entourage. Mais Jake à travers ses regards réussi à découvrir se que cache Elsie derrière ses multiples personnalités afin de la libérer de ces tourments et de découvrir SA vraie personnalité tout en mettant en lumière avec beaucoup d'honnêteté ses tords parce que chaque acte a ces conséquences.

Tout ceci mêler à la vie des scientifiques universitaires avec des mots profonds et des théories à nous faire rire. Alors je ne nie pas que certaines choses sont assez grosses et le schéma de ces romans est assez répétitif mais c'est sûrement ce qu'on adore, parfois les clichés fonctionnent bien et permettent de mettre en avant la misogynie que vivent de nombreuses femmes. J'aime aussi le fait que l'autrice, mettent en avant des femmes savantes et intelligentes avec des doutes et des difficultés ce qui donne à ces histoires beaucoup de réalisme et aux qu'elles ont peut sans être dans le domaine identifiable.

J'admet avoir eu une grosse préférence pour Love on the brain parmi les trois même si aucune m'a déçue, et vous votre préférence?

Voici le seul livre que j'ai eu le temps de lire lors du viaduc de l'Ascension. À peine reçu, à peine dévoré et encore une fois, Ali Hazelwood a fait carton plein même si ce n'est pas le coup de coeur de « The Love Hypothesis ».
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L'histoire prend à nouveau place dans le milieu universitaire scientifique (j'adore) et une fois encore Ali Hazelwood y dénonce parfaitement le machisme pour ne pas dire la misogynie ambiante qui y règne. Ça change vraiment des romances habituelles pour ce qui est du contexte. Pour la romance, c'est plutôt du classique ennemies-to-lover mais ça marche parfaitement. J'ai adoré les deux personnages principaux et leur entourage. Que ce soit Elsie et ses multiples facettes ou le mystérieux mais adorable Jack. J'ai adoré le frangin, la mamie et la meilleure amie. (Euh par contre, la quatrième de couverture est complètement fausse avec une grossière erreur de prénom, ça m'a perturbée au début !).
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J'ai souri à de très nombreuses situations, j'ai même gloussé. Certaines scènes sont très touchantes. Par contre je reproche une chose, je ne sais pas si ça vient de la VO ou de la trad mais l'utilisation du verbe « baiser » à tout va, je trouve ça d'un vulgaire et tue-l'amour au possible, ça m'a gâché certaines scènes … Quel dommage !
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Ça ne m'a pas empêché de dévorer cette romance et de l'adorer mais c'est ce qui m'a empêché, je pense, d'avoir eu un coup de coeur. Ça et le final peut-être un peu rapide et prévisible. Comme un goût de trop vite, j'aurais bien aimé prolonger un peu plus le plaisir, que les choses prennent un peu plus leur temps, avoir un peu plus de détails.
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Quelques reproches mais une lecture que j'ai vraiment adoré. Je serai au rendez-vous pour le prochain Ali Hazelwood, c'est une certitude ! (En septembre ou avec Bride…).

Je crois qu'on tient ici mon roman préféré d'Ali Hazelwood (dans ses romances adultes sorties jusquici en tout cas 🤭). J'ai particulièrement aimé la thématique traitée par l'autrice, liée à l'affirmation de qui on est, au fait d'être aimé sincèrement, avec ses qualités et ses défauts. J'ai particulièrement aimé l'évolution d'Elsie, l'héroïne, au contact de Jack et dans sa recherche de ses aspirations profondes. Un très bon moment!⠀
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Le soir, pour arrondir ses fins de mois, Elsie loue ses services de fausse petite amie idéale. Et le jour, elle trime dans les amphis et croule sous les copies d'étudiants dont la grand-mère vient encore de mourir. Son rêve de toujours ? Être chercheuse titulaire ! Alors quand le département de physique du MIT ouvre un poste, Elsie ne perd pas une seconde. Seul accroc : Jack Smith, l'un des recruteurs, est prêt à tout pour placer son propre poulain...⠀
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Jack est un bookboyfriend qui m'a énormément plu, de par sa bienveillance et son envie de faire sortir de sa zone de confort notre héroïne. L'évolution de la relation et le contexte scientifique (qui est presque la signature de l'autrice en vrai) ont contribué à me faire passer un super moment.⠀
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Certes, comme d'habitude avec les romances d'Ali Hazelwood, je n'ai pas aimé le spicy, que je trouve toujours un peu gênant 😆 mais il n'empêche que j'ai apprécié la prévenance et la gentillesse de Jack. Elsie se révèle à son contact et c'était joli à voir. Et puis, il y a un côté très authentique derrière les personnages de l'autrice et c'est quelque chose que j'apprécie énormément. 🥰⠀
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Big up au petit caméo d'Olive et Adam, c'était mignon de les retrouver l'espace de quelques pages.⠀
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Bref, un très chouette moment !⠀

Voici l'histoire d'une nana qui ment tout le temps et d'un mec qui ne supporte pas le mensonge. Vous imaginez bien, c'était mal parti. Et personnellement, j'ai eu du mal avec Elsie je l'avoue, sûrement parce que dans la vraie vie je fuis ce genre de personne pleines de faux semblants. Mais dans un sens, malgré l'humour toujours présent, et qui nous régale de la première à la dernière page, j'ai trouvé ce roman aussi profond que les deux premiers. C'est l'histoire d'une renaissance pour Elsie, et d'une juste analyse des travers du monde universitaire, de sa cruauté envers les femmes comme elle.
Alors oui, on reprend la recette habituelle des romances universitaires qui sont la marque de fabrique de notre queen Ali : un milieu scientifique impitoyable, la place des femmes, beaucoup d'humour, une héroïne avec un certain background et un bookboyfriend hyper safe. Ça peut sembler redondant pour certaines mais moi c'est ce que j'adore avec cette autrice, perso je ne m'en lasse pas ! Elle arrive toujours à se renouveller avec les mêmes ingrédients, c'est du génie.
J'ai beaucoup apprécié les clins d'oeil aux personnages de *Love on the brain* et *The love hypothesis*. Petit point positif aussi pour les chapitres qui reprennent les notions de physique, c'est si bien vu. Et détourner le trope du fake dating est vraiment malin.
Bref, vive les romances de Ali Hazelwood, c'est toujours la régalade ! Si vous n'avez pas encore craqué, n'hésitez pas, clairement il s'agit d'une valeur sûre !

Ali Hazelwood, my new auto-buy author ?

Je n'attendais rien de ce roman, encore un enemies-to-lovers à sens unique, basé sur un énorme quiproquo avec tous les ingrédients qui font la spécificité de l'autrice. Il y a les scènes cocasses, le petit crossover qui fait plaisir avec d'autres persos -salut Olive et Adam- ou les ref artistiques -Fast&Furious, Star Wars, TMTC-.

Et surtout le monde des STEM. Dépeint tel quel, il ne fait toujours pas rêver, malgré la gloire, malgré mon amour des sciences. le combat est permanent -n'oubliez pas vos griffes, les amis- et les inégalités homme/femme, les heures à tout va, le manque d'argent vont bon train.

On pourrait se lasser de la redondance, mais bizarrement ce livre avait un truc en plus. La romance est travaillée, saine, avec une recherche constante du consentement. L'histoire est moins potache et nous propose une évolution d'un point de vue psychologique.

Déjà, il y a Elsie, le caméléon. Son manque d'amour propre m'a fait mal. La voir sans cesse mouler son caractère et sa façon d'être avec les autres était exténuant. J'avais du mal à la comprendre tant nous sommes diamétralement opposées. Et en même temps peut-être pas si différente que cela... Dur de toujours devoir plaire aux autres pour être accepté...

Puis vient Jack. Passons le défaut de sa blondeur et ses erreurs de jeunesse. Ce garçon m'a conquise en laissant Elsie se mettre au clair avec elle-même, jusqu'à faire le 1er pas. Et la scène de smut était à tomber, juste grâce à la place du consentement.

Bon par contre, l'autrice avait pour but de jouer avec mes nerfs tellement le slow burn était slow... J'étouffais mon insatisfaction dans mon oreiller mais j'ai aimé être maltraitée pour tant d'amour !

Et en prime, je me suis décidée à ressortir mes cours de thermodynamique, histoire de me réimprégner de cette science que j'aime tant !