Un livre sur un ton léger, sous-titré « littérature humoristique » à l'existence duquel j'ai participé. Deux mots donc pour vous le présenter. En une phrase on pourrait dire : « à se tordre de rire, sur le tarmac ou dans le hamac ». Quand j'ai commencé à traduire les histoires d'Adrian, je vivais une période très pénible due à une rechute de ma maladie déjà évoquée ici, l'année dernière, à la même époque à peu près. Je m'en suis sortie aussi grâce au rire permanent que suscitent ces proses courtes, parfois moins d'un page, où des personnages hilarants parlent sans détours et simplement de leurs exploits quotidiens. Ensuite, il a fallu à mon ami du temps et des ressources pour finaliser ce projet. J'aime beaucoup le résultat final : un livre aéré, une couverture brillante et surtout, très satisfaisant pour moi, des corrections et une relecture par Brigitte Grumel. À vous de jouer à présent !
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Après l'épisode des écouteurs, il acheta un chien, seul Saint Comgall de Bangor sut pourquoi, un chiot sympathique qui lui coûta un bras.
(Pommade 1)