Michel Lafon [corriger]

Nojoud est une villageoise Yéménites elle a 10 ans. Mariée de force par ses parents à un homme plus âgé qu'elle , elle a été abusée sexuellement et battue . Elle a demandé le divorce .



Livre qui nous fait réaliser que dans tous les pays les droits de la femme ne sont pas respectées ou faites .



Nojoud nous montre qu'elle est une enfant courageuse...

C’est grâce à cette œuvre que j’ai découvert les roman policier et qui m’a fait les aimer. C’est peut-être fois qui suis pas futé mais je ne m’attendais pas à ce que le livre évoque un tel sujet. C’est quelque chose à laquelle je ne m’intéressais pas forcément et pas vraiment plus aujourd’hui, mais la façon dont l’histoire est écrite a fait que j’ai tout de suite accroché.

Force est de constater qu'Agnès Martin-Lugand écrit comme elle parle et ce livre aurait pu être allégé de quelques pages en supprimant des passages qui alourdissent inutilement le récit, notamment les répétitions, les longueurs de texte liées à certains détails et descriptions superflus, les problèmes existentiels insolubles, sans oublier les états d'âmes incessants et trop souvent insignifiants des personnages principaux.



Ce roman mélodramatique développe le scénario tortueux de plusieurs histoires d'amour compliquées : alors que Gary éprouve toujours des sentiments pour Louise dont il est séparé depuis sept années, Ivan est toujours amoureux d'Erin après l'avoir quittée du jour au lendemain, sept ans auparavant. Les destins chaotiques de ces deux couples en déliquescence vont se séparer puis se rejoindre, se quitter une nouvelle fois pour se trouver ou se retrouver une dernière fois, mettant mal à l'aise le lecteur sans cesse tiraillé entre l'amour et la haine, les doutes et les certitudes, l'espoir et le découragement, la folie et la raison.

La romancière fait entrer le suspense, trop tardivement, dans les dernières pages d'un récit interminable et alambiqué, au détriment d'une intrigue un peu convenue qu'elle précipite dans un dénouement où les sentiments amoureux ne connaissent aucune limite et flirtent dangereusement avec la déraison.