Flammarion [corriger]

Virginie Grimaldi nous a habitués à des romans touchants, et pleins d’humour. Avec « Plus grand que le ciel », elle livre une œuvre bien plus personnelle. &#xNaN



💌 L’auteure nous parle avec douceur et sincérité de deuil, de blessures, de confiance en soi, de renaissance. Comme toujours, sa plume est empreinte de justesse et de sensibilité.



📖 Elsa et Vincent se croisent chaque semaine dans la salle d'attente de leur psychiatre. Elle vient de perdre son père. Il cache sa plus grande blessure.

Ces instants fragiles sont à l'origine d'une rencontre improbable qui n'était pourtant pas placée sous les meilleurs auspices :

"- Je sais que ça ne se voit pas de prime abord mais je suis souvent très con

- Détrompez-vous, ça saute aux yeux."



En se concentrant pleinement sur Elsa et Vincent, l’auteure relègue malheureusement l’histoire au second plan. La première partie du roman est un peu décousue, marquée par quelques longueurs. 📝



💭 Même si ce roman n’atteint pas les sommets de ses précédents ouvrages, Plus grand que le ciel reste une lecture touchante. On aime la sincérité et l’émotion qui en émanent ! 💖

Elsa a perdu son père et elle se rend chaque semaine chez le psychiatre. Vincent est romancier, un jour il a pété un plomb, il rencontre ce même psychiatre chaque semaine. Elsa et Vincent se croisent chaque semaine dans la salle d'attente.



Ce roman est un coup de coeur &#xNaN. Il fait partie de mes préférés chez Virginie Grimaldi.

J'ai adoré Elsa, son humour, son côté fragile. On apprend petit à petit leurs histoires respectives, ils apprennent à se connaître.



La révélation de Vincent sur sa grande blessure, je ne m'y attendais pas, je suis tombée des nus, c'est tellement dur.

Ce sont deux personnages que j'ai adoré, auxquels je me suis attachée.

J'ai parfois du mal avec les personnages un peu triste, déprimé, j'ai parfois envie de les secouer et là pas du tout. On comprend ce que ressent Elsa face à cette perte.



Les chapitres sont rapides, c'est fluide, on passe un bon moment de détente. Il y a de l'émotion et de l'humour, j'ai éclaté de rire par moment ce qui m'a valu des regards bizarres de ma famille 😅!

Certaines scènes m'ont rappelé des souvenirs personnels.

Je suis convaincue par ce roman.

Retrouvailles avec Carol Jordan et Tony Hill, dans ce qui constitue le onzième tome de la série qui les voit évoluer ensemble. Le dernier tome les avait laissés dans des situations inconfortables et ils évolueront ici plus en retrait par la force des choses. Dans ce nouvel opus, une série de corps d’enfants est découverte sur les lieux d’un ancien couvent, et quasiment concomitamment, une série de jeunes adultes est déterrée à quelques pas de là. De quoi faire l’objet d’enquêtes croisées…



Lorsque j’ai découvert Val McDermid, j’ai aimé le ton très sombre de ses romans. C’était à une époque où ce genre de lectures me permettait de me défouler du stress quotidien, et où thrillers et autres policiers étaient mes genres littéraires privilégiés (une forme d’exutoire, je pense, avec le recul). Je ressens moins désormais le besoin de lire des romans noirs, mais je continue avec ces protagonistes que je connais depuis un certain nombre d’années. Comme lors de la lecture du tome précédent, je n’ai plus ressenti ce côté sombre qui animait l’écriture de l’auteure, dont j’avais toujours trouvé qu’elle maniait la noirceur avec beaucoup de talent. Mais peut-être est-ce juste mon état d’esprit qui a changé ? Ou celui de l’auteure, qui fait évoluer ses héros différemment ? En-dehors de cela, comme d’habitude, les pages se tournent aisément, et les intrigues qui s’entrecroisent rendent la lecture plutôt plaisante. Mais clairement, je ressens un manque par rapport à ce pourquoi j’appréciais lire les romans de Val McDermid auparavant.



En résumé, un roman qui se lit facilement et une suite à venir, cela semble évident.