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Le commentaire de Martine :
La série des cinq saisons de l'Avenir est un ensemble d'enquêtes qui permet au lecteur de lui aussi ramasser des informations, des preuves, des interrogations, des réponses afin d'élaborer comment les personnages qui mènent les enquêtes comme la capitaine Léanille Nguyen et celui qui est à sa retraite, tout en s'étant converti en consultant va venir lui prêter main forte pour une des deux enquêtes qui lui est donnée. Une enquête concerne une noyade dans un lac, mais qui reste une question comme elle souffre d'un trouble alimentaire la potomanie qui soulève le doute sur un homme marginal qui a une addiction, tandis qu'une disparition qui concerne la fleuriste du village se fait remarquer automatiquement et, une suspecte déjà connue. On sent bien qu'OBomsawin reste toujours disponible pour son ancienne assistante à qui, il a donné une bonne formation alors il sait que si elle lui demande de l'aide, c'est qu'elle en a besoin. On sent bien qu'OBomsawin reste toujours disponible pour son ancienne assistante à qui, il a donné une bonne formation alors il sait que si elle lui demande de l'aide, c'est qu'elle en a besoin.
Deux enquêtes qui vont demander au capitaine de ne pas se laisser hanter par ses souvenirs et ses démons, il faut garder la tête froide afin de bien analyser son enquête dans les moindres détails. Pour O'Bom, aussi, chaque enquête ravive la douleur de la perte de sa sœur et lorsqu'il parle aussi, son défaut de langage est toujours aussi présent. De plus, les jumelles que l'on surnomme les veuves noires, vont-elles aussi, venir mettre la bisbille au sein du ghetto, en poursuivant le combat que menait Zita Tanzanie.
Dans ce tome-ci, Michel Bélil apporte des éléments surprenants au sein de cette communauté et des habitants. Nous sommes en terrain post-apocalyptique, donc L'Avenir est toujours en fragilité dans sa reconstruction d'un territoire qui comporte certaines blessures, traumatismes, distensions, humiliations et cicatrices accumulées au fil des années. Chaque intrigue crée des échanges et des liens, tout en permettant à la population de vivre au sein d'une cité qui est bien surveillée anciennement par le métis O'Bomsawin et présentement par la capitaine Léanille Nguyen, vous allez me dire qu'au fil des tomes, les personnages se sont croisés à plusieurs reprises, selon leurs allées et venues, tout comme la réalité d'une communauté rurale de l'Estrie. C'est alors que je vous dirai que cette saga ferait un excellent téléroman ou série télévisée, qui représenterait la vie de l'Avenir et de ses citoyens au fil des enquêtes et des dénouements remarquables que réservent l'auteur, à chaque tome. La seule chose que je veux partager avec vous, c'est que vous devriez lire Michel Bélil avec une remarquable imagination qui nous offre chaque fois un roman des plus captivants, intéressants et marquants avec des personnages qui sont, l'âme de ce patelin inoubliable.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
La série des cinq saisons de l'Avenir est un ensemble d'enquêtes qui permet au lecteur de lui aussi ramasser des informations, des preuves, des interrogations, des réponses afin d'élaborer comment les personnages qui mènent les enquêtes comme la capitaine Léanille Nguyen et celui qui est à sa retraite, tout en s'étant converti en consultant va venir lui prêter main forte pour une des deux enquêtes qui lui est donnée. Une enquête concerne une noyade dans un lac, mais qui reste une question comme elle souffre d'un trouble alimentaire la potomanie qui soulève le doute sur un homme marginal qui a une addiction, tandis qu'une disparition qui concerne la fleuriste du village se fait remarquer automatiquement et, une suspecte déjà connue. On sent bien qu'OBomsawin reste toujours disponible pour son ancienne assistante à qui, il a donné une bonne formation alors il sait que si elle lui demande de l'aide, c'est qu'elle en a besoin. On sent bien qu'OBomsawin reste toujours disponible pour son ancienne assistante à qui, il a donné une bonne formation alors il sait que si elle lui demande de l'aide, c'est qu'elle en a besoin.
Deux enquêtes qui vont demander au capitaine de ne pas se laisser hanter par ses souvenirs et ses démons, il faut garder la tête froide afin de bien analyser son enquête dans les moindres détails. Pour O'Bom, aussi, chaque enquête ravive la douleur de la perte de sa sœur et lorsqu'il parle aussi, son défaut de langage est toujours aussi présent. De plus, les jumelles que l'on surnomme les veuves noires, vont-elles aussi, venir mettre la bisbille au sein du ghetto, en poursuivant le combat que menait Zita Tanzanie.
Dans ce tome-ci, Michel Bélil apporte des éléments surprenants au sein de cette communauté et des habitants. Nous sommes en terrain post-apocalyptique, donc L'Avenir est toujours en fragilité dans sa reconstruction d'un territoire qui comporte certaines blessures, traumatismes, distensions, humiliations et cicatrices accumulées au fil des années. Chaque intrigue crée des échanges et des liens, tout en permettant à la population de vivre au sein d'une cité qui est bien surveillée anciennement par le métis O'Bomsawin et présentement par la capitaine Léanille Nguyen, vous allez me dire qu'au fil des tomes, les personnages se sont croisés à plusieurs reprises, selon leurs allées et venues, tout comme la réalité d'une communauté rurale de l'Estrie. C'est alors que je vous dirai que cette saga ferait un excellent téléroman ou série télévisée, qui représenterait la vie de l'Avenir et de ses citoyens au fil des enquêtes et des dénouements remarquables que réservent l'auteur, à chaque tome. La seule chose que je veux partager avec vous, c'est que vous devriez lire Michel Bélil avec une remarquable imagination qui nous offre chaque fois un roman des plus captivants, intéressants et marquants avec des personnages qui sont, l'âme de ce patelin inoubliable.
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Le commentaire de Lynda :
Je vous mets en garde, si vous commencez cette lecture, assurez-vous d’avoir du temps devant vous, parce que vous ne pourrez pas mettre de côté, ça, c’est certain.
En fait, ce sont six histoires, genre nouvelles, bien différentes l’une de l’autre, mais elles ont quand même une chose en commun, elles vont vous captiver, vous capturer et ne vous relâcher qu’à la toute fin de la lecture.
Laquelle de ces nouvelles m’a le plus touché, ce sera difficile à dire, mais je crois que pour moi Rififi le clown vient en premier, par très peu sur les autres histoires.
Chacune des histoires fait monter l’adrénaline, et ce, chacune à leurs façons.
Aussi simple qu’une histoire d’écureuils qui devient hors contrôle pour Denis. Une autre nouvelle nous parle d’un tueur et de sa victime que j’ai trouvé assez stressante comme situation.
Il n’y a pas beaucoup de choses que je peux vous dire, mais ce que je peux vous dire, c’est que si vous aimez avoir quand même peur dans vos lectures, et bien n’hésitez pas, que les choses se passent dans une cour, ou encore dans l’espace, oui vous avez bien lu, ou encore dans une mine qui s’est effondrée. Ce sont des sujets auxquels on ne pense pas vraiment, mais une fois en lecture, on en redemande et on en veut encore.
J’aime bien la plume de Daniel Touchette, et avec ces nouvelles, on peut dire qu’il n’y a pas de temps mort, il va droit au but, et pour chaque histoire, il va nous accrocher très solidement.
Je recommande ? Bien certain, sans aucune hésitation !
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Je vous mets en garde, si vous commencez cette lecture, assurez-vous d’avoir du temps devant vous, parce que vous ne pourrez pas mettre de côté, ça, c’est certain.
En fait, ce sont six histoires, genre nouvelles, bien différentes l’une de l’autre, mais elles ont quand même une chose en commun, elles vont vous captiver, vous capturer et ne vous relâcher qu’à la toute fin de la lecture.
Laquelle de ces nouvelles m’a le plus touché, ce sera difficile à dire, mais je crois que pour moi Rififi le clown vient en premier, par très peu sur les autres histoires.
Chacune des histoires fait monter l’adrénaline, et ce, chacune à leurs façons.
Aussi simple qu’une histoire d’écureuils qui devient hors contrôle pour Denis. Une autre nouvelle nous parle d’un tueur et de sa victime que j’ai trouvé assez stressante comme situation.
Il n’y a pas beaucoup de choses que je peux vous dire, mais ce que je peux vous dire, c’est que si vous aimez avoir quand même peur dans vos lectures, et bien n’hésitez pas, que les choses se passent dans une cour, ou encore dans l’espace, oui vous avez bien lu, ou encore dans une mine qui s’est effondrée. Ce sont des sujets auxquels on ne pense pas vraiment, mais une fois en lecture, on en redemande et on en veut encore.
J’aime bien la plume de Daniel Touchette, et avec ces nouvelles, on peut dire qu’il n’y a pas de temps mort, il va droit au but, et pour chaque histoire, il va nous accrocher très solidement.
Je recommande ? Bien certain, sans aucune hésitation !
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Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥
Un beau coup de cœur pour ce premier roman de Micheline Bédard.
Nous allons suivre Céliane, qui est itinérante, et disons qu’elle ne l’a pas facile du tout.
Vivre dans la rue, n’arrange en rien les choses, elle quête surtout pour manger, mais aussi pour boire parce que oui, en plus, elle est alcoolique, le démon de l’alcool lui en fait voir de toutes les couleurs.
Vous pouvez imaginer, le froid, la faim, la soif de l’alcool, des dépendances qui détruisent sa vie à petit feu.
Voilà, qu’elle rencontre un bon samaritain, Deryck, et lui qui n’est pas très porté sur la charité envers les autres pour une raison quelconque va s’attacher à Céliane et tenter de l’aider.
Il faut dire qu’au moment de la rencontre, Céliane vient tout juste de vivre un drame assez pénible et elle a de la difficulté à s’en remettre, à cause de ça, elle ne se sent plus du tout en sécurité dans la rue. Mais Deryck va s’occuper d’elle du moins, il va essayer.
Céliane lui fera des confidences sur sa vie, son parcours, et son grand désir de pouvoir lire un livre. Elle lui parle de ses amies dans la rue, de ses rêves, et lui de son côté va essayer de faire ce qu’il peut pour elle.
Du coup, Deryck avec l’aide de sa mère Judy vont essayer de lui apprendre à lire et à écrire, un des rêves de Céliane. Mais ça non plus ça ne durera pas, elle se sent minable, pas assez bien pour eux.
Il faut aussi dire, que Céliane a un désir secret, mais très fort de retrouver sa fille Élodie, qu’elle a abandonné bébé.
Bref, même si elle coupe les liens avec Deryck et sa mère, disons que cela aura été suffisant pour la pousser dans le droit chemin, pour qu'elle fasse le premier pas vers une vie normale. Parce que Deryck et sa mère auront été l'élément déclencheur de son changement de vie.
Je ne vous dirai pas tout ce qui va arriver de bon et de moins bon, mais je peux vous dire que de suivre le cheminement de cette femme fait vibrer notre cœur, son allure, son langage, sa volonté de vivre, tout ça, et bien ça la rend très attachante, et Micheline Bédard a bien su nous la faire connaître à travers ses mots.
Céliane m’a fait rire, m’a fait pleurer également, et je peux même dire qu’elle m’a fait me fâcher, à quelques reprises, j’aurais aimé la brasser un petit peu. Mais tout au fond cette femme est venu prendre mon cœur tout comme Deryck et d’autres que l’on va rencontrer.
Un gros coup de cœur, plein d’émotions pour cette superbe lecture que je vous recommande de tout cœur et qui, d'une certaine façon, fait du bien à la vie !
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Un beau coup de cœur pour ce premier roman de Micheline Bédard.
Nous allons suivre Céliane, qui est itinérante, et disons qu’elle ne l’a pas facile du tout.
Vivre dans la rue, n’arrange en rien les choses, elle quête surtout pour manger, mais aussi pour boire parce que oui, en plus, elle est alcoolique, le démon de l’alcool lui en fait voir de toutes les couleurs.
Vous pouvez imaginer, le froid, la faim, la soif de l’alcool, des dépendances qui détruisent sa vie à petit feu.
Voilà, qu’elle rencontre un bon samaritain, Deryck, et lui qui n’est pas très porté sur la charité envers les autres pour une raison quelconque va s’attacher à Céliane et tenter de l’aider.
Il faut dire qu’au moment de la rencontre, Céliane vient tout juste de vivre un drame assez pénible et elle a de la difficulté à s’en remettre, à cause de ça, elle ne se sent plus du tout en sécurité dans la rue. Mais Deryck va s’occuper d’elle du moins, il va essayer.
Céliane lui fera des confidences sur sa vie, son parcours, et son grand désir de pouvoir lire un livre. Elle lui parle de ses amies dans la rue, de ses rêves, et lui de son côté va essayer de faire ce qu’il peut pour elle.
Du coup, Deryck avec l’aide de sa mère Judy vont essayer de lui apprendre à lire et à écrire, un des rêves de Céliane. Mais ça non plus ça ne durera pas, elle se sent minable, pas assez bien pour eux.
Il faut aussi dire, que Céliane a un désir secret, mais très fort de retrouver sa fille Élodie, qu’elle a abandonné bébé.
Bref, même si elle coupe les liens avec Deryck et sa mère, disons que cela aura été suffisant pour la pousser dans le droit chemin, pour qu'elle fasse le premier pas vers une vie normale. Parce que Deryck et sa mère auront été l'élément déclencheur de son changement de vie.
Je ne vous dirai pas tout ce qui va arriver de bon et de moins bon, mais je peux vous dire que de suivre le cheminement de cette femme fait vibrer notre cœur, son allure, son langage, sa volonté de vivre, tout ça, et bien ça la rend très attachante, et Micheline Bédard a bien su nous la faire connaître à travers ses mots.
Céliane m’a fait rire, m’a fait pleurer également, et je peux même dire qu’elle m’a fait me fâcher, à quelques reprises, j’aurais aimé la brasser un petit peu. Mais tout au fond cette femme est venu prendre mon cœur tout comme Deryck et d’autres que l’on va rencontrer.
Un gros coup de cœur, plein d’émotions pour cette superbe lecture que je vous recommande de tout cœur et qui, d'une certaine façon, fait du bien à la vie !
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