On peut vivre sans faire de sport, sans voir du pays, sans faire d’enfant… on ne peut pas vivre sans histoires. Le récit est aussi vital à notre psychisme que l’oxygène à notre organisme.
Je ne préfère pas. La sagesse gouverne son royaume sans épée.
VOUS ALLEZ ATTENDRE COMBIEN DE MILLENAIRES POUR PARDONNER AUX GRANDS PRETRES DU TEMPLE DE JERUSAL... ?!
Quand un homme loyal donne sa parole, il la tient.
(page 49)
Moi aussi j'ai un conditionnel.
Si certains hommes étaient moins ... bornés, on vivrait en paix !
(page 31)
Je n'abandonnerai jamais un enfant de ma vie !
- Il n'y a que les Juifs pour dire que les Juifs ne sont pas des rats et des menteurs.
- MAIS C'EST FAUX, GUENOLE ! TOUS LES GENS INTELLIGENTS LE DISENT !
Non, Jean-Marie ! Les juifs, c’est comme les bretons. Y a de tout, des méchants, des gentils et entre les deux.
"C'est parce que j'ai souvent vu des scénaristes refuser de rentrer dans le pot et s'embarquer dans l'écriture sans savoir ce qu'ils voulaient vraiment raconter que j'insiste autant sur la question du sens, caché et profond. Et l'on ne voit pas ce phénomène que dans les ateliers d'écriture. Chaque semaine, sortent des pièces ou des films qui manquent de cohérence. A contrario, j'ai pu constater qu'un travail en profondeur et en conscience sur l'intention et les motivations pouvait améliorer l'écriture."
"On notera qu'Un jour sans fin illustre ces cas où le climax trajectoriel précède le climax dramatique Malheureusement, entre les deux climaxes, il se passe dix bonnes minutes sans conflit. Or, on est toujours dans l'action. Phil n'a toujours pas atteint son objectif (sortir de cette répétition maudite). Un jour sans fin - pour lequel j'ai, par ailleurs, une profonde estime - illustre parfaitement le danger du découpage en trois actes de Syd Field [26]. Quand vous mettez le climax dramatique au milieu d'un troisième acte "fieldien" - celui qui doit faire 30 minutes et comprend deux parties très différentes -, vous prenez le risque de faire retomber le suspense au début dudit troisième acte."