Citations de Yu Sasuga (122)
- l'homme éprouve une aversion viscérale envers les cafards. Comment l'expliquez-vous?
- une manière de renier nos ancêtres. Selon moi... c'est une réaction de haine pour ses congénères.
Chaque année, on recense de nombreux accidents mortels dus à des attaques d'animaux sauvages terrestres et marins.
L'animal qui fait le plus de victimes...n'est ni l'ours...ni le requin...
C'est le frelon.
Il n’y a pas pire teigne que les types qui n’ont plus rien à perdre.
Elle a subi une opération qu’il l’a transformée en cloporte, et elle s’est fait buter par un cafard. C’est dans l’ordre des choses… Non ?
- Stop ! Tout ce qu’on entend, c’est du charabia ! On n’a pas fait médecine, nous ! On entrave que dalle !
- Ouais ! Faites-nous plutôt la version simplifiée ! Comme l’a dit Léonard de Vinci : « Si vous ne pouvez expliquer un concept à un enfant de six ans, c’est que vous ne le comprenez pas totalement » !
- Mais, elle est d’Einstein, la phrase là…
Il savait qu’il ne s’en tirait pas… et il était conscient que quand bien même il réussirait à reprendre le labo, sa famille ne serait pas tirée d’affaires pour autant. On pourrait donc considérer son sacrifice comme totalement vain. Et pourtant, c’est de cette façon qu’agissent tous ceux qui agissent pour une cause. Dans les fictions, on dit souvent qu’aucune raison valable ne justifie de se battre. Que si on tient à sa famille, il suffit de rester à ses côtés et tout un tas de niaiseries. Mais le fait est que chaque individu a ses motivations propres. Nous ne sommes pas des fourmis-soldats prêtes à mourir simplement pour défendre la colonie. Quels que soient ses idéaux, il était un valeureux combattant, et à ce titre, il mérite notre respect. Même si, au final, on lui a fait la peau d’une manière pas très propre.
À la surprise générale, les cafards envoyés sur Mars avaient muté en des créatures d'une dangerosité extrême.
Non seulement les armes dont nous disposions alors se révélèrent d'une inefficacité affligeante face à ces êtres qui avaient proliféré à l'infini et qui ne connaissaient ni la peur ni la douleur. Mais aussi, nous avons essuyé contre eux une défaite totale.
Nous avons alors pris conscience que l'évolution qu'ils avaient connue avait porté leur ténacité et leur robustesse à l'échelle humaine. Dès lors, un énorme fossé se creusa entre nos deux espèces en termes de puissance... Tant et si bien qu'il ne nous restait plus qu'une solution...
...devenir comme eux.
L’orgueil précède la chute.
Y a pas à dire, coller un bon K.-O, ça fait toujours plaisir !
Une guerre nécessite deux camps belligérants fermement décidés à s'affronter... Un troisième camp, neutre, jouant le rôle d'arbitre et de conciliateur... Et enfin, un champ de bataille.
Lorsqu'une nouvelle technologie voit le jour, elle est d'abord adoptée par l'armée.
Tous les êtres vivants sont liés entre eux par des relations de chaîne alimentaires, chacun étant à la fois une proie et un prédateur. Ils s'inscrivent ainsi dans la grand cycle auquel ils sont inéluctablement soumis. Mais en franchissant un certain palier de son développement, une espèce peut prendre conscience de l'univers qui l'entoure et dont elle fait partie.
Les taiseux qui ne bronchent jamais sont toujours les dindons de la farce.
Se faufiler dans le dos d'un blessé, c'est bien une technique de cafard !
Il sait mieux que quiconque à quel point nos vies sont fragiles. Il veut simplement que nous ayons nos chances de survivre. C'est sa façon à lui... d'être bienveillant.
En Amérique du sud vit la terrible fourmi légionnaire. Se déplaçant en colonie implacable, ses légions extrêmement agressives ne connaissent aucun obstacle et dévorent tout animal sur leur passage [...] Toutefois il y a un insecte que même les fourmis légionnaires prennent la peine d'éviter. La fourmi paraponera [...] C'est cette fourmi qui a été amalgamée à l'organisme du capitaine Daves par le biais de "l'opération entomomorphique". Terriblement agressive, sa piqûre est si foudroyante qu'on l'assimile souvent à un coup de fusil.
- L'animal qui fait le plus de victimes...n'est ni l'ours...ni le requin...
C'est le frelon.
Si par malheur deux formes de vie dotées de consciences religieuses étaient amenées à partager la même planète, la cohabitation serait rigoureusement impossible.
Le seul phénomène qui continue à échapper à la science est l’amour.
La seule chose capable de transcender l’être humain, c’est l’être humain lui-même.