Je suis le vent, et je m'en vais. Quand les hommes utiliseront leurs forces pour que les saisons restent belles, que la neige demeure sur les grandes hauteurs, que tu puisses apprendre le nom des fleurs, ce jour là, je reviendrai. Pour que souffle sur le monde, encore et longtemps, un vent de paix.
Quand ils prenaient une baleine, ils le ramenaient sur la sable et grimpaient dessus comme si c'était une montagne.
Mais à force de les couper en morceaux pour les manger ou en faire des bougies, elles ont commencé à s'éteindre, les baleines, et on en a vu de moins en moins.
J'ai caressé son dos...
Ce que j'avais pris pour une baleine aveugle, c'était un morceau d'iceberg qui s'était décroché du glacier qui vit plus haut et à qui on va rendre visite parfois.
PAF ! Pas le temps de dire ouf ! La main de massine part au quart de tour : écrabouillée...directement sur monsieur Monsieur.
Ils guettaient l'horizon, et dès qu'ils voyaient comme une petite île avec des oiseaux autour, ils sortaient leurs harpons. Ils en attrapaient des tonnes.
Ben moi, les baleines, j'en avais jamais vu.
Le grand-père m'avait dit que c'était très grand, très lisse et très froid au toucher.
C'est pas comme les phoques les baleines.
On les fait pas venir avec un harmonica.