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Critiques de Stéphane Levallois (56)
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Leonard 2 Vinci

Très beaux dessins mais scénario tiré par les cheveux de Léonard 2 Vinci...

J'ai aimé par contre le découpage et le mélange du noir et blanc et la couleur...

J'aurais aimé une histoire plus proche et contemporaine, se projeter à l'année 2045 a aucun intérêt
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La résistance du sanglier

Après « Le Dernier Modèle », chez le même éditeur, Stéphane Levallois livre ici un portrait intimiste de son grand-père maternel. La résistance du sanglier est un récit autobiographique qui baigne le lecteur dans la réalité de l’occupation allemande en 1942 et lui livre une leçon d’histoire très prenante.



Tout débute par des souvenirs de vacances d’été passées dans la maison de sa grand-mère. Un décor d’antan où survit la mémoire de ce grand-père sur lequel il n’arrive pas à mettre de visage alors qu’il en a lui-même hérité les traits. Un jeune homme qui sent le poids qui pèse sur le passé de ses grands-parents et qui, au milieu de ce décor d’époque, va laisser libre cours à son imagination. A la recherche du passé et du visage de cet aïeul, le récit bascule alors vers l’horreur de la seconde guerre mondiale. On y découvre le grand-père de Stéphane, fort, courageux et respirant la bonne humeur malgré le climat de terreur et de suspicion qui plane au-dessus du village et qui rythme les actes de ses habitants au quotidien. Lentement, l’horreur va rattraper la joie de vivre et marquer à jamais le visage de cette grand-mère qu’il ne se souvient pas avoir vu sourire. Le tout est amené de manière magistrale, alliant douceur et brutalité. Le portrait dressé par l’auteur déborde d’émotions, allant au plus profond de cet être adulé de tous et que le lecteur découvrira avec effroi, recroquevillé sur lui-même dans un petit coin d’ombre. S’il est difficile de mettre des mots sur l’horreur de la guerre, cette seule image y parvient à merveille.



Car ce sont bel et bien les images qui font la grande force de ce récit qui scrute l’imagination de la jeunesse de l’auteur et la mémoire de sa famille. Maîtrisant à merveille la technique du lavis, Stéphane Levallois enchaîne les images, rendant souvent tout texte superflu. L’ambiance est prenante, voire parfois insoutenable, les émotions transpirent de chaque planche, de chaque case, de chaque visage. La réalité de la guerre nous percute de plein fouet, comme elle percuta la destinée du grand-père de l’auteur. Graphiquement, de la couverture montrant ce grand-père sans visage et son petits fils qui se reflètent l’un l’autre, en passant par le parallèle avec cette araignée dont la survie ne tient pas à grand-chose, cette œuvre est tout bonnement magistrale.



De l’art aussi grand que la leçon d’histoire qu’il permet de partager.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Leonard 2 Vinci

Une idée scénaristique audacieuse, que l’auteur mène jusqu’au bout, dans un maelström plastique de toute beauté. C’est bien là le point fort de cet album grand format : la virtuosité graphique de Stéphane Levallois.
Lien : http://www.bodoi.info/leonar..
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Leonard 2 Vinci

C'est exactement le sentiment aussi sidéré qu'admiratif que l'on éprouve à la lecture de l'album : comme si Léonard2Vinci proposait une cohérence à l'étourdissement qui peut nous saisir devant cette intelligence frénétique. Une cohérence qui nous le rend plus intelligible peut-être.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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Leonard 2 Vinci

Plutôt que de tenter de décortiquer ce projet pour en saisir les nuances, peut-être vaut-il mieux se laisser porter par une narration fragmentée qui explore un univers situé quelque part entre l’histoire de l’art et le space opera.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Leonard 2 Vinci

Riche de ses différentes interrogations, l’album de Stéphane Levallois fonctionne comme une matrice agissante et stimulante, portant haut les nombreux degrés de réflexion chers à De Vinci.
Lien : http://bdzoom.com/145904/lar..
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La résistance du sanglier

Un roman graphique de toute beauté. En général, je n’apprécie pas particulièrement le noir et blanc, mais ici, chaque planche est une oeuvre d’art.

Quant à l’histoire, elle dépeint avec justesse et nostalgie des tranches d’histoires de l’auteur et de son grand père : les années 70, 90 ainsi que la deuxième guerre mondiale.

Une histoire de famille juste, belle et touchante.

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Les disparues d'Orsay

Plongée dans un univers surréaliste et onirique...déstabilisant mais inventif!



J'ai d'abord eu beaucoup de mal à entrer dans l'univers décalé de l'auteur. Tout y est disproportionné et curieux, comme dans un cauchemar étrange... puis j'ai fini par lâcher prise et accepter le bizarre! On suit la course folle de ce curieux gardien de musée parti à la recherche des muses évadées des tableaux!

La tête en pierre de Goethe qui parle... et alors?! Passé la récréation, je crains que cette bd ne me reste pas longtemps en tête! Dommage...
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Les disparues d'Orsay

Un album qui se savoure lentement, page après page, hommage hypnotique à cette histoire qui n'est pas prête de s'arrêter...
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Les disparues d'Orsay

En voiture pour le musée d'Orsay, à la recherche des Muses disparues. Tous ces tableaux sans femmes, quel drame ! Un gardien téméraire plonge dans le train temporel pour cette jubilatoire poursuite artistique.
Lien : http://www.actuabd.com/Les-D..
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Les disparues d'Orsay

Un exercice de style réussi au final, qui entre dans le monde de l’Art sans complexe, doublé d’un bel hommage au musée. Et qui s’adresse autant aux connaisseurs qu’aux simples curieux en quête d’un « polart » malin.
Lien : http://www.bodoi.info/les-di..
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Les disparues d'Orsay

Un ouvrage ambitieux et fascinant qui donne le goût d’aller se promener dans le septième arrondissement parisien.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Le dernier modèle

Parfois, en relecture, on se rend compte que le livre n'est pas du tout conforme au souvenir qu'on en avait. Dans le cas de ce dernier modèle, je pense que mon souvenir a été altéré par une image assez angoissante qui a instllé en moi le faux souvenir d'un récit aux confins du fantastique, à l'ambiance sombre et presque démente comme dans certains Polanski.

En fait, ce livre n'est rien de cela.

Il semble être inspiré d'une anecdote réelle arrivée à l'auteur. Je n'en révèlerai pas trop pour laisser le suspense intact. Il est aussi difficile de savoir où s'arrête l'autobiographie et où commence l'auto-fiction.

Stéphane Levallois y raconte qu'il fut contacté par une galerie pour réaliser une exposition de dessins. Il choisit de réaliser des nus avec, comme trait d'union entre tous les modèles, un manteau. Trop fauché pour engager des mannequins professionnels, il se tourne vers des amies et connaissances. Parmi elles, Florence, qui le fascine depuis l'école et qu'il imagine habitée par une magie particulière qui lui confère une grâce et une allure parfaites.

Le livre mélange scènes de la vie quotidienne et séances de pose avec Florence et d'autres. Un malaise indistinct s'installe. Relation délicate avec ses modèles, difficulté de capturer la posture idéale et une angoisse qui semble se matérialiser à partir de l'appartement au dessus du sien.

Livre de dessinateur, le dernier modèle est une réussite visuelle. Levallois cite explicitement Horst Janssen comme influence. Il m'étonne toujours par son sens du mouvement et sa lisibilité (exercice porté à la perfection dans Racket, son dernier livre, long storyboard d'une maîtrise hallucinante), mais reste légéer sur le scénario. Il manque une vraie ligne directrice, une densité à son scénario. Mais les pages sont tellement belles que cela compense largement.
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Racket

Des planches léchées, touchantes et graphiques savamment empruntées au monde de l’enfance, qui font oublier la trame de l’histoire et nous laisse nous concentrer sur le dessin.
Lien : http://www.bodoi.info/racket/
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Croc Croc à l'école des petits squelettes

Le format de ce livre est hors norme! Carré et tout petit! Des histoires de squelettes pour petits!
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La résistance du sanglier

Très belle bande dessinée à l'encre noire avec des effets de gris, à la fois pleine de finesse et de force (en particulier la représentation du ciel).



Un homme revient sur le passé de son grand-père qu'il n'a pas connu mais dont il "voit" une partie de la vie comme une vision. Cette période, c'est pendant la 2ème guerre mondiale, dans la campagne française occupée. Le grand-père est représenté avec une tête de sanglier, ce qui renforce l'impression de vision.



Sans être dans un réseau de résistance, Bernard, le grand-père aide des gens dans le besoin, écoute Radio Londres et donne des coups de main aux résistants locaux.



Il n'est ni un héros ni un lâche. C'est le récit d'une vie presque ordinaire dans une période noire. Très bien rendu par un dessin émouvant et fort.




Lien : http://ennalit.canalblog.com..
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