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Critiques de Simon Rochepeau (49)
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L'homme qui en a trop vu

Ali Arkady est kurde, photo reporter dans les zones de guerre. En 2016, Der Spiegel, célèbre journal allemand, lui demande un reportage dans Mossoul assiégé. Comme il a suivi des unités luttant contre Daesh à Falloujah, il leur propose de les suivre durant leur contre offensive. Il apprécie ces hommes courageux et qui partagent facilement leurs actions; Mais rapidement, il va comprendre que ces héros ont aussi des failles, énormes, et qu'il leur arrive, parfois et finalement assez souvent, de profiter de leur autorité, pour s'emparer d'une femme, de biens qui les interesse, de faire prisonnier des civils sans raison ou en inventant des affections pro Daesh...Surpris, puis inquiet, Ali va commencer à se poser des questions sur les intentions de ses "amis" tands que ceux ci vont l'entrainer dans leurs exactions,

A deux reprises, il sortira de sa stricte observation de journaliste, ce qu'ils avouera plus tard aux autorités.

de plus en plus écoeuré, il finira par les dénoncer et devra fuir de son pays, les militaires voulant lui faire sa peau ainsi que celle de sa famille.

Un parcours particulier puisqu'Ali vit a priori en France désormais;

Un focus réalisé sur l'offensive de Mossoul, historiquement intéressant, c'est sombre, sale comme ce type de guerre civile, où le moindre pouvoir déclenche des abus sans nombre.

A lire en s'accrochant.
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Prénom : Inna, tome 2 : La naissance d'une Fe..

Une déception! j'attendais sans doute trop de cette BD. L'Ukraine m'intéresse ainsi que les FEMEN. C'est léger-léger. La jeune étudiante en journalisme obtient une promotion à la Mairie de Kiev, pourquoi? Un focus sur la prostitution des étudiantes, il aurait fallu peut être approfondir.

Comment est-elle contactée par les Femens? Vite fait . je n'ai rien appris.



Graphisme sans intérêt couleurs très moches.

Vite lu, vite rendu à la bibliothèque
Lien : https://netsdevoyages.car.bl..
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L'homme aux bras de mer

Alors je mettrais une petite bonne note pour L'Homme aux bras de mer car il se dégage de ce titre une véritable humanité, quelques chose de touchant, de prenant... C'est un roman graphique titré d'un véritable récit qui ne juge pas et qui ne condamne pas. C'est un titre qui nous parle de Mohammed, un véritable pirate somalien, emprisonné en France pour ses actes, et qui va peu à peu se reconstruire durant une période de libération sous contrôle judiciaire. L'accent est mis aussi sur son entourage , les personnages qui l'aide comme une retraitée ou encore des employés d'Emmaus.

Du coup, c'est un titre qui ne va privilégier un ton contestataire (on ne discute pas plus que ça de la culpabilité de Mohammed) mais plutôt un ton intime et au final assez empathique. Le portrait du pirate somalien laisse la place à un homme dont on découvre la misère, la détresse... Bien évidemment, cela entraîne des conséquences logiques mais les auteurs ont la bonne idée de ne pas s'étendre en pathos là-dessus car, justement, en tant que lecteur, on peut très bien comprendre cette logique des conséquences qui peut amener une personne à avoir une kalachnikov dans les mains.

L'homme aux bras de mers possède un ton assez doux, mélancolique. Cette douceur amère est justement très bien reflétée par Thomas Azuélos qui privilégie, me semble t-il, l'aquarelle, la finesse, une certaine fluidité parfois brouillonne comme si le dessin lui-même s'animait dans la teinte de ses "bras de mer". J'avoue ne pas être ultra-fan de ce graphisme qui manque, malgré tout, d'un peu de caractère mais je pense que ça fait aussi partie de ce rythme un peu doux, de ce désespoir laconique qui retentit dans ce récit.



L'Homme aux bras de mer est une bonne bd intimiste, d'autant plus touchante que c'est un véritable récit. On peut donc dire que c'est un témoignage doux-amer qui manque peut-être d'un peu de caractère, qui se laisse justement un peu trop emporter par sa mélancolie. Après, si vous en avez l'occasion, n'hésitez pas à porter un regard sur ce portrait assez touchant sur cet homme aux bras de mer.

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L'homme qui en a trop vu

"L'homme qui en a trop vu" nous plonge au cœur de l'horreur de la guerre en Irak. Nous suivons le parcours d'Ali Arkady, un photojournaliste envoyé par "Der Spiegel" pour documenter l'offensive contre Daesh. Ce récit met en lumière les défis auxquels Arkady est confronté alors qu'il cherche à rapporter la réalité brutale du conflit. Des tortures aux exactions, en passant par les viols, chaque page révèle une nouvelle facette de l'horreur de la guerre moderne.



Le style de dessin réaliste et sombre d'Isaac Wens s'accorde parfaitement avec l'atmosphère oppressante du récit. Les scènes sont rendues avec une précision saisissante, capturant l'intensité émotionnelle de chaque moment. Malgré la noirceur du sujet, le trait de Wens parvient à transmettre une certaine humanité, mettant en valeur les émotions complexes des personnages.



"L'homme qui en a trop vu" est bien plus qu'une simple bande dessinée sur la guerre. C'est un témoignage puissant sur le courage et la résilience des journalistes de guerre, ainsi que sur les dilemmes moraux auxquels ils sont confrontés. Simon Rochepeau offre un récit captivant, tandis qu'Isaac Wens donne vie à cette histoire sombre et poignante à travers son talent artistique. Une lecture incontournable pour comprendre les réalités complexes du journalisme en zone de conflit.
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La ZAD. C'est plus grand que nous

Les auteurs s'attachent à raconter la vie de quelques résistants de la ZAD, assez représentatifs de la diversité sociale de "la faune" de Notre-Dame des Landes. Le graphisme est très réussi, mais, le point fort de cette histoire est la restitution des conflits internes à la ZAD, entre paysans du cru défendant leur terre et militants anarchistes montant à l'assaut du ciel...

La lutte de lignes s'avère confuse et parfois extrêmement dure entre ceux qui ignorent les décisions collectives et ceux qui recherche le consensus à tout pris . Ça s'engueule grave entre "citoyennistes", et "casseurs" entre "empoisonneurs" et "beatnicks"...

La ZAD est un bel album qui nous plonge au cœur du bocage dans l'une des luttes les plus importantes de la décennie à travers une galerie de personnages attachants.
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La ZAD. C'est plus grand que nous

Au niveau fond, la zad est ce qu'elle est, ni plus, ni moins, on peut être d'accord avec tout, rien, une partie seulement.



Au niveau forme, j'ai trouvé dans ce livre le rendu d'une ambiance tendue, la description d'un entrechoc d'idées, de vécus, d'envies et de refus, une sorte de vivier d'émotions qui se mélangent, exacerbées par la situation, et qui finissent par me donner un sentiment de gâchis.



Pour autant, le résultat est là, à force de lutte, le projet d'aéroport a été revisité puis abandonné. On peut critiquer la forme de la lutte, toute la colère qui a habité cette histoire, les initiatives personnelles de celles et ceux qui pensent détenir une partie de la vérité ou qui se sentent investis d'une mission. Je trouve que le livre transmet plutôt fidèlement tout ça. Enfin, je dis fidèlement, le mot est exagéré, n'ayant pas connaissance de l'intérieur de la zad. J'y retrouve ce que j'ai côtoyé dans des contexte collectifs, souvent associatifs, alors ça me semble logique d'y retrouver ça dans cette zad.



Alors, cette lecture est intéressante, à titre anthropologique, à titre de découverte, et je trouve salutaire de garder en tête que c'est une expérimentation, maladroite, selon ses actes, quelquefois inefficace voire contre productive, mais qui cherche à construire une autre manière de penser, de vivre et qui a réussi à aboutir sur un résultat visible. La critique sur une certaine continuité entre notre mode de vie consumériste et le mode de vie de la zad est recevable à mes yeux, oui, la réinvention utilise aussi les bonnes vieilles ficelles, mais on peut se dire que c'est un premier pas. Je ne sais finalement pas critiquer le fond, il est ce qu'il est, ça me semble tout ce que je puisse en dire.



Alors je sens que la lecture m'a donné un mélange d'amertume, de testostérone et de féminisme, de colère et de joie.



Je dirais qu'une phrase du livre résume assez bien ces sentiments : "La lutte contre soi-même. Comment la zad nous fait changer"
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Douce France

L'atmosphère qui règne dans douce France est sordide. Le vieux monde incarné par les valeurs de la Résistance rencontre un nouveau monde individualiste et avide de profit. Mais tout n'est pas blanc ou tout noir. C'est en ça la force du roman : un héros écartelé entre deux mondes.

Le graphisme au trait épais et aux couleurs éteintes renforce bien l'atmosphère sombre de l'album. 

Beaucoup de sujets sont abordés et leurs nombres est à mon avis la faille du roman. 

Certes, les sujets n'ont pas forcément besoin de réponse, mais l'accumulation m'a detourné de l'intérêt porté au récit.
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Prénom : Inna, tome 1 : Une enfance ukrainienne

Super. Un dessin original, une plume acérée, on apprend plein de choses sur l'Ukraine. Le personnage est fort, empreint d'une envie de ne pas reproduire le schéma familial. J'attends de lire la suite avec impatience ! On apprend aussi à connaître Inna Shevchenko, femen bien connue en France, c'est intéressant de comprendre comment s'est construit ce personnage politique.
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La ZAD. C'est plus grand que nous

Lecture très sympa pour se familiariser avec le fonctionnement d'une ZAD. Les auteurs mettent bien en avant les difficultés externes et internes auxquelles se heurte le mouvement. Les personnages sont variés et j'ai apprécié qu'il n'y ait pas que des zadistes convaincu s (on rencontre aussi des paysans). J'ai apprécié la pâte graphique.
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Prénom : Inna, tome 1 : Une enfance ukrainienne

L’enfance de celle qui va devenir une activiste féministe ukrainienne en rejoignant le mouvement Femen et devenir l’une des principales figures.

Son histoire s’arrête sur quelques moments de son enfance en 1996 et 2000, puis de son adolescence en 2004 et 2007/2008. Le premier tome fini au moment où elle part à la fac, juste avant la naissance du mouvement en 2008.



Ce n’est pas un cours d’histoire, il n’y a pas de développement sur l’interdiction d’avoir un ruban orange par exemple. Ou on connait l’histoire ou on va chercher l’explication ailleurs. Mais ça suffit pour comprendre ce qui motive une gamine devenue adulte à se battre pour ses droits.

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Prénom : Inna, tome 1 : Une enfance ukrainienne

L'histoire commence à Kherson en 1996. On y vit les premiers moments de cette jeune fille nommé Inna Shevchenko, que maintenant tout le monde connait et dont tout le monde a une opinion. Oui on parle bien de la leader féministe des Femen.

On est dans l'Ukraine post soviétique, qui essaie de trouver sa liberté, sa démocratie, difficiles concepts dans un monde gangréné par la corruption, les astuces des uns ou des autres pour tenter de se débrouiller au jour le jour. Tout cela sans que l'école ne puisse déceler quoi que ce soit. Sinon on est surveillé et la vie devient compliquée, voire bloquée. On y parle aussi de révélation, de prostitution, de conviction pour rendre le monde meilleur, pour que la démocratie et la liberté ne soient pas que des utopies.

C'est une BD remarquable, intéressante, qui éclaire sur ce pays en pleine révolution Orange, alors même que la guerre avec la Russie fait encore rage actuellement, un an après … qui eut pu deviner une telle catastrophe à cette époque.

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L'homme aux bras de mer

Un album tout en humanité qui dépeint le parcours difficile d'un homme de son enfance à sa libération après son incarcération pour piraterie.

L'histoire décrit toute l'absurdité du monde qui s'acharne contre Mohamed et de ce dernier qui cherche à s'en sortir, c'est à dire vivre. Je me suis demandé si l'histoire était fidèle ou pas, aucun indice n'étaye une hypothèse ou l'autre dans le livre.

Au delà de cet aspect "journalistique" absent, je trouve que le graphisme tout en aquarelle souligne bien une sorte de flou, comme si l'histoire était vécue au travers de ce prisme absurde, et que les la mise en couleur majoritairement monochrome accompagne bien la tristesse générée par les dégâts de l'acte et ses conséquences.
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L'homme aux bras de mer

je n'avais aucun préjugé avant de lire cet album, je n'ai pas suivi cette histoire dramatique de près, ni le procès ensuite. je n'ai pas été convaincue ni dans un sens ni dans l'autre, comment le pourrais-je? j'ai été intéressée par le thème du bénévolat, avec tous les questionnements qui peuvent surgir à la lecture de ces pages. ne pas être angélique ou naïf, et être humain, pas si évident. le thème de l'information aussi : qui dit vrai? qui dit "juste"? ainsi que celui d'Emmaüs, où je me rends souvent pour acheter des livres d'occasion. le dessin tout flou n'est pas celui que je préfère, pourtant je trouve qu'on discerne bien les personnages, je veux dire leur physique ET leur personnalité.
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L'homme aux bras de mer

Utiliser le drame de notre vie sans nous en parler, nous demander notre avis avant la publication c’est violent, utiliser l’histoire de la Tanit pour faire du marketing c’est dégoutant.

Mr Mahmoud a purgé sa peine, mais la décence de la discrétion lorsque l’on est un brigand jugé pour "détournement de navire par violence ou menace et arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire de plusieurs personnes commis en bande organisée" ??? Juste se faire oublier non?

Ah oui mais voilà un journaliste qui a reniflé le héros pirate mythe romantique…En voilà une belle aubaine💰💰! Agathe soeur de Florent
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L'homme qui en a trop vu

En livrant les doutes et les angoisses qui l’habitent dans ce climat de tension permanente, Ali Arkady offre avec Simon Rochepeau et Isaac Wens un reportage graphique puissant, qui tient le lecteur en haleine.
Lien : https://www.avoir-alire.com/..
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L'homme qui en a trop vu

Écrite et dessinée d'après le témoignage du photoreporter kurde irakien Ali Arkady, "L'homme qui en a trop vu", la bande dessinée de Simon Rochepeau et Isaac Wens, parle de reportage en zone de guerre, de courage et de peur, d'éthique, de complicité avec les bourreaux et de l'impérieuse nécessité de témoigner pour rendre aux victimes leur dignité.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
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Prénom : Inna, tome 2 : La naissance d'une Fe..

La force de la conviction de bien faire, au risque de tout perdre. Elle veut dénoncer les mensonges, la propagande mais surtout la prostitution des étudiantes

Suite d’une enfance ukrainienne, Inna est maintenant une jeune adulte prête à tout pour gagner son combat. C'est intéressant de voir à quel point chacun, à tous les niveaux de la hiérarchie, est gêné par la vérité et trouve le moyen de l’empêcher d'avancer.

La fin est un peu abrupte, je n’ai pas regardé mais j’espère qu’il y aura une suite.

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Prénom : Inna, tome 2 : La naissance d'une Fe..

Inna est journaliste puis est engagée par la mairie. Est-elle un pion du système ? Peut-elle se rebeller ?

Ce monde est complexe, la pauvreté des étudiants catastrophique, beaucoup de filles doivent se prostituer pour accéder aux études. Inna cherche à combattre cette prostitution alors même que sa meilleure amie est dedans. Tout le monde trempe de près ou de loin, rien n'est blanc, rien n'est peut-être noir non plus. Peu de réjouissance là-dedans, mais une Inna qui cherche à réveiller les consciences de ces faits établis et connus.

Alors bien sûr on voudrait en avoir plus, en connaitre plus sur toutes ces actions, ce monde etc …

Une Ukraine qui est loin d'une version idyllique, mais où l'on sent la réalité de la vie, la dureté d'une liberté et démocratie acquises et fébriles.

A l'heure du chaos dans ce pays .. Beaucoup de questions restent en suspens et bien malin qui peut imaginer avec précision ce qu'il adviendra de tout cela. Un monde meilleur ? Vivement que cela commence. Mais faudrait démarrer par la fin de ces atrocités pour commencer. Vite !

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Douce France

J’ai eu la chance de rencontrer le dessinateur de cette bd, Lionel Chouin, il y a quelques semaines et je voulais donc commencer à découvrir son travail, très éclectique, tant par les sujets qu’il aborde (de l’Histoire avec un grand « H » aux Sex Pistols en passant par la fiction) que par son trait, qu’il renouvelle à chaque projet. Avec Douce France, c’est la Seconde Guerre Mondiale et la Résistance qui sont évoquées, mais sous un prisme assez nouveau, celui de la construction, quelques décennies après les événements, d’un Mémorial de la Résistance dans un petit village breton qui a accueilli un maquis de réfractaires au STO.

Un p’tit gars du coin, qui a réussi socialement est responsable du projet. Il s’interroge sur la résistance dans la zone : le rôle Monsieur Raymond, figure locale et haut fonctionnaire, l’attitude de sa propre famille. Et tout cela est mélangé à des préoccupations plus récentes : le chômage et les plans sociaux, les compromissions pour faire avancer sa carrière. C’est une bd sur l’idée de faire des choix, de prendre position, dans les grands événements mais aussi dans les périodes qui peuvent paraître plus calmes.

Et le dessin est en accord avec ce fond. Deux couleurs : des bleus froids et des oranges chauds, qui s’affrontent et se complètent, en cases juxtaposées ou mélangées dans un même dessin. Une façon de montrer que les personnages ne sont jamais ni tout blancs ni tout noirs, faire des choix c’est une chose, faire les bons choix en est une autre…

La bd m’a parue un peu brouillonne, avec un peu trop d’idées, toutes trop peu esquissées pour être vraiment intéressantes ou faire véritablement réfléchir. J’ai mis beaucoup de temps à m’y retrouver et à comprendre où cette bd voulait en venir, et mon sentiment, pour le moins mitigé, est dommage parce qu’il y avait de bonnes choses au départ dans l’idée de cette histoire. Mais en définitive, tout est un peu mis sur le même plan, comme si toutes les compromissions se valaient. Une compromission n’est jamais belle, certes, mais il me semble qu’il y en a qui sont plus lourdes de sens et de conséquences que d’autres.
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Prénom : Inna, tome 1 : Une enfance ukrainienne

La présence de ces activistes se caractérise par une explosion de couleurs qui accompagnent la libération des corps et des consciences et contraste avec la vie contrainte d’Inna, un mouvement de vie contre un système mortifère.
Lien : https://www.actuabd.com/Inna..
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