Citations de Shay K. Carrot (41)
— Quoi ? l’interrogé-je, acide.
— Désolé, j’ai saisi l’occasion, car je n’en vois pas d’autres. Il est rare que tu te retrouves seule, donc je me lance.
— Tu te lances pour… ?
— On peut se voir ?
— Bah… là, on se voit, non ? Je te vois et tu me vois. On se voit. Nous nous voyons.
Je devrais le mépriser, mais je n’y arrive pas au fond. J’essaie, je tente par tous les moyens de repousser mes sentiments, mais je fonds, m’affaiblis à ses côtés. Il envoûte mes sens, en même temps qu’il captive mon cœur chaque fois qu’il me sauve, chaque fois qu’il me rend unique et spéciale à ses yeux.
L’auteure de ce roman n’est pas encore au maximum de ses capacités tordues, alors elle s’entraîne encore à tourmenter son héroïne.
Je n'ai pas balancé tout ça au hasard. Je compte bien te faire mienne, donc quitte ce fils de pute. Sinon j'emploierai des moyens qui te dépasseront.
Le problème, c'est que je n'ai jamais eu l'intention de te descendre. J'ai toujours eu envie de te baiser.
Certains ne me comprendront pas, ne me comprendront jamais. Peu importe, pour l’instant, moi, je vais mieux.
Je suis à lui et il est à moi. Dans nos cœurs au moins, à tout jamais, jusqu’à ce que la mort vienne me prendre.
Il sera mon plus grand secret.
-Tu l’as pourtant présentée comme ta petite amie.
-Ce n’est qu’une chatte à baiser, affirmé-je.
-Alors tu ne m’en voudras pas si je la tue?
-Tu touches à un seul de ses cheveux et je ferai de ta vie un enfer, Baalskuul.
… Si Chloé meurt avant la fin du championnat, mes espoirs de réaliser mon rêve partiront en fumée.
Je ne me contrôle plus vraiment quand il s’agit d’elle. La seule chose qui me déplairait dans ma dépravation, c’est de voir tous ces mecs mater son corps.
Même si elle ne peut pas être à moi, elle m’appartient.
Elle m’appartiendra toujours.
mon âme a été détruite et ne pourra plus s’illuminer comme auparavant.
- Tu as mis le feu aux cheveux de Sundae. Ça s'appelle de la jalousie.
- Pardon ? T'es taré ?! Moi, jalouse ? Pour quoi exactement ? Tu fais ce que tu veux !
- Ah, ouais ? Et pourquoi ton cœur bat anormalement là ?
Ah, oui... C'est vrai qu'il a la faculté d'entendre ce son.
- Parce que je fais une crise cardiaque.
Son faciès se tord entre incompréhension, amusement et étonnement.
- Qu'est ce tu racontes ? Dit- il, un sourire très rare naissant sur ses lèvres charnues que je ne peux m'empêcher de regarder.
Mon cœur ne peut être partagé, je m’en rends compte aujourd’hui. Il est presque pris, presque capturé, en revanche il s’évadera un jour.
Rayan est entré dans ma vie tel un ouragan. Avec lui, j’ai vécu beaucoup de choses en quelque temps. Il a réussi à m’énerver, me faire palpiter, me faire vibrer, me faire pleurer. Les sensations inédites qu’il me provoque le rendent indéniablement attractif. Il est lui-même « l’interdit » et maintenant que j'ai conscience que ça m’attire, je sens que je suis fichue.
Parfois, je me demande même « où est-ce qu’il est ? ».
On dit que la taille ne compte pas, or il est clair que j’aurais préféré qu’il ait un pain plutôt qu’une baguette.
Aujourd’hui, je prends conscience que les seuls monstres sont ceux qui entravent les libertés des autres, et qui n’éprouvent aucune peine à détruire des vies tant que leurs objectifs sont atteints.
Incontestablement, il me faut cet homme. Je souhaite être avec lui. Peu importe si ça dure un mois, trois ou six. Peu importe si personne n’approuve cette décision.
Elle est irrévocable.
— Est-ce que tu viens juste de me pisser dessus… ? — À partir de maintenant, si Ian s’approche de toi, je lui arrache les yeux.
— Qu’est-ce que… Mais t’es taré !
Je prends mon courage à deux mains pour aller l’affronter. Ne pas venir lui aurait prouvé qu’il m’a chamboulée. C’est réellement le cas. Mes barrières se sont tellement effritées à son contact que mon cœur subit des turbulences ingérables.
Mes voisines de chambre se mettent à discuter de taille de sexe, et je me demande bien l’importance que ça a. Un vagin est si petit qu’un pénis normal devrait suffire. Je ne comprends pas ces tarées qui veulent être écartées par un mastodonte. Les femmes pleurent parce qu’accoucher est douloureux, mais elles désirent un serpent géant entre les jambes ???!!! Sincèrement, il y a des choses qui m’échappent.
Rayan est néfaste. Il signera mon arrêt de mort. Ma ruine. Mon affaiblissement.