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3.07/5 (sur 42 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Haute-Normandie , le 31/01/1982
Biographie :

Sandra Paillard est née le 31 janvier 1982.

La passion des livres lui est venue très tôt, avant même qu'elle sache les déchiffrer. Les contes, les légendes et autres récits fantastiques ont bercé son enfance. Loin de l'effrayer, l'idée que nous puissions côtoyer, sans le savoir, des créatures magiques, mystérieuses, voire dangereuses, l'a toujours fascinée.

Dès l'enfance, elle a commencé à rédiger de petites histoires, mettant en scène ces êtres légendaires. Ses écrits ont naturellement évolué au fil du temps et de ses lectures.

Selon elle, les livres sont précieux parce qu'ils permettent de rire, de pleurer, de voyager, de rêver, d'apprendre, rien qu'en en tournant les pages. Ils sont des fenêtres ouvertes sur le monde.

Source : leseditionssharonkena.com
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Bibliographie de Sandra Paillard   (5)Voir plus

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Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
- Nous, nous vous offrons le voyage de noces, annonça Zach, et pas la peine de négocier non plus.
- Merci à vous tous, dis-je, la gorge serrée par l’émotion.
- Tu rigoles ? Cela fait plus de cent ans que j’essaie de le caser ! C’est plutôt à nous de te remercier ! s’écria Lily.
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Je tentai de me dégager, mais cela n’eut aucun effet, à part provoquer un élancement de douleur insupportable dans mes membres. Mes nouvelles facultés auraient pourtant dû me permettre de me libérer sans problème. Dans le cas présent, j’avais beau tirer, m’agiter, rien. Que m’avaient-ils fait ?
— Vous savez donc qui je suis, grondai-je, détachez-moi !
L’homme se mit en mouvement, arpentant la pièce, les mains croisées dans le dos et fixant obstinément le sol. Quel courage !
— Je crains que ce soit malheureusement impossible. Si vous êtes ici, c’est justement parce que nous savons qui vous êtes. Voilà le nœud du problème.
— De quoi parlez-vous ? Où est James ? J’espère pour vous qu’il va bien !
Cette fois, son regard se planta dans le mien. Ses yeux étaient encore plus noirs que ceux de tous les vampires que j’avais rencontrés jusque-là. La sclère semblait quasiment inexistante, lui conférant un air démoniaque. Aucun doute, il se nourrissait de sang humain, à haute dose de surcroît. Un sourire affable naquit sur ses lèvres, découvrant ses dents qui brillaient tels de petits diamants blancs.
— Rassurez-vous, aucun mal n’a été fait à Monsieur Drake. Pour le reste, je vous donnerai de plus amples informations lorsque mes compagnons seront arrivés. Il serait de mauvais goût que je commence sans eux, susurra-t-il.
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Giordano serra les dents, accusant le coup.
— Je vois, je vais m’occuper de ce petit détail, marmonna-t-il. Et tu as eu droit au même traitement quand il s’en est rendu compte pour toi, poursuivit-il sur le ton de la conversation
— C’est ça. Ma mère n’a réagi qu’à partir du moment où mon géniteur a commencé à s’en prendre à moi. D’ailleurs, je n’ai jamais compris pourquoi elle a attendu si longtemps. Je ne lui ai jamais parlé de ce qu’il me faisait subir lorsqu’elle s’absentait, comme m’enfermer dans les placards par exemple. Le jour où il a levé la main sur moi, la donne a changé. Le soir même nous prenions l’avion, commençait alors notre vie de fugitives jusqu’à Chicago. Mes visions m’ont ensuite amenée ici.
— J’aime beaucoup, James, il est brillant, gentil et bien élevé, mais si un jour il te fait du mal, préviens-moi. Je n’ai pas pu agir auparavant, mais plus personne ne te blessera impunément maintenant.
— Aucun risque, James est tout l’opposé de mon père. Il est le seul homme que j’ai laissé m’approcher et j’ai une totale confiance en lui.
— Pourtant j’ai cru comprendre que vous vous étiez déjà séparés.
Il prononça cette phrase l’air de rien, mais il me sembla qu’il avait été contrarié d’apprendre ce détail.
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En réalité, il existe trois types de réaction face à la révélation de ce genre de don. La première : la crainte. Il est difficile de feinter avec une clairvoyante, je lis le passé aussi aisément que l’avenir. Autrement dit, pas de secret avec moi. Malgré toute l’affection qu’ils peuvent vous porter, les gens n’apprécient pas forcément le viol de leur intimité, même s’il est involontaire.
La seconde : l’appât du gain. Qui ne serait pas tenté de connaître d’avance les numéros du loto ou les réponses d’un jeu télé ? Un max de fric avec un minimum d’effort et zéro risque de se faire coincer, le plan en or quoi.
Et enfin la dernière : le scepticisme : « Toi, tu vois l’avenir ? Allez, arrête ! » Ensuite arrivent les regards pleins de moquerie ou pire, de fausse compassion, comme si vous étiez à plaindre de devoir mentir pour que l’on vous accorde un peu d’importance.
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Il arrive que certains secrets se révèlent au moment où l’on s’y attend le moins. Dans la majorité des cas, on parvient à vivre avec. L’être humain est doté d’un incroyable instinct de survie et de préservation. Dans mon cas, j’avais appris que j’étais certainement une sorcière, que l’homme que j’aimais était un vampire, responsable de centaines de meurtres, et que le monde abritait nombre de créatures violentes et sanguinaires. Cependant, j’étais prête à accepter toutes ces choses par amour. En venant à Black Diamond, j’avais tout gagné. Une famille, un amour, une stabilité. Malheureusement, j’avais aussi déclenché une guerre qui risquait de me reprendre tout ce que j’avais durement gagné en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Mon destin était en marche et je ne pouvais rien pour l’arrêter.
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Dehors, je regagnai rapidement ma voiture et les vis se coller à la vitre, histoire de ne rien perdre du spectacle. Cette fois, je perdis patience et retournai vers le magasin d’un pas décidé. Trop, c’était trop !
- Vous avez oublié quelque chose, mademoiselle ? questionna l’épicière, affable.
- Oui, des réponses à vos questions.
Elle me regarda sans comprendre.
- Pour votre gouverne, l’espèce de parent qui abandonne ses enfants, ce sont des parents morts ! Ils émancipent leur progéniture avant, afin de leur éviter une famille d’accueil à l’esprit étriqué comme le vôtre ! Quant à mon passé, demandez un exemplaire de mon casier au shérif, il l’a sûrement déjà vérifié sur la demande de Sally. Sur ce, passez une bonne journée messieurs, dames !
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Puis elle se tourna de nouveau vers Lily.
- Si tu l’aimes tant, je te l’offre. Elle te va mieux à toi qu’à moi de toute façon.
Il comprit de suite que ces deux-là deviendraient les meilleures amies du monde, et lui donneraient du fil à retordre par la même occasion.
- Merci ! Merci ! Merci ! hurla Lily. Mais au fait, tu m’expliques pourquoi mon frère t’a délibérément amenée dans un nid de vampires ?
- Lily ! s’agaça James.
- Quoi encore ? Elle sait tout maintenant, alors autant appeler un chat un chat !
- Tu pourrais au moins y mettre les formes !
- Ce n’est rien James, en fait, j’ai des questions à vous poser.
- Et nous nous ferons un plaisir d’y répondre, intervint Kylian.
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De plus, la jalousie de Mélissa devenait de plus en plus insupportable. Si cette histoire s’éternisait, il allait sûrement finir par la tuer lui-même ! Si seulement il avait envisagé une petite compensation pour ses services, la pilule serait passée, mais avec Dylan, il n’espérait plus rien depuis longtemps. Ce dernier était le chef, se chargeait de le lui rappeler le plus souvent possible, et tant qu’à faire de façon humiliante. Ah ! Il en entendrait parler quand il aurait enfin sa fameuse sorcière et qu’il obtiendrait plus de pouvoir qu’il n’en avait rêvé ! Soudain, Henry eut une idée, noire, retorse et mesquine, tout à fait à son image. Un sourire satisfait étira ses lèvres et découvrit ses dents luisantes. Finalement, peu importait, que James profite bien, parce que bientôt, lui ne se contenterait pas d’admirer. Le temps était venu de prouver à Dylan qu’il n’était pas aussi intelligent qu’il se plaisait à le croire.
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« Alors raconte ! » (Marie)
*Oui raconte, vas-y…* (pensée de James)
« Laisse la tranquille, Marie, la curiosité est un vilain défaut ! » (Sam)
*Mais de quoi il se mêle celui-là ? À la niche le roquet ! On t’a rien demandé, crétin !* (pensée de James)
« Je m’informe, c’est tout ! » (Marie)
*Oui, on s’informe ! Rien de plus !* (pensée de James)
« Ne vous disputez pas ! Il n’y a rien à dire, je suis juste sa partenaire pour un exposé, fin de l’histoire. » (Sarah)
*Comment ça ? Pas de James est charmant, bien élevé, gentil, je ne sais pas moi !* (pensée de James)
« Oui, c’est tout. » (Sarah)

Il avait seulement droit à un : c’est tout ? Cette petite peste serait bien la première femme à le décrire d’un simple : c’est tout !

« Remarque, tu as de la chance, il est mignon ! » (Marie)
*Ah tout de même !*
« Si tu le dis… » (Sarah)
*Comment ça si tu le dis ?*
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- J’ai eu une vision de Sam se rendant chez elle, elle n’a pas apprécié qu’il entre dans son monde sans y avoir été convié. Et puis elle ne pousserait pas Marie à sortir avec lui si tel était le cas.
- Cet imbécile de roquet hésite pourtant à l’inviter au bal, grogna James.
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